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Nouvelles têtes
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Le calendrier de l'avent
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J’étais tranquillement allongé sur mon canapé en velours rouge, confortablement installé mais aussi bien entouré de nombreuses personnes, hommes et femmes confondus. Je ne comprenais pas que certaines personnes se contentent d’un seul genre quand nous pouvions goûter à tous les délices des deux sexes. M’enfin, c’est le moment que choisit mon bras droit pour faire son entrée, c’était un démon au physique charmeur mais également un excellent guerrier ainsi qu’un fin tacticien. Il était parfait dans son rôle même si son sens du timing laissait parfois à désirer.
« Tout est prêt, mon Roi », me dit-il d’un air cérémonieux. J’aime aussi cela chez lui, nous étions proches mais dans le même temps, il savait rester à sa place et me respectait comme il se doit. Il me prouvait sa loyauté à chaque instant et savait très bien que le vent pouvait tourner, alors tel le démon avisé qu’il était, jamais au grand jamais il ne baissait sa garde.
« Parfait, nous partons ce soir... », lui répondis-je alors avant de lui faire signe qu’il pouvait soit se retirer, soit me rejoindre. J’avais bien l’intention de profiter agréablement de ma soirée…
***
Je soupirais de devoir laisser mon harem personnel, mais les affaires étaient les affaires et sur ce point j’étais totalement intransigeant. Je savais ce que je voulais et à l’heure actuelle, je sentais que le pouvoir d’Ingrid, la Reine des Glaces avait beaucoup décliné, néanmoins elle nous réservait sans aucun doute de nouvelles surprises. Toutefois, afin de parer à chaque éventualité, j’avais prit la décision de renforcer mais aussi de fonder de nouvelles alliances commerciales.
Dans mon monde, tout avait un prix, ainsi tout le monde avait quelque chose qu’il désirait plus que tout au monde. Parfois c’était un désir totalement égoïste mais parfois cela avait quelque chose de plus « noble ». C’est pourquoi, j’entrais en scène chez cette Reine en Particulier. J’avais fait entrer discrètement quelques uns de mes gens à sa cours, mais également fait quelques autres préparatifs, notamment informationnels.
Paré tel le Roi que j’étais, je me rendis donc au château de la Reine Diazpro Bellamy. D’après mes informations ce ne serait pas tout à fait une négociation facile, mais je ferai de mon mieux, comme toujours…
Nous étions entrés dans l’enceinte du château malgré les nombreux gardes qui le gardaient, ma magie les rendant tous transis d’amour (bouark) mais surtout de désir pour la première personne qu’ils voyaient soit en général, leur collègue. Je fus la même chose avec tous ceux que je rencontrais, accompagné de quelques uns de mes gens. C’est alors que tranquillement je me dirigeais vers la salle du trône.
On m’ouvrit la porte avec fracas, ce qui me fit tout de même assez plaisir, puis je pénétrais dans l’immense hall au pied duquel se trouvait la fameuse Reine. Aussi magnifique que ce qu’on m’avait rapporté.
Arrivant à quelques pas de la jeune femme, je lui fis une légère révérence, un doux sourire aux lèvres, puis lui tendant une rose, je pris finalement la parole.
« Majesté, je souhaiterai grandement m’entretenir en privé avec vous... »
Avec grâce, je fis encore tourné quelques têtes histoire de réchauffer l’ambiance. J’avais fait le premier mouvement, maintenant je souhaitais connaître la réaction de cette sublime créature...
J’avais fait une sacrée entrée et j’en étais aussi fier que ravie de mon effet, pourtant cela ne semblait pas faire autant plaisir à la jeune Reine. Bon, en même temps je pouvais comprendre, elle voyait des couples improbables se former le temps d’un instant magique pour ne former plus qu’un. C’était magnifique mais elle ne semblait pas y voir de la beauté… Tant pis pour elle, elle était sans doute trop jeune pour comprendre mon art, mon essence. Fronçant les sourcils, elle semblait en colère, je pensais alors à cette instant qu’une relation charnel avec cette demoiselle devait être sulfureuse, puis je me concentrais à nouveau, il fallait absolument que les négociations se passe bien et j’allais devoir y mettre du miens. Elle me demanda alors tout en me toisant, qui est-ce que j’étais.
Elle était également énervée par le plus beau de mes effets, me demandant de faire cesser mon sort des plus « dégradant », et pourtant c’était bien ce qui m’avait plu dans cet endroit, peu de résistance et un magnifique spectacle de débauche sans aucune retenue. Je soupirais, puis relâcher pour le moment mon emprise, pour cela et tout en gardant l’ambiance dramatique actuelle, je levais le bras droit puis claquait des doigts, libérant ainsi tous les occupants du château qui allaient se souvenir de tout ce qu’ils avaient fait, une bien maigre consolation mais qui suffirait pour le moment.
Lui offrant un sourire carnassier et coquin, je répondis à son ignorance : « Milles excuses Majesté, je suis l’amour, le désir, la colère, la jalousie, l’envie, la violence qui s’empare de vous dans les moments de joies comme dans les moments de peines. Je suis un homme et pourtant tellement plus à la fois. Je suis Absolem Benedicte et je suis ici pour vous faire une proposition. »
Certes, ce n’était pas gagner de pouvoir m’entretenir avec la Reine, mais au moins j’avais sa pleine et entière attention et c’était bel et bien le but de toute cette opération.
« Que diriez vous si je vous proposais une aide afin de protéger tous vos gens contre La Reine des Glaces et ses probables représailles ? M’écouteriez-vous ? », lui dis-je de façon à ce qu’elle comprenne que j’étais mortellement sérieux et que ma proposition était des plus réelle. « Puis-je m’entretenir avec vous à présent ? », lui demandais-je prêt à essuyer un échec à ma proposition de pourparler, néanmoins dans ce cas je laisserai de nouveau l’ardeur s’emparer de tous ces gens jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus les voir manipulés par le plaisir et le désir. Et puis, il faudrait qu’elle se dépêche, car celui qui a dit qu’un petit plaisir ne tue pas, ne savait visiblement pas ce dont il parlait.
La jeune Reine n’était pas très emballée par ma présence au sein de son château mais je m’en accommodais bien pour le moment, après tout, elle pouvait se montrer méfiante, un peu sur la défensive, elle comprendrait bien assez tôt quel intérêt elle avait dans notre affaire. Sarcastique, en colère, ahhh, toutes ses émotions la rendait réellement séduisante et je me pouvais pas m’empêcher de sourire tout en la déshabillant un peu du regard. Néanmoins je n’étais pas là pour lui faire les yeux doux, pour l’attirer dans mon lit, lui enlever ses vêtements, et lui donner plus de plaisir qu’elle ne pourrait en supporter. Non, pour l’heure nous en étions à des considérations commerciales, et le business passait avant les histoires de fesses. C’était l’une de mes rares règles de conduite en société.
Pendant que je songeais à ce que je ne devais pas faire avec la maîtresse de maison, ses gardes m’entouraient armés jusqu’au dents, ils n’eurent qu’une seule chance, que leur Reine ait assez de jugeote pour leur dire de reculer et de baisser les armes, sinon, ils seraient sans aucun doute morts. Je pouvais aussi me délecter de leur décès prématurés et sur le coup, je n’y aurai vu qu’un moyen de me faire bien comprendre. J’ai beau être là pour le travail, je n’appréciais pas le manque de respect envers ma personne.
Comme une hôtesse digne de ce nom elle demanda à ce qu’on nous apporte de quoi nous restaurer, les gardes fortement mécontents pour tout à l’heure mais également de laisser leur Reine avec un homme tel que moi. Leur déplaisir était mon plus grand plaisir ! Et j’acceptais avec aisance de prendre place à l’endroit qu’elle m’indiqua. Puis elle se posait en face de moi, de quoi pouvoir discuter sérieusement. Je souriais, même si elle n’était pas très bien disposée, elle faisait l’effort d’être une charmante jeune femme irréprochable, comparé à moi-même apparemment… Une fois un serviteur venu nous apporter du fromage et du vin, elle me fit remarquer mon manque de correction et me servi elle-même une coupelle du breuvage.
Je souris à sa remarque, pas gêné le moins du monde. « Quel honneur de me faire servir par la maîtresse de maison en personne... », je levais alors ma coupelle à son intention puis bu le délicieux vin. « Votre vin est l’un des meilleur que j’ai eu l’occasion de goûter. », lui dis-je alors, de mon point de vue c’était un compliment car j’en avais goûté de très nombreux au fil des siècles et celui-ci était dans mon top dix, ce qui était une très honorable place…
« Mais rentrons dans le vif du sujet si vous voulez bien. Comme je vous l’ai dit tout à l’heure, je sais qu’il est important pour vous de protéger votre royaume et vos gens contre la Reine des Glaces et ses manigances. C’est pourquoi je vous propose de l’aide afin de renforcer vos défenses physiques mais également magiques. »
Je lui donnais la première partie du marché, il en manquait une autre que la charmante jeune femme ne tarderait pas à me faire remarquer : quelle était la contrepartie à ce deal ? J’attendrais qu’elle m’en parle, après tout, elle pouvait même proposer quelque chose d’intéressant, peut-être même plus que ce que je voulais à la base… A voir… Pour l’instant je me tenais, j’avais tellement aimé faire de son château, une maison de dépravés et l’énergie sexuelle qui en avait découlé… c’était comme une drogue. J’avais presque envie de recommencer, mais avant voyons ce que la Reine a à nous dire…
« Etes-vous intéressée ou me suis-je fourvoyé votre Altesse ? », lui demandais-je, une lueur d’excitations, d’envie, de colère et de passion dans le regard. J’avais très envie de faire affaire avec cette dame, mais si cela ne se faisait pas...j’y trouverai mon compte autrement et pas sûr que cela plaise à cette jeune femme. Après tout, soit vous étiez avec moi, soit vous étiez contre moi.
Qu’allez-vous choisir Diazpro Bellamy ? Il me tarde...
La Dame ne se laissait pas faire, elle restait de marbre, une assez bonne défense devrais-je dire surtout lorsque tout en vous inspire la luxure et le plaisir, le désir et l’interdit. Mon aura me trahissait mais elle ne s’y laissait pas prendre ce qui, en soi, était tout à fait admirable, toutefois j’étais venu en ces lieux pour conclure un marché, qui, n’était pas en bon chemin jusqu’à présent. Soit la maîtresse de ces lieux me donnait une raison de rester et discuter les termes d’un échanges soit je repartais tout en mettant les lieux sans dessus dessous. Il était encore plus facile de manipuler des gens lorsqu’ils avaient déjà été touché par mon pouvoir, il aurait été tellement simple pour moi de faire en sorte que tous ces gens au sein du château goûte à l’extase jusqu’à en mourir… Qui ne rêve pas de mourir de plaisir ? C’est une bonne fin selon moi…
M’enfin, ma comparse semblait d’humeur à faire des critiques tandis que j’étais d’humeur à tuer des gens. Peut-être n’aurais-je pas dû intervenir ce soir, mais c’était bien trop tentant…
« Je suis d’un peu partout votre Excellence, mais ma principale habitation et activité se trouve au Royaume Rouge… », lui dis-je tout simplement, répondant à sa pique. Avec un minimum de recherche elle pouvait trouver quelqu’un qui lui dirait la même chose, ce n’était pas très important surtout pour quelqu’un comme moi, implanté de partout et ayant pour objectif de créer un véritable empire inviolable. Je souriais, oui, même pour moi ce mot était étonnamment charmant, pleins de promesses qui je l’espérais dans mon cas, qui ne me décevraient pas...
SA vision des choses n’était pas mauvaise, moi-même je faisais de nombreuses tâches par moi-même, ne voulant dépendre de personne même si une grande part venait de ma problématique du contrôle et de la confiance mais telle n’était pas la question. J’hochais la tête en direction de la souveraine, comme pour lui faire entendre que je comprenais son point de vue… Puis j’accueillais sa proposition avec joie, son vin était très bon, je pourrais presque lui demander de faire le commerce pour mes divers établissements mais vu le mal que nous avions pour communiquer, je n’étais pas certain de vouloir faire ce type de démarche. Du moins pas encore.
Chaque fois que je venais voir une personne il me demandait « pourquoi moi, pourquoi si, pourquoi ça… ? ». Apparemment on ne pouvait pas faire de choix sans les énoncer à ses interlocuteurs, ne pouvaient-ils pas simplement accepter l’honneur que je leur faisais de travailler main dans la main avec mon illustre personne ? Non, toujours des tonnes et des tonnes de questions… « J’ai choisi de venir dans votre pays, c’est une proposition étudiée comme toutes celles que je propose. En effet votre pays est certes plus petit que certains autres mais bien positionné, fertile et paisible (pour le moment). Je suis venu ici non par charité, mais bel et bien parce que j’ai intérêt à venir à vous votre Altesse, tout simplement. »
Je n’y étais pas allé de main morte, mais j’avais fait de mon mieux pour rester le plus clame et respectueux possible. Ce soir j’étais un minimum sur les nerfs de toutes ces questions mais aussi de ce manque d’entrain de la part de la souveraine. Alors que la situation devenait enfin intéressante, notre chère Reine se tut en plein milieu d’une explication. Apparemment la jeune femme était soit assez prude, soit peu à l’aise avec ses propres désirs… ça pouvait pourtant être ce qui la sauverait ce soir.
« Expliquez-moi donc en quoi votre aide consiste et je vous dirais si je décide ou non de créer une alliance avec vous »
Je lui souris, nous reprenions enfin le cours d’une affaires normale entre grandes personnes. J’allais donc exaucer sa demande. « L’une de mes activités est d’être marchand d’armes, bien sûr je fournis les armes à qui saura me convaincre, elles sont de grande qualité bien sûr. Je peux également vous procurer ou vous faire forger d’autres armes si cela vous plait.
Nous avons la possibilité de les faire enchanter pour certaines, et de vous faire des armes magiques, mais aussi des protections. Par les temps qu’il court avec la Reine des Glaces, autant se protéger de la magie mais aussi de tout autre type d’attaque. » Je fis une courte pause puis repris, « Tout dépend de quels sont vos besoins et je ferai mon possible pour y répondre. De quoi avez vous réellement besoin, votre Altesse ? », lui demandais-je alors afin de cerner ses attentes mais aussi de voir si ce que je lui avais déjà proposé avait plus ou moins trouvé preneur...
Sa situation était en effet complexe, du fait des diverses malédictions qui c’était abattues sur les Royaumes, celui d’Oz avait été particulièrement touché, lui enlevant ses Reines. Peut-être était-ce la raison d’une si grande méfiance de la part de la souveraine ? Cela pouvait expliquer de nombreuses choses, et je ne pouvais que comprendre qu’elle n’avait pas à penser seulement au bien de son peuple mais aussi de celui des Reines disparues. Diazpro Bellamy semblait être une jeune personne mais avec la tête sur les épaules, un territoire en plein développement et des convictions, c’était en cela une candidate adéquate pour former une alliance commerciale, enfin, si elle laissait faire les choses.
C’est alors qu’elle me posa une question des plus intéressantes, est-ce que j’armais également « l’ennemie », je lui souris alors, mes yeux prenaient une teinte différentes, plus enflammée dirons-nous, lorsque je me dis que sans doute l’honnêteté jouerai peut-être en ma faveur. « Je suis un homme d’affaires et en temps que tel je me dois de fleurer les opportunités et les saisir lorsqu’elles se présentent. Je ne fais pas parti de ces gens qui divulguent des informations sur leurs clients, toutefois je peux simplement vous dire que dans ce conflit, si je devais choisir un camp, ce serait sans aucun doute le miens. »
Je ne savais pas comment la jeune femme allait prendre ses révélations, car en effet j’avais travaillé avec la Reine des Glaces mais le vent a tourné, nos intérêts ont divergé et donc il était plus que temps de changer mon fusil d’épaule.
Puis la maîtresse de maison me dévoila enfin ses besoins : elle devait protéger Oz, ses habitants, sa patrie en l’absence de toutes les souveraines. Une lourde responsabilité pour une si jeune Reine, mais comme une véritable souveraine elle posait les bonnes questions, ne se hâtait pas de prendre la décision. Non, c’était une personne de confiance à mon avis, mais la question était de savoir si elle serait de mon côté ou non. Car si vous n’étiez pas avec moi, c’est que vous étiez contre moi et ça, ça annonçait un tout autre genre de conversation par la suite.
Enfin vint une question intéressante, ce que je demandais en contrepartie : « Eh bien ma chère, pour ce qui est de la contrepartie, un échange commercial serait un plus mais ce n’est pas ce qui m’intéresse le plus dans notre affaire. Je souhaiterai implanter l’un de mes établissements sur vos terres. De plus, si vous venez à accepter mon offre d’armement et si vous le désirez nous pouvons également implanté une forge non loin pour faciliter le transport et la fabrication des armes dot vous aurez besoin. »
Une proposition sans nul doute intéressante, j’avais plutôt envisagé d’implanter un commerce de jeux car je n’étais pas certain que la jeune femme ne soit pas une prude. Et au vu de sa réaction lors de mon arrivée, je devais dire que j’avais eu raison d’envisager deux options, au cas où…
Lorsque la jeune femme me demanda alors de voir la qualité proposée, je fus heureux de constater que pour l’instant les négociations n’étaient pas fermées. Je demandais alors à Nathanaël d’apporter l’échantillon que nous avions prit pour l’occasion. Mon magnifique bras droit revint alors avec une panoplie d’armes : épées, lances, arcs, mais également quelques bijoux enchantés, des amulettes de protection, le tout étant finement travaillé faisant de chaque objets, de chaque lames, un unique exemplaire. L’acier utilisé pour la plupart des armes était un acier de qualité, façonné par des experts dans leur discipline, je ne faisais que contrôler leur travail, vérifiant que tout était en ordre, un cahier des charges important et surtout une maîtrise parfaite. Pour ce qui était des objets magiques, il m’arrivait d’en fabriquer quelques uns moi-même, d’en modifier certains. C’était déjà plus dans mes cordes…
Nathanaël vint alors disposer les armes à l’endroit que la Reine indiqua, puis je vins la chercher pour que nous allions les voir ensemble. Lui proposant mon bras pour se déplacer… « Voici l’échantillon que nous avons prévu pour que vous ayez une petite idée de ce que nous proposons. Chaque arme est unique, chaque objet l’est aussi. Vous pouvez également passer une commande spéciale fonction de ce que vous demandez si nous n’avons pas cela en stock. Si vous avez des questions, je serai ravi d’y répondre. Vous pouvez toucher des armes et les objets pour vous rendre compte par vous-même. », lui dis-je alors avant de m’éloigner un peu, lui laisser le temps et l’espace pour regarder et tâter la qualité des produits.