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Happy Endings Chronicles
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 This is where it ends (ft. Antonia)

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Message# Sujet: This is where it ends (ft. Antonia)   This is where it ends (ft. Antonia) Icon_minitime1Lun 5 Fév - 20:24

Renegades
ft. Antonia Arsène Frollo


28 mars 2013

Je savais tout… Tout à propos de la ville. Finalement, ce rêve si étrange que j'avais fait où Regina me révéler l'existence de la magie, était-ce réellement un rêve ? Oh, qu'importe ! Plus tard, c'était Maléfique (j'ai encore tellement de mal à me faire cette idée), puis Rita, qui m'avaient racontée absolument tout sur la magie. J'imagine qu'au départ c'était dans l'unique but d'embêter Regina. Après tout, je représentais une sorte de menace selon elle… Et elle n'avait pas tort. Après tout, j'étais bien à l'heure actuelle, adossée contre ma voiture avec mes affaires sur la banquette arrière. J'avais laissé le plus encombrant à Juliette, elle en aurait plus besoin que moi.

Je me rongeais l'ongle du pouce, le regard dans le vide. Depuis que j'avais pris la décision de me barrer de cet endroit, la même question se retournait toujours dans ma tête : Allais-je ou n'allais-je pas révéler ce que je savais ? D'un côté je n'avais pas de preuves matérielles de ce que j'avais, mis à part un haricot mais rien ne me prouvait que c'était le même que celui de Jack, on allait me prendre pour une folle. Mais en même temps, c'était quelque chose de tellement dingue que je me demandais si je pouvais vraiment garder ça pour moi ? A chaque fois que la question revenait, je penchais dans un sens ou dans l'autre : je vais tout révéler de toute façon je n'ai jamais pu blairer Regina et toute sa famille… oui mais… et Juliette ? Elle comptait vraiment pour moi, plus qu'une simple colocataire, elle était devenue une amie et je ne me sentais pas de la trahir de cette façon. Je me passais rageusement la main dans les cheveux, cette question allait finir par me rendre folle !

Soudain, j'entendis un bruit près de moi. Je sursautai en cherchant partout du regard d'où pouvait provenir le bruit lorsqu'enfin je le repérai.

- Tu m'as fait une de ces peurs ! Tu veux me faire mourir dans ce bled ou quoi ?

Je ris nerveusement. Antonia. Je la pris rapidement dans mes bras avant de m'écarter. Pour elle non plus, je ne voulais pas révéler le secret qu'était Storybrooke.

- Excuse-moi, je ne sais pas pourquoi je tenais absolument à ce que tu sois là quand je quitterai la ville. Je ne voulais pas être seule je crois, surtout que Regina m'a dit dans un rêve qu'il n'y aurait pas de retour possible. Je crois que je voulais être sûre que ce soit vrai.

Je me sentais un peu mal à l'aise. Sa présence me rassurait, mais en même temps je n'avais jamais été doué pour les adieux, surtout qu'ils seraient peut-être définitifs si je n'avais vraiment aucun moyen de revenir. Je me frottai la nuque et me raclai la gorge. J'avais l'impression que j'allais mourir, c'était peut-être le cas ? On ne s'en sortait peut-être pas toujours vivant lorsqu'on quittait une faille spatio-temporel et j'avais bien l'impression que c'était ça Storybrooke.



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Message# Sujet: Re: This is where it ends (ft. Antonia)   This is where it ends (ft. Antonia) Icon_minitime1Lun 5 Fév - 22:17

Louise Lemire & Antonia Frollo

This is where it ends


ça faisait quelques mois que j’étais à Storybrooke. Je m’étais fait des amis. Il y avait aussi des personnes que j’appréciais moins. Mais j’arrivais à m’y faire à cette ville. Il y avait plein de choses à faire, à découvrir. Cette vie me plaisait, il ne me manquait qu’Hoffmann. Un jour, il viendrait peut-être ici… Ou peut-être qu’un jour nous allions rentrer à la maison. En attendant, j’étais ici et j’étais attristée de savoir qu’une amie allait partir. Louise Lemire voulait s’en aller. Je ne savais pas trop pourquoi, mais elle m’avait demandé de venir le jour de son départ. Ça me touchait toujours de voir quelqu’un partir… Dire au revoir, c’était toujours compliqué.. Tu dis au revoir, tu fais un signe de la main et hop ! On n’en parle plus. Tu n’as pas de cœur ! C’est toujours difficile de dire au revoir à ce qu’on aime. Sauf que je ne l’aime pas, Louise. Enfin, je m’en fiche quoi. Alors, laisse moi lui dire au revoir tranquille ! Lâche-moi! Quand il s’agissait de sentiment, Arsène n’était jamais compréhensive. Elle profite de la vie, elle n’en faisait qu’à sa tête, mais dès que ça impliquait un peu le cœur, elle s’échappait, elle s’enfuyait. Comme si… Elle avait peur de souffrir ?

Laissant mes histoires de personnalités de côté, je partis vers la périphérie de la ville. Je savais que Louise m’attendrait près de sa voiture. Il me semblait qu’elle était plus proche de Juliette, je ne comprenais pas pourquoi elle m’avait choisie pour ses derniers instants à Storybrooke. Je me demandais aussi ce qui ne lui plaisait pas ici. Vivre dans un monde de contes, ça avait quelque chose de magique non ? On n’avait pas besoin d’un peu de magie dans sa vie ? Pour moi, la magie, c’était toute cette technologie qui permettait de faire plein de choses ! Mais si elle avait besoin de moi, je serais là.

Traversant la ville à pieds, j’arrivais enfin au point de rendez vous. Je m’approchais doucement d’elle. Elle semblait perdue dans ses pensées, penchant la tête d’un côté, et puis d’un autre. Sans doute était-elle entrain de réfléchir à ce qu’elle était entrain de faire. Rester ou partir ? Tout dire ou ne rien dire ? Ces choix n’appartenaient qu’à elle. Elle saurait faire le bon choix, j’en étais persuadée. Louise était quelqu’un de bien qui ne voulait pas faire de mal à ceux qui lui étaient chers. Elle était quelque peu excentrique, mais pas mauvaise. Parce que tu sais voir qui est mauvais toi ? Tu viens encore sous le toit de notre père, tu l’admires toujours. Je crois que tu es mal placée pour savoir qui est bon ou mauvais. Ah ? Et tu vas me dire que Louise est une vilaine ? Elle hésite à raconter le secret de tout le monde, alors peut-être que oui, elle est mauvaise. Tais-toi Arsène…

- Louise ? Je suis là.

Elle sursauta. Je lui fis un petit sourire désolée.

- Excuse-moi, je pensais que tu m’avas entendue arrivée.

Elle me prit dans ses bras. Je lui rendis son étreinte. Elle allait énormément me manquer. Elle avait quelque chose qui sortait du commun, elle était unique, exceptionnelle. Dans le fond, nous étions tous unique, mais elle avait quelque chose en plus qui faisait que je l’appréciais beaucoup. Et j’admirais le fait qu’elle ne ressemblait à personne. Qu’elle était elle. Louise Lemire. Elle ne cherchait pas à ressembler à tout le monde. Pas comme toi qui veux être la fille parfait. La ferme ! J’essayais de garder un petit sourire malgré mes disputes avec Arsène, et malgré la triste situation. Il ne fallait pas se mettre à pleurer.

- Ne t’inquiète pas… Je comprends. Et ici, on peut se parler même quand on est loin. Avec les téléphones, et les ordinateurs… Quand tu auras besoin de te rappeler que tout est vrai, tu pourras me le demander.

Voila, ce monde était magique. Quand on était loin de ceux qu’on aimait, on pouvait quand même leur parler, prendre de leur nouvelle pour être sûr qu’ils vont bien. A Camelot, il faut écrire des lettres, et ça prenait parfois plusieurs jours à arriver.

- ça me ferait plaisir d’avoir de tes nouvelles et de te rappeler que Storybrooke existe, qu’on est vraiment là. Qu’on s’est connue et qu’on s’est bien amusée ensemble.

C’était le début de la fin. Une page qui se tournait. Mais rien ne nous empêcherait de prendre des nouvelles de l’autre si on le souhaitait. Si elle ne pouvait pas revenir, rien ne nous empêchait d’écrire des… « mails » je crois, de se téléphoner aussi. J’étais persuadée que c’était possible. Et si elle le désirait vraiment, il y avait forcément une solution pour la faire revenir.


luckyred.
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Message# Sujet: Re: This is where it ends (ft. Antonia)   This is where it ends (ft. Antonia) Icon_minitime1Lun 5 Fév - 23:27

Renegades
ft. Antonia Arsène Frollo


28 mars 2013

J'étais au courant pour la… double personnalité d'Antonia, difficile de cacher un secret aussi lourd. Mais je m'en fichais, j'aimais sincèrement Antonia pour qui elle était, ses bons comme ses mauvais côtés. Elle avait été l'une des rares personnes de Storybrooke à ne pas jouer de double jeu avec moi. Elle allait sincèrement me manquer lorsque je ne serais plus là… Rien qu'à cette pensée, je sentis une boule se formait dans ma gorge mais je la refoulais le plus vite possible. Il ne fallait pas que je me mette à pleurer maintenant sinon je n'aurais jamais la force de m'en aller. D'ailleurs, j'étais presque sûre que si c'était Antonia se mettait à pleurer, je n'aurais plus le courage nécessaire pour franchir la limite de la ville. Heureusement, j'espérais qu'Arsène serait là pour remettre un peu d'ordre au cas où.

Je ne savais pas trop quoi dire ni quoi faire. Alors, je me mis à fixer la bande traçait au sol, celle qui indiquait la limite de la ville. Au début, je n'avais pas compris pourquoi ils avaient fait ça, j'avais cru à une coutume un peu étrange. Maintenant que je connaissais toute la vérité sur la ville, je savais que c'était pour éviter le danger, empêcher les gens, les vrais habitants de cette ville, de s'en allaient, sans quoi ils perdraient la mémoire ou je ne sais quoi. Est-ce qu'il allait m'arriver la même chose ? Allais-je perdre la mémoire ? Je déglutis péniblement. Au fond, je m'en fichais de perdre ce que j'avais découvert, ça m'embêterait mais bon. Ce qui m'embêterait le plus c'est de perdre presque un an de ma vie, ne pas savoir ce qu'elle est devenue. Si je perdais la mémoire, allait-elle être remplacer par d'autres souvenirs, factices ceux-là ?

- Tu crois qu'il va se passer quelque chose de spécial lorsque j'aurais franchi la limite de la ville ? Je veux dire, on raconte que certains perdent la mémoire ou d'autres trucs vraiment bizarres, tu crois qu'il va m'arriver la même chose ? lui demandais-je en fixant obstinément la ligne au sol.

Je finis par arriver à décrocher mon regard de cette bande. Je le raccrochai à nouveau à celui d'Antonia et je lui souris doucement. En fait, si je lui avais demandé à elle de venir plutôt qu'à Juliette, c'est simplement parce que je savais qu'elle ne me retiendrait pas, voire que son mauvais côté me jetterait peut-être même dehors. Avec Juliette, j'avais eu peur des effusions de larmes ou d'adieux bien trop émouvant. Au final, j'étais servie, les paroles d'Antonia me donnèrent envie de pleurer. Je sentais déjà que j'avais les larmes au bord des yeux. Mon dieu, non, retiens-toi !

- Tu crois que nos téléphones passeront ? Vous vivez en marge de tout, tu crois que je pourrais toujours te contacter ? Antonia, si tu savais à quel point je n'ai pas envie de perdre une amitié aussi précieuse que la tienne !

J'avais eu une espèce de sanglot dans la voix. Eh bah bravo pour la fille qui ne voulait pas d'adieux en larmes ! Finalement, ses dernières paroles finirent par m'arracher les larmes que je n'avais pas réussi à retenir. J'essayais de les essuyer le plus rapidement possible. Comme si elle n'allait pas voir !

- On a vraiment passer de bons moments ensemble. Finalement, je suis contente que Regina m'ait demandée d'organiser ce marché, sans ça nous ne serions sans doute jamais rencontrées ! Je serais passée à côté d'une jeune femme formidable ! J'espère sincèrement qu'on pourra s'appeler que tout fonctionnera de l'autre côté.

Je parlais comme si j'allais vraiment passer dans une faille dimensionnelle. En quittant Storybrooke, je ne pourrais sans doute plus jamais revenir. J'étais consciente du risque et même si j'adorais beaucoup de personnes que j'avais rencontré lors de cette presque année, je ne me sentais pas de vivre éternellement dans cette ville. Ma place n'était pas ici, même si je ne savais pas exactement où elle était. Je finirais bien par trouver ma voix, c'est ce que chaque personne sur Terre fait non ?



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Message# Sujet: Re: This is where it ends (ft. Antonia)   This is where it ends (ft. Antonia) Icon_minitime1Lun 5 Fév - 23:58

Louise Lemire & Antonia Frollo

This is where it ends


Cette drôle de sentation quand tu avances vers l’inconnu. Quand tu te dis que tu vas franchir cette barrière qui te sépare de tout ce que tu connaissais. C’était quelque chose d’effrayant et d’excitant. Je l’avais fait. Avant, je vivais à Camelot. Maintenant, je vivais à Storybrooke. Je comprenais la peur qu’elle ressentait. Foncer tête baissée vers quelque chose de tout nouveau. Mais c’était ça l’aventure. C’était que Killian Jones m’avait appris. Il fallait savoir prendre des risques dans sa vie, sinon, la vie était monotone… Les conseils du pirate tu les suis, mais les miens tu t’en fous. Oh ! Arrête, tu l’aimes beaucoup Killian aussi ! Et tu es d’accord avec lui. Alors en l’écoutant, je t’écoute aussi. C’est pas la question ! Il n’était pas question de nous, mais bien de Louise. Elle allait franchir une grande étape, elle allait faire le grand saut vers l’inconnu. Vers ce qu’il y avait de l’autre côté. Elle savait déjà ce qu’il y avait en dehors de la ville, mais elle allait appréhender ce monde avec des éléments nouveaux. Elle savait qu’elle allait devoir dire adieux à un an de sa vie… Ce n’était pas rien. Mais je savais qu’elle serait assez forte pour affronter ça, et elle trouverait sa place qu’elle cherchait depuis toujours. A mes yeux, elle avait tout à fait sa place parmi nous. Nous venions d’horizons différents. Et c’était avec la diversité que nous apprenions, que nous évoluions. Cependant, si elle ne pensait pas pouvoir s’épanouir pleinement parmi nous, elle devait partir. Pour elle. Pour son bonheur. Pour sa vie.

Louise me posa une question dont j’ignorais la réponse. Je lui fis un petit sourire réconfortant en réfléchissant à ce que je pouvais lui dire. Ce n’était pas mon genre de mentir, même pour rassurer les autres. On m’avait appris à dire la vérité, et je le faisais. Sauf que c’est peut-être le moment de dire “ne t’inquiète pas, tout ira bien”. Ne te mêle pas de ça ! Ayant mon sac avec moi, je sortis mon carnet de note et un stylo.

- Attends…

Je pris appui sur sa voiture pour écrire un petit mot. « Coucou, Louise. C’est Antonia Arsène Frollo. Nous sommes amies, mais suite à une sorte d’accident, tu risques de m’oublier, alors je te fais un petit mot. On a été amie dans une ville du Maine. J’espère que ça ne te fera pas peur… Mais je suis vraiment une bonne amie à toi. J’ai noté en dessous mon numéro téléphone et mon mail. Comme ça, on pourra continuer à se parler, et nous pourrions redevenir amie si tu venais à m’effacer de ta mémoire. Une amie sincère. Antonia. » Je tendis le morceau de papier en souriant.

- Comme ça, si tu dois m’oublier… On pourra toujours essayer de se parler… Si tu es courageuse bien sûr.

Je voulais essayer de la faire sourire. Bien sûr qu’elle serait courageuse. Elle était curieuse, et si vraiment sa mémoire devait être altérée, elle aurait envie de savoir qui était cette mystérieuse Antonia. Elle releva enfin son visage vers moi, ses yeux avaient quittée la ligne. La frontière qui allait bientôt nous séparer. Cette pensée me fit un pincement au cœur. Si tu pleures, je prends le dessus, et je jette Louise de l’autre côté, et l’histoire sera réglée. On rentrera à la maison. Je te laisserai pas faire ! Ne pleure pas, et on n’aura pas à se battre. Pour éviter la bagarre intérieure, je devais prendre sur moi, et assurer un départ correct pour Louise.

- On sera toujours dans le même monde… Alors je ne vois pas pourquoi ça ne passerait pas… Madame Mills a bien adopté son fils non ? Et il n’était pas de Storybrooke… C’est qu’on doit pouvoir communiquer avec les personnes en dehors de la ville… Je suis sûre que tu te souviendras de moi… Que ton cœur se souviendra de moi… On restera amie quoi qu’il arrive.

J’étais persuaduée que lorsque nous aimions sincèrement quelqu’un, on ne l’oubliait pas. Une partie de nous se souviendrait toujours. Et je lui avais donné ce petit mot, ça voulait dire qu’elle aurait un souvenir de moi. Et ma réflexion était plutôt logique. Si la maire avait pu adopter son fils qui venait d’ailleurs, on pourrait sans doute parler Louise et moi.

- Et puis… Si je vois que tu ne me réponds pas… Je t’enverrai des photos ! Le marché de noël ??? Tu m’as délégué tout le travail de la chorale ! Tu es quelqu’un de formidable aussi. Pleine de vie, entière, unique. Ne laisse jamais personne te changer. Tu as une personnalité extraordinaire. Je t’admire beaucoup. Dis-je en souriant.

Oui, j’avais vu ses larmes. J’avais entendu le sanglot dans sa voix. Mais je préférais ne pas relever. Dire, faire quelque chose à ce sujet pourrait amplifier son chagrin et l’empêcher de partir, alors que c’était qu’elle voulait. Lorsque nous tenions à quelqu’un, il fallait parfois le laisser partir. Pourquoi ? Parce que le garder près de nous, avec nous pouvait le rendre malheureux, l’étouffer, l’éteindre. Ce n’était pas une vie pour Louise. Elle avait besoin de grands espaces, de découvrir le monde. Les autres mystères de la vie…

- Profite de ce qu’il y a de l’autre côté pour moi. Tu vas trouver ton chemin, trouver ce qui te plait. Tu vas être heureuse. Le grand saut, ça fait peur. Mais vivre l’aventure c’est génial.

Je parlais en connaissance de cause.

- J’étais à Camelot et aujourd’hui je suis à Storybrooke. Si j’ai pu le faire, tu vas pouvoir le faire aussi. Je te souhaite tout le bonheur du monde. Tu vas pouvoir découvrir le monde entier ! C’est pas extraordinaire ? Ne laisse personne te retenir ici si tu ne te sens pas bien parmi nous… Ta vie passe avant tout le reste, ton bonheur passe avant. Vis pour toi, pas pour les autres. Fais ce qui te plait.

Fais ce que je dis, pas ce que je fais. Je t’ai dit de te taire !


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