Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility
Happy Endings Chronicles
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
Le recensement
Il demeure obligatoire. Cependant, si vous n'avez pas rp pour le mois en cours il vous est possible de recenser une absence.
Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment.
N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
Il est désormais terminé. Rendez-vous par ici pour découvrir les résultats et récompenses
Le Deal du moment : -40%
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 ...
Voir le deal
59.99 €

Partagez
 

 bikers en détresse (rozen&vedran)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
avatar
Invité
Invité

bikers en détresse (rozen&vedran) Empty
Message# Sujet: bikers en détresse (rozen&vedran)   bikers en détresse (rozen&vedran) Icon_minitime1Mar 24 Oct - 20:40


Glorious - Macklemore & Skylar Grey

C’était rare que ce genre d’emmerdement, on les rencontre un beau matin après le footing ou pour aller au marché. En début d’après-midi lors d’une marche digestive. Non, les connards bourrés, c’est mieux la nuit. Ils se pensent plus intimidants, ou peut-être que c’est parce qu’on les remarque moins vu qu’un samedi soir, tous le monde bois. Soit… Vous l’avez compris, on m’a emmerdé ce soir et pour une fois, je n’avais rien demandé. Ou presque.

Depuis le réveil, aux premières lueurs du soleil, elle était penchée sur son mémoire qui lui permettait de la considérer accomplie dans le monde fascinant de l’histoire de l’art et l’archéologie. Elle était resté cloitrée dans son appartement, s’autorisant qu’une petite pose au Granny’s pour un café en fin de matinée. Et le drame arriva. Son ordinateur qui jamais ne devait être approché d’un virus et ne connaissait pas la définition de bug car il n’en avait jamais, s’éteignit et elle avait beau marteler le bouton, rien. Elle avait vérifier la batterie, cela n’avança pas son soucis. Il avait décidé que non, il ne s’allumerait plus alors qu’elle était en pleine rédaction. Vedran en plein dans le dinner avait étrécit les yeux, se retenant de pousser un hurlement primaire alors que la serveuse remplissait de nouveau sa tasse de café. Déglutissant et figée devant son écran noir, les poings fermés de chaque côté, il lui était difficile de se contenir. Elle espérait ne pas avoir perdu tout ce qu’elle avait écrit hier et que la Pomme respectait ses promesses de sauvegarde.

La serveuse s’était inquiétée à voir sa mine. « Quelque chose ne va pas mademoiselle ? ». La jeune-femme tapota des doigts sur la table quand elle réussit enfin à délier ses muscles. Vedran lui fit un sourire pincé. « Vous savez qui pourrait me dépanner pour mon ordinateur ?! » dit-elle presque avec difficulté, cherchant à relativiser ce qui lui arrivait. Et surtout de ne pas le lui demander en hurlant. La serveuse qui connaissait du monde, lui donna alors une adresse. Vedran appela le jeune étudiant pour obtenir une entrevue dans la journée. A entendre sa voix qui muait, elle ne le sentait pas. Elle aurait du le prévoir dès qu’elle avait renversé son thé vert « detox » ce matin. Dans les feuilles de thé, elle aurait du présager la journée de merde. Ou juste dans le fait de commencer ta journée part ramasser une tasse en morceau et tout essuyer le sol avec quatre mètre d’essuie-tout. Elle avait ramené l’ordinateur. Le jeune-homme avait appuyé plusieurs fois sur le bouton « marche/arrêt » et rien. Il haussa les épaules. « Mouais... Bah ça marche plus. J’pense faudrait l’changer. Sers à rien d’s’énerver sur ce genre de modèle. C’fait pour mourir pas pour durer ». Sa mâchoire avait touché le sol. Il se foutait de moi, cela ne pouvait pas être autrement. Elle l’avait attrapé par le col, décollé de son siège, fait glisser ses lunettes au bout de son nez car il transpirait de peur et tremblait. « Je m’en fou ! Je veux récupérer les six pages que j’ai écrite depuis ce matin !!! » et elle lui expliquait en serrant un peu plus le col autour de son cou, qu’il n’avait qu’à s’arranger pour l’allumer une seconde, sauvegarder et « si tu veux jouer au Frisbee après, grand bien m’en fasse, j’men fou ! ». Il lui avait dit de repasser plus tard. Il l’appellerait quand ce serait fini. Elle jaugeait le bureau du jeune-homme. L’étudiant la fixait subjugué et tentait de voir ce qu’elle regardait. Vedran se mit à poser tout plein de questions sur des boites et tout autre gadget étrange d’informaticien. Soudain, elle fit son choix. « Aaaah okay ! Je vois. Donc en gros, là tout tes cours tu les stocks dedans et ainsi tu peux l’amener partout à tes cours ? » faisait-elle les idiotes, sa petite poitrine en avant. L’étudiant hocha la tête le sourire fier et Vedran se jeta sur le disque-dur. « Okay, tu me rends pas mon devoir, je te rends pas ça ! ». L’étudiant aurait bien voulu protester, mais quand elle brandit le poing pour le menacer, il resta tranquillement assis sur sa chaise alors qu’elle partait avec sa monnaie d’échange.

L’après-midi fila et aucune nouvelle. A l’heure du souper, il l’informait qu’elle ne l’aurait que demain.  Pour s’occuper, elle avait continué de lire ses nombreux livres parfois si barbant à côté de toutes ces ruines qu’elle pourrait fouler du pied et visiter plutôt que d’en lire les descriptions théoriques sur les pages illustrées. Ras le bol !. Elle claquait son livre, furax. Sans parler du voisin qui était incapable de faire le ménage sans sa musique de merde à fond et de trouver tellement de chose à bricoler. Aujourd’hui ! Non pas demain, pendant que j’étais au travail. « Beuh non ! Pauvre petit voisin lambda de caca !!! Ville de merde ! Habitants de merde ! » tout en jetant son livre. Elle craquait. Il lui fallait de l’air.

Elle sortie. Seule. Elle aurait bien trainé Diaval avec elle, la personne avec qui elle aurait bien aimé boire quelques verres ce soir. Malheureusement, il n’était pas à l’appartement et elle ignorait quand il rentrerait. Zéro nouvelles. Une habitude chez lui. Tant pis. Elle essaierait de se détendre en faisant semblant d’être sociale. A peine une heure au bar, qu’elle était sortie. Elle avait eu le temps de s’enfiler trois verre. Le premier un peu rapidement, pour se mettre dans l’ambiance. Le suivant, beaucoup plus lentement, ayant croiser une vague connaissance pour échanger les politesses de la soirée. Et le dernier cul-sec car elle en avait marre de l’entendre ce pauvre caissier de supermarché qui avait une vie pas du tout trépidante. Claquant le verre sur le bar, elle prit les voiles.

Dans la rue, en pleine nuit, elle marchait tel un leurre de pêche, penchant vers la droite et virant à gauche avant de descendre du trottoir et être de nouveau redirigé par les boites postale, lampadaire ou murs. Les écouteurs dans les oreilles, elle dodelinait de la tête sur le rythme de la chanson, chantant parfois à tue-tête quelques paroles du refrain. Clairement, elle s’était fait chier. Elle n’avait pas envie de faire-semblant ce soir, être polie et profiter de la soirée avec ce qu’on a. Elle préférait de loin la passé toute seule. Ayant peu mangé dans la journée, les trois verres l’avaient motivé à ne pas du tout savoir où elle se rendait. Elle vadrouillait, laissant ses pas la guider. Un jeu pour elle, surtout éméchée. Mais en pleine jungle aussi. Ne pas savoir ce qui l’attendait, ça l’excitait. En parlant d’excités...

Le bruit du l’eau. Vedran s’arrêta un instant pour fermer les yeux, humer l’air et se concentrer sur les sons ambiants, le vent sur son visage, profiter de l’instant. En son ambiant, il y eut soudain quelques rires tonitruants. Vedran fronça les sourcils et retroussait son nez, cassée dans peut-être l’atteinte du Nirvana. Ce que je ne saurais jamais, vu comme j’ai été coupé dans mon ascension vers le bien-être éternel… Ah triste vie ! Elle se trouvait sur les docks. Immobile, elle tournait la tête comme une girouette. Rien. Elle continuait son chemin, voulant marcher proche de l’eau. Peut-être pas très raisonnable, mais elle en avait trop envie. Dépassant un hangar, elle s’arrêta net sur la scène qui s’offrait à elle. Penchant la tête, sceptique, elle hésitait et… finalement sortit son téléphone pour prendre une photo. Alignés, une petite dizaine de bikers de passage alignés au bord du port, beurrés et qui jouaient à qui-arrive-à-pisser-sur-le-bâteau. Et ils riaient et riaient. Vedran les regardait à la fois amusée et dépitée. La photo était ratée en plus, il faisait bien trop sombre.

Après avoir regarder les animaux en liberté, je décidais de repartir dans l’autre sens, le long des docks. Tournant les talons, c’est à ce moment que je les ai entendu. Les gaillards s'agitaient. Ils avaient l’air attirés par quelque chose. Toujours sur la défensive, je pensais que c’était pour moi. Je fais volte face et... En fait aucun ne m’avait vu. Non, c’était une autre jeune-femme qu’ils avaient hélée. Et les Emmerdes, les vrais ont commencés...

acidbrain


Revenir en haut Aller en bas
 

bikers en détresse (rozen&vedran)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Art of the Dress (ft rozen)
» Je voudrais un thé et mon amie {Rozen}
» (fb) come fly with me into fantasy (diaval&vedran)
» I'm return from a hero's journey (Rozen)
» poo poo pee doo (rozen&cly)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Happy Endings Chronicles :: ⚜ Refermer le livre et rêvasser :: RP abandonnés/ Supprimés-