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 there are still witches among us

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Message# Sujet: there are still witches among us   there are still witches among us Icon_minitime1Lun 4 Déc - 20:48

TITUBA
&
RITA
there are still witches among us
La morsure du froid se faisait de plus en plus piquante à mesure que les jours passaient. L'hiver n'était pas encore là et pourtant plus personne ne pouvait encaisser le climat automnale sans se couvrir d'épais manteaux ou d'enrouler de grosses écharpes autour du cou. À cette heure-ci, il faisait déjà nuit et c'était loin de me déplaire : j'avais toujours été une personne de la nuit, plutôt que de jour. Si certains y voyaient plus clair en journée, et d'autres arrivaient à percer le voile des ténèbres, nous avions tous été bernés et emportés dans la malédiction de la Méchante Reine. Des années passées à vivre une vie qui n'était pas mienne dans l'ignorance la plus totale. Si Regina avait la fougue et la force de se venger elle manquait clairement de finesse en châtiant des êtres qui n'avaient strictement aucune implication dans l'échec de sa fin heureuse. Le plus difficile lorsque les souvenirs sont revenus fut de reprendre le contrôle sur mes pouvoirs. Certains diront que c'est comme le vélo : qu'on ne perd pas le maniement de quelque chose d'automatique. Et pourtant... Il fallait ensuite assimiler le mode de vie de ce monde sans magie tout en faisant en sorte de discerner le vrai du faux, ce qui n'avait pas été bien compliqué en sois. Aujourd'hui, j'avais remis les mains sur mon panel de capacités magiques. Si les sorcières en ville étaient nombreuses, les sorcières vaudou étaient déjà plus rares. Je n'avais personne pour me raccrocher au maniement de ma magie et dieu merci je n'avais besoin de personne, pas après avoir reçu les enseignements de deux professeurs très puissants. Alors, imaginez ma surprise en réalisant que l'une de ses deux mentors n'était autre que la journaliste à potin la plus vicieuse de Storybrooke. À croire que pour certains cette malédiction avait été un petit plus, dans mon cas j'ai passé presque trois décennies dans une presque misère en me battant pour payer mon loyer grâce à une boutique qui n'attirait pas grand monde. Par chance, avec le retour de la magie et des souvenirs ma boutique ésotérique est bien plus fréquentée : des méchants désireux de se lancer dans un plan maléfique jusqu'au héros capables de tricher tout en sachant que la magie avait un prix. Ces héros, trois quart d'entre eux étant inconscients du danger et du bénéfice de la sorcellerie. Et c'est pour cette raison précise que je me tenais là, à marcher le long d'un trottoir, les talons claquant sur le béton en longeant cette belle petite avenue garnit de jolies maisons aux haies parfaitement taillées.

À mesure que j'avançais, je sifflais un air (l'air en question) en gardant le regard bien fixe en face de moi sans faire attention aux quelques passants me décrochant des regards perplexes: oui, ce quartier empestait l'argent et le luxe à plein nez. Pas étonnant, de la part de Rita Von Marburg, mais je faisais plutôt tâche dans le décors dans mon jean slim rouge, avec mon épaisse veste léopard bon marché par dessus une chemise noire et mes cheveux ébouriffés à l'image d'une crinière de lionne. Je savais qu'elle n'était pas encore rentrée, sûrement au bureau à écrire les mortelles lignes de ses prochaines victimes. Si mon regard paraissait vide, je ne faisais que suivre ce chat noir qui me menait directement à la maison de la sorcière de Salem. J'avais terriblement hâte de retrouver la vieille sorcière, de savoir ce qu'elle était devenu et surtout de savoir ce qu'allait être notre prochain coup. Lorsque le chat s'arrête devant un portillon, me lance un regard de ses pupilles jaunes et se gratte l'oreille avant de repartir, je sais que je suis arrivée à destination. La maison de Rita était à l'image de sa propriétaire : majestueuse et imposante, rien avoir avec mon petit appartement mais le luxe ne m'avait jamais attirée donc la fausse-nouvelle vie de Rita ne m'attirait pas le moins du monde. Je pénètre dans le jardin bien entretenu de la journaliste, en prenant soin de refermer le portillon grinçant derrière moi. En avançant dans la petite allée, montant sur le porche, j'espère qu'aucun sort de protection ne m'empêchera d'entrée. Mais lorsque ma main brûle lorsque je tente de saisir la poignée, j'étouffe un rire amère. Rita et ses précautions. Je recule de deux pas, serrant les poing en laissant mon ombre s'étirer sous la lumière automatique du porche. La forme insidieuse rampe au sol pour glisser contre le mur, jusqu'aux étages pour s’engouffrer dans la cheminée. Ce n'est que quelques secondes plus tard que le spectre vient ouvrir la porte de l'intérieure, m'évitant une mutilation et referme derrière moi. Les sorts d'une sorcières sont puissants, encore plus lorsque l'ensorceleuse a atteint sa pleine puissance. Briser le sort de Rita m'aurait demandé des semaines, au mieux. Par chance, j'étais une sorcière vaudou et je pouvais envoyer les loas éxécuter mes volonté sans avoir à me mouiller. Je ne cherche pas à fouiller dans la demeure, respectant l'intimité des gens et Rita. À la place, je me dirige dans le salon et allume un feu d'un revers de la main. Je fais un détour dans la cuisine, pour attraper un verre et une bouteille de vin hors de prix que je ne pourrai pas m'offrir à moins de forcer le destin. Je retourne dans le salon, retire ma veste et m'installe confortablement dans le fauteuil en attendant ainsi le retour de mon amie-mentor.
CODAGE PAR AMIANTE
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