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Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
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Affolée c’est le mot, tu viens de te réveiller et après avoir dormi avec Oscar sur coussin à côté de toi, tu te retrouves avec un oreiller vide de tout violon. La panique se lit dans tes yeux. En ce dimanche ensoleillé, tu vis un véritable cauchemar. Il faut dire que la veille tu as eu en la soirée de samedi à dimanche. Une violente dispute avec Hadès. Se bouffon des enfers à voulu te prendre Oscar sous le prétexte le plus extravagant possible, même toi qui touches l’excentricité tous les jours, tu n’aurais jamais imaginé sortir une telle excuse pour te subtiliser ton violon. Il c’est pointé sans demander dans ton salon pour réclamer l’âme de ton défunt père qui se trouverait dans le violon qu’il t'a laissé. SERIEUSEMENT ? Il t’a pris pour une débile ? Folle de rage tu l'as chassé de ton salon avec un esclandre monstre devant les clients encore présent. Rien ni personne ne touche à Oscar PERSONNE ! La colère a mis longtemps à te quitter, même ton petit Mushu n’a pas réussit malgré ses efforts surhumain à te changer les idées. Et dieu sait que tu es bon public face aux autres. Mais cette histoire t'a travaillé toute la nuit. Au point que tu t’es endormie d’épuisement à force d’y penser.
Et la ce matin, stupeur, plus de violon. Alors que tu l’as bien mis en face de toi pour te réconforter. HADES !!!! Tu ne prends pas cinq minutes pour jeter la faute sur ce sale démon. Tu ne réfléchis plus, tu n’agis que par impulsion. Il est onze heures du matin, passant devant le dragon qui te sert de colocataire tu dévales les escaliers et vas dans la réserve chercher ta batte de baseball. Encore en pyjamas, un petit short en soie rose et un débardeur assorti, tu mets les premières chaussures qui passent par là et sors dehors. Au vu de ton regard noirci par la colère et ton attitude à cran tu fais vite fuir les passants qui se promènent sur le même trottoir que toi. Même le froid ambiant ne t'atteint pas avec la rage qui t'animes. Arpentant la ville tu ne rentreras pas chez toi avant d’avoir récupéré Oscar, et à ce moment précis les plus terribles idées te viennent en tête le concernant. Aucun sourire, aucun bon geste, tu t’es dédoublée en une chose malsaine et déterminée à prendre ce qui te revient. Comme si ce dimanche voulait te donner un coup de pouce tu aperçois enfin celui que tu cherches. Traversant sans même faire attention à la circulation tu rejoins le trottoir en face.
Marchant sur ses pas tu le rattrapes vite « Bonjour Hadès !! » Le temps de le voir se retourner pour comprendre qui lui souhaite la bonne journée, tu attrapes ta batte, le manche de la main gauche et le bout de la main droite avant de venir violemment enfoncer le bout contondant en pleine figure de ce voleur. Un geste assez brusque pour le faire tomber en arrière et faire jaillir une jolie couleur pourpre par ses fosses nasales. « Tu pensais vraiment me faire un coup pareil sans que je me charge de toi … » Venant juste au-dessus de lui les jambes de part et d’autre de ses reins tu reprends ta batte cette fois-ci les deux mains sur le manche juste au dessus de ses bijoux de famille. Tu n’attendras pas pour frapper ça c’est certain. « Je te le demande qu’une seule fois, ou est mon violon !!!! »
Celà partait d'une bonne intention... Réellement... Une bonne intention AVEC bénéfices. Et bien quoi ? Hadès était au chomage actuellement, et il avait envie de faire des choses qui pourrait apporter des choses cool... Avec ou sans autorisations des personnes... C'était peut être ca son problème, il ne demandait jamais l'autorisation des gens pour faire des choses.
Visiblement la jeune Rozen avait un violon hanté. Visiblement c'était l'âme de son père qui était prisonnier dedans. Et Hadès voulait prouver qu'il pouvait faire des choses sympas pour les gens parfois... Sans parler que l'âme de son père avait une valeur assez grande... Donc si il pouvait la récupérer, il ne disait pas non. Et puis à côté de celà, il pouvait montrer à certain qu'il était un gentil.
Avec ou sans pouvoirs, il pouvait réaliser un rituel pour déposséder l'objet. Il gardait encore ses connaissances et pouvait les utiliser. Rozen ne voulait pas. C'était ca le problème. Sauf qu'Hadès ne connaissait pas bien Rozen et la violence qu'elle pouvait dégager. Il avait dérobé son violon à son insu et actuellement notre ancien Dieu était en vadrouille dans les rues de StoryBrooke afin de ramener quelques ingrédients au rituel de dépossession.
A vrai dire, il avait le nez dans sa liste et il ne la pas vu arriver. Il eut juste le temps de se retourner qu'il se choppa un bourre-pif phénoménal sur le nez. Sa tête vola et il tomba en arrière à moitié dans les vapes. Allongé sur le sol, il gémissait de douleur, sentant le goût métallique du sang dans sa bouche, et le liquide qui en ressortait de son nez. Il avait tellement mal que ses yeux pleuraient tout seul et qu'il se fichait bien de l'état de ses fesses qui avaient heurté le macadam. Est-ce qu'il peut passer un jour où on ne l'insulte pas, ou il n'arrive pas ce genre d'emmerde ? Et il n'était pas au bout de ses surprises... Alors qu'il était sur le sol en train d'essayer de comprendre ce qui lui arrivait, Rozen revint en force. Il se tenait pour leur le pif qui pissait le sang en continuant de gémir:
" BORDEL !! Elle m'a pété le nez cette folle ! "
S'en suivit une ribambelles d'insultes plus fleuries les unes que les autres. Quand Hadès vit qu'elle menaçait ses bijoux de famille de sa batte. Il mis en sécurité par ses mains, l'objet qui risquait de subir la rage de la demoiselle.
" Tu ne touches pas à ca gamine ! J'essaye juste de t'aider, tu comprends ca ? Mais si tu veux le récupérer ta saloperie de violon je te le rends. A voir si tu le veux en un seul morceau ou en plusieurs. "
Il se releva d'un seul coup pour la pousser sur le sol afin de pouvoir se sortir de là et se barrer en courant.
Vous allez vous calmer direct'! Sinon, pas de dessert !
Rozen & Regina & Robin & Hadès
Pour Regina, tout allait bien. Elle redécouvrait avec plaisir le bonheur d’être bien avec quelqu’un qui l’appréciait, autant qu’elle pouvait l’apprécier, et cela l’encourageait dans ses efforts pour être meilleure. Sa relation avec Robin avançait tranquillement, ils apprenaient à se découvrir et passaient le plus de temps possible ensemble. En ce dimanche matin, vu qu’aucun d’eux ne travaillait, ils avaient décidé d’aller faire un petit tour en ville, le tout à pied, et peut-être d’aller errer un peu dans les bois après. Marchant main dans la main sur l’un des trottoirs de Main Street, dans le sens opposé, mais sans le savoir, de Rozen et Hadès, madame le maire fit arrêter son amoureux en le regardant avec tendresse. Dans un élan affectueux, elle s’approcha pour l’embrasser, mais fut stoppée nette dans son action par un cri. Penchant la tête sur le côté pour voir ce qui se passait, elle constata un homme au sol, les mains sur le visage, et une jeune femme, qu’elle identifia immédiatement comme étant Rozen, une batte à la main et l’air menaçant.
-Eh ! Cria-t-elle dans le but de les calmer, mais sans succès.
Tenant toujours Robin par la main, elle traversa la rue, mais n’eut guère le temps d’intervenir que la victime présumée, Hadès, avait riposté, jetant son assaillante au sol.
-Qu’est-ce qui se passe, vous deux ?!
Robin et elle étaient presque arrivés à leur niveau que l’ancien dieu des Enfers commença à vouloir partir, mais tendant la main vers lui, à distance, Regina le retint à l’aide de la magie. Il était ainsi figé, et elle l’obligea à se retourner vers eux, constatant les dégâts sur son nez ensanglanté. Elle laissa ainsi à Robin le soin d’aider la jeune femme à se relever.
-Rozen, qu’est-ce qui t’a pris ?
Connaissant la jeune femme, elle se doutait bien que son action n’avait pas été purement gratuite et que ce salaud d’Hadès l’avait forcément cherché.
Le week-end fut rude pour Robin qui avait commencé à travailler depuis à peine une semaine. Par chance, Neilia consentit à lâcher son nouveau barman pour qu'il puisse savourer son dimanche et se remettre de la cadence infernale d'un week-end de travail, disons-le normal au Libertease. Le premier réflexe du nouveau barman, fut d'envoyer un message à celle avec laquelle il partageait son temps libre quand il ne s'occupait pas de son fils. Maîtrisant encore approximativement la technologie, Robin parvint après une dizaine de minutes d'intense réflexion, à envoyer un message à Regina afin de s'enquérir de ses disponibilités pour une petite promenade, rien que tous les deux. Par chance, l'un des Merry-men avait accepté de surveiller le petit Roland le temps de cette promenade. C'est donc le cœur léger et le sourire aux lèvres, que l'ancien archer de Sherwood se rendit jusqu'à chez Regina pour aller la chercher. Main dans la main, ils marchaient à présent tranquillement sur Main Street, saluant chacun à leur tour les habitants qu'ils croisaient sur leur passage. Certains furent d'ailleurs étonnés de voir leur maire aussi souriante et aimable, mais ne s'en offusquèrent point, au contraire, ils répondaient pour la plupart. La bonne humeur était donc de rigueur en ce dimanche. « -C'est sympathique ce genre de promenade je trouve ! » déclara le jeune homme alors que la belle brune venait de s'arrêter devant lui pour le récompenser d'un baiser et aux yeux de tous. Tout sourire, Robin approcha son visage, mais ne put se résoudre à aller jusqu'au bout de son action et pour cause, un cri venait de se faire entendre. L'archer se retourna aussitôt et reconnu Rozen armait d'une batte.
Le couple quitta le trottoir et se précipita sans attendre vers la jeune femme qui avait déjà commencé à régler ses comptes à en juger par le sang qui émanait du nez de sa victime. D'ailleurs, l'homme commençait à déguerpir. « -Regina occupe-toi de lui, je m'occupe de Rozen » lança le voleur en se dirigeant vers la jeune demoiselle qu'il aida à se relever. « - Ca va, tu n'as rien ? » lança-t-il à l'agresseur avant de s'enquérir de l'état de « la victime » Robin connaissait Rozen depuis longtemps, assez pour se douter qu'elle n'eût agi de la sorte sans raison. Il récupéra ensuite la batte qui portait encore les stigmates de sa rencontre avec Hadès. Robin porta d'ailleurs un regard froid à son encontre avant de se (re)concentrer sur sa jeune amie. « -Rozen on ne se fait justice de la sorte ! Dis-moi ce qui s'est passé avant que le shérif Swan arrive ? »
Tu aurais la rage comme un chien malade qu’on ne ferait pas la différence. Une chose que tu ne t’attendais pas le moins du monde c’est qu’Hadès réplique. Dans un mouvement recule causer par son geste tu manques le rebord du trottoir et chute dos sur le bitume. Ratant la marche tu ressens une violente douleur à la cheville qui te traverse le corps comme un voltage électrique. Le visage crispé, tu te figes en deux secondes en voyant Madame le Maire et son chevalier blanc venir intervenir dans ton règlement de comptes. Voulant te relever pour sauter littéralement au cou du roi des enfers et lui rendre la monnaie de sa pièce tu te fais stopper par Robin. Les yeux grands ouverts tu finis par détourner le regard honteux de te montrer dans de tels états en face d’eux. Quand il te demande ce qu’il se passe et que ce n’est pas en ce faisant une justice personnelle que les choses s’arrangent, mais pour tout l’or du monde tu ne veux pas que la shérif intervienne. Tu veux repartir en ce jour même avec Oscar dans les bras et ne pas attendre 10 ans pour le récupérer.
« Je veux que PERSONNE LE touche, je vais le vider de son sang ce fils de p… » Parlant en même temps que tu veux te relever tu te rends vite compte que ton pied gauche ne suit pas le mouvement tu te rattrape pour avoir un appui avec la veste de robin déterminée comme jamais à repartir vers Hadès le visage griffé par la colère. « Laissez-moi …..C’est Mon violon personne ne règle mes affaires, surtout pas avec un sale voleur comme lui! » Tu essaies tant bien que mal à vouloir reprendre la batte à Robin pour finir le travail « rend la moi Robin….. il m’a pris Oscar !!!! » En y repensant tes yeux deviennent humide, personne ne comprend combien tu tiens autant à ce violon. Et tu n’as pas besoin qu’ils comprennent. C’est la seule chose qui te rapproche de tes parents alors s’il faut tuer un vulgaire dieu des enfers pétant, ce n’est pas la sheriff qui va t’en empêcher.
Régina :
HRP : #Regina je sais bien, c'était pour le premier poste XD au moins mettre le cadre, promis je fais des efforts pour les prochains postes ♥
Hadès était prêt à prendre la poudre d'escampette qu'il eut l'impression d'être arrêté en pleins vol... Etait-ce le coup sur le tête qui lui donnait cette impression là ? En réalité non... Il était bel et bien figé par magie avant d'être retourné et remis à sa place. Il vit rapidement Regina et bien entendu Madame le Maire décida de mettre son nez là dedans. Elle ne pouvait pas se mêler de ses affaires celle là ? Mais il ne pouvait pas y échapper... Il préférait encore dire la vérité à cet instant surtout avec ce que Rozen lui balançait dans la figure. Il tenta de ramasser le sang qui lui coulait du nez désespéramment en regardant ses mains ensanglantées. A vrai dire, Hadès était hors de lui...
" C'est elle là ! J'ai juste voulu l'aider et elle a la gratitude d'une hyène prête à bouffer ses parents. Son violon est possédé par son père et elle ne veut pas le laisser partir. J'ai dû utiliser les grands moyens...Vous n'allez pas me reprocher que je faisais juste mon boulot mais notez que sans mes pouvoirs... ce n'est pas la même chose... Je dis ca... Je dis rien... Hein madame le Maire ? "
A vrai dire, il montrait clairement l'attitude d'un sale gosse qui reportait la faute sur son interlocuteur ou plutôt SES interlocutrices à l'évidence.
" Est-ce que ça intéresse quelqu'un de savoir que je suis en train de perdre tout mon sang là ? La dernière fois, j'ai fait un malaise alors j'vous préviens, si ca tourne mal, je porte plainte pour non assistance à personne en danger. "
Et la dernière remarque était histoire d'englober Robin avec. Comme ca, pas de jaloux.
Vous allez vous calmer direct'! Sinon, pas de dessert !
Rozen & Regina & Robin & Hadès
La situation dégénérait. Rozen était hystérique et parlait d’un vol (encore un), Hadès le nez en sang essayait de se justifier. Robin, fort heureusement, avait récupérer l’arme de fortune de la demoiselle qui s’en était pris à l’ancien dieu des Enfers. Madame le maire écouta les explications d’abord d’Hadès, qui prétendait avoir voulu aider Rozen contre son gré, et de Rozen qui disait qu’il lui avait volé son violon… Violon qu’Hadès disait être hanté par l’esprit du père décédé de la jeune femme. Après un regard vers Robin, Regina fusilla les deux autres protagonistes du regard.
-OK, très bien, tout le monde se calme ! Personne ne se videra de son sang. Hadès, où est son violon ?
Devant les plaintes du croque-mort, la belle brune soupira.
-Quelle chochotte ! Très bien. Robin, appelle les pompiers, on va les faire rapatrier aux urgences. Rozen, tu as l’air mal en point aussi.
Elle reporta un regard accusateur vers Hadès.
-Il faut vraiment que tu arrêtes de faire ça ! D’une part, je t’ai déjà dit maintes fois que je ne peux rien pour tes pouvoirs, alors fais-toi une raison ! Ensuite, si Rozen t’avais dit non, tu n’avais pas à toucher à ses affaires, ça s’appelle du vol ! Sache le shérif Swan sera mise au courant et que si une histoire similaire se reproduit, tu auras des ennuis avec la justice !
Pour le coup, elle avait vraiment l’impression de faire la morale à deux enfants. Elle aurait pu les soigner tous les deux à l’aide de la magie, mais à présent, quelques habitants matinaux pour un dimanche, commençaient à s’approcher et écouter. L’ambulance ne tarda pas à arriver et ils montèrent dedans.
-Allez, direction les urgences.
A l’intérieur, on immobilisa la cheville de Rozen tandis que quelqu’un d’autre appliqua des compresses sous le nez d’Hadès.
Le cas Rozen nécessitait toute l'attention de Robin. La jeune demoiselle semblait hors d'elle et ainsi présenté, c'est un euphémisme. Jamais encore le voleur de Sherwood ne l'avait vu dans un tel état de rage. Conscient du danger non pas pour lui, mais pour Hadès, il s'empressa de récupérer la batte pour que la jeune demoiselle à la chevelure excentrique ne s'attire pas davantage d'ennuis. « -Ca suffit ! » tenta-t-il calmement dans un premier temps. La miss essaya aussitôt de se remettre sur pied, mais forcé de constater que l'une de ses chevilles n'était plus opérationnelle, elle se raccrocha aussitôt à celui qui semblait être le plus proche d'un ami. « - Arrête de t'activer comme ça Rozen ! Tu t'es sûrement blessée dans ta chute. Laisse-moi voir ! » De son côté, Regina essayait, non sans difficulté, de s'occuper d'Hadès qui pissait le sang, preuve que Miss March n'y était pas allée de main-forte. Mais les deux chiffonniers n'étaient de toute évidence pas à court d'arguments et le firent savoir. Regina fut la première à intervenir, Robin le second, tâcha d'immobiliser Rozen pour qu'elle ne se blesse pas davantage.
« -HEY ! Ça suffit maintenant et je te prierai de modérer ton langage jeune fille ! Ne m'oblige pas à hausser une fois encore la voix ! » Mais la demoiselle véhémente tenta tant bien que mal de récupérer son arme des mains de Robin qui décida de lancer la batte un peu plus loin histoire d'être tranquille. « -Maintenant ça suffit ! Il est hors de question que tu règles tes problèmes par la violence, non mais hô tu te crois où ?! » Mais à peine avait-il fini que l'autre braillard s'y mettait. « -Ca va, ce n'est que quelques gouttes de sang vous n'allez pas en mourir triple idiot. Rendez le violon à Rozen et mêlez de vos affaires ! C'est comme ça que ça marche ! » Il aida Rozen à s'asseoir et sortie son mobile pour appeler les urgences. « -Ils seront là d'ici cinq minutes ! En attendant tout le monde se calme. Je crois qu'il n'est pas nécessaire d'appeler le shérif après coup. » Les habitants commençaient à s'approcher de la scène, obligeant Robin et Regina à faire la police. « -Ne restez pas là, il n'y a rien à voir ! » lança l'ancien voleur à ceux et celles qui s'approchaient d'un peu trop prêt. Par chance, les secours arrivèrent enfin et embarquèrent tout ce beau petit monde. Robin et Regina, jouant les arbitres, montèrent dans l'ambulance et se mirent au milieu. « -Bon bah ce n'est pas pour aujourd'hui la petite balade ! »
La remarque de robin sur ton comportement te fait rapidement percuter et revenir à la réalité. Presque comme une enfant tu baisses la tête pour signaler ton regret de te présenter sous ce jour face à eux. Arrêtant de vouloir reprendre ta batte tu restes proche de lui comme pour te rassurer et garder les pieds sur terre. Mais tu ne peux t’empêcher de fusiller Hadès du regard quand il essaie de se vendre comme une victime, un sourire malsain s’affiche sur tes lèvres quand Regina commence à lui faire la moral. Malheureusement votre état à tous les deux n’accepte pas le fait que vous continuez à vous mettre sur la tronche. Regina décide même à appeler les pompiers pour vous amener, toi et le roi des voleurs aux urgences. En effet … Entre son nez et ta cheville cette histoire vous à mis dans un sale état. Montant à l’intérieur, on stabilise ta cheville et surveille les saignements d’Hadès. Ton regard balais les visages autour de toi et tu remarques vite la déception des deux tourtereaux de se retrouver dans une telle histoire. Tirant sur la manche de Robin tu l’affectionnes d’un sincère et fébrile « désolé… Je ne voulais pas vous mêler à tout ça… »
Une fois arrivés aux dites urgences, on vous met sur un brancard pour ta part à côté d’un siège roulant pour Hadès qui dois garder des compresses et ingérer des anti douleurs avant de passer devant le médecin urgentiste. Exceptionnellement, vu que c’est la maire les deux un box vous est rapidement destinés pour attendre. Tu n’arrêtes pas de fixer froidement Hadès. « Je te promets que tu ne repartiras pas d’ici avant de me rendre mon violon Hadès…. Fait gaffe….. » Non tu ne lâcheras pas le morceau. Autant dire que là, tu es un bulldog qui veut garder son os a ronger. Et il a dû voir jusqu’à quel extrême tu es capable d’aller quand tu veux quelque chose. Lançant une boulette de coton sur Régina pour l’interpeller tu lui montres Hadès du doigt « je veux qu’il soit puni pour ce qu’il a fait…. J’ai dit non c’est bien pour une raison… Je suis même sure qu’il a inventé cette histoire d’âme pour me le subtiliser vue qu’il à des problèmes avec ses pouvoirs… » Souriant outrageusement tu tires la langue de nouveau vers Hadès « je ne suis pas débile chéri…Si t’avais tous tes pouvoirs t’aurais pas encaisser mes coups aussi facilement je me trompe !!!? »
Et voilà ! Il voulait aider les autres, et il se retrouvait avec le nez surement péter, une folle furieuse contre elle et des ennuies qui semblaient se profiler à l'horizon... Alors qu'il n'avait rien demandé ! Il détestait ces mortels avec leur lubie de vouloir garder leur proche auprès d'eux... Comme si ils pouvaient savoir ce qui était important ou pas... De plus pour lui, il ne voyait ca que comme une séparation de courte durée. Ils finissent toujours par se retrouver dans l'au-delà. Enfin normalement... Mais il existait des cas Rozen et son violon... Enfin pas les même totalement. Mais des gens qui s'accrochaient à des choses dont il ne devrait pas. En même temps quand on a l'immortalité devant soit, cents années ce n'était pas grand chose du tout... Hadès grommela donc entre ses dents:
" Imbéciles de mortels... Vous n'êtes qu'une bande d'idiots, vous ne comprenez jamais rien de toute manière... "
L'ambulance arriva et on s'occupa de lui. Il regardait Rozen d'un regard noir. Elle continuait ses jérémiades, si bien qu'Hadès se secoua la tête. Il tenta aussi de se lever pour faire un geste vers Rozen, mais l'infirmier le força à s'asseoir.
" La mioche va se la fermer ? Je vais te le rendre ton violon. Tu vas te débrouiller avec... Et quand tu te rendras compte de ta bêtise ma chère et bien tu ne viendras pas demander à Hadès un coup de main. "
Elle cherchait vraiment les embrouilles celle-là.
" Fais ça et je porte plainte pour coups et blessures. A deux en prison... Tu devras me supporter... Ha ! Et si je ne peux pas sortir et bien tu n'auras pas ton violon. "
Il bougeait tellement que l'infirmier qui s'occupait de lui commençait à s'impatienter. Il le plaqua dans le fond et lui fit de gros yeux. Hadès se força à ne plus bouger mais n'était pas plus calme pour autant. Mais il ne put s'empêcher de rire face à la dernière remarque de Rozen.
" Je n'ai peut être plus mes pouvoirs, mais on ne m'a pas lobotomisé, j'ai encore toutes mes connaissances en nécromancie et possession et prie pour que je ne retrouve pas mes pouvoirs de sitôt car je vais te faire bouffer ta batte jusqu'à sa dernière écharde. "
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Sam 18 Mar - 20:56
Celà partait d'une bonne intention... Réellement... Une bonne intention AVEC bénéfices. Et bien quoi ? Hadès était au chomage actuellement, et il avait envie de faire des choses qui pourrait apporter des choses cool... Avec ou sans autorisations des personnes... C'était peut être ca son problème, il ne demandait jamais l'autorisation des gens pour faire des choses. 
Pour Regina, tout allait bien. Elle redécouvrait avec plaisir le bonheur d’être bien avec quelqu’un qui l’appréciait, autant qu’elle pouvait l’apprécier, et cela l’encourageait dans ses efforts pour être meilleure. Sa relation avec Robin avançait tranquillement, ils apprenaient à se découvrir et passaient le plus de temps possible ensemble. En ce dimanche matin, vu qu’aucun d’eux ne travaillait, ils avaient décidé d’aller faire un petit tour en ville, le tout à pied, et peut-être d’aller errer un peu dans les bois après. Marchant main dans la main sur l’un des trottoirs de Main Street, dans le sens opposé, mais sans le savoir, de Rozen et Hadès, madame le maire fit arrêter son amoureux en le regardant avec tendresse. Dans un élan affectueux, elle s’approcha pour l’embrasser, mais fut stoppée nette dans son action par un cri. Penchant la tête sur le côté pour voir ce qui se passait, elle constata un homme au sol, les mains sur le visage, et une jeune femme, qu’elle identifia immédiatement comme étant Rozen, une batte à la main et l’air menaçant.
