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Happy Endings Chronicles
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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Jeu 13 Juil - 22:14


Malédiction : -3 MOIS
I KNEW YOU WOULD CHANGE MY LIFE. I JUST DIDN'T KNOW EXACTLY WHEN.

Le moment était mal choisi pour que les gardes viennent casser la croûte alors que l’apogée de votre rencontre charnel allait avoir lieu. Tu essaies de le faire sortir de sa transe pour que vous puissiez. Mais il se trouve qu’il est encore épris que tu ne l’es à ce moment-là. Ce qui ne calme pas ton envie envers lui. Tu le tires alors qu’il veut simplement charmer ce moment. Tu as mal au cœur de tout stopper à ce moment-là, mais il faut, pour vous, pour toi, pour tes gardes. Te voir dans une telle situation ne t’apportera rien de bien envers leur respect pour toi. Heureusement que vous décollait à temps. Il te suit, sans broncher mais le sourire sur ses lèvres pulpeuses t’enivre comme un bon vieux rhum arrangé. Il n’a pas souri comme ça depuis son arrivé ici. Si c’est l’effet que tu lui procures, tu en es divinement comblée. Passant par la porte de derrière tu l’entraînes vers l’aile des domestiques. Il est hors de question que votre chemin se termine dans la chambre royale. Qui sait comment il pourrait réagir à son réveil. Et surtout gâcher cette nuit qui s’annonce. Il ne faut pas faire semblant d’être aveugle, tu sais très bien en tant que femme ce que cette nuit annonce.

Mais l’envie se fait trop sentir pour l’homme qui te passionne. Sans restreinte ses pulsions celui-ci t’empresse dans un recoin désert sursautant tu le fixes avec de grands yeux ton élégance de reine revient en force mais celle si s’essouffle comme une bougie lorsqu’il ose te plaquer comme une vulgaire femme de chambre contre ce mur glacé. Il vient te réchauffer de son corps sculpté dans la roche. Aucun n’espace n’était permis entre vous. Plus il le peut plus il te serre de sa poigne monstrueusement excitante. Ses baisers te font littéralement tourner la tête, il s’empare de chaque petit bout de chaire visible pour en faire sien. Tu ne le pares ni ne l’empêches de le faire. Tu veux être à lui, n’appartenir qu’a ce « rustre » il fait chavirer ton cœur et ton corps. Tu te laisses bercée par ses mains qui parcourent ta chaire. Tu tends le cou pour accompagner ses lèvres. Tes mains pressent son visage contre ta peau. Tu veux le sentir encore plus contre toi. L’une de tes jambes vient l’encadrer par les hanches. Tu te laisses enflammer par ses paroles. C’est alors que ton visage se détend, et tes lèvres lui offrir un sourire amusé, malicieux, fripon mais aussi polisson et coquin. Il éveille cette femme, cette femme que tu ne peux monter aux yeux du monde. Mais laisse vivre dans son monde à lui.

« Je n’avais pas l’intention de faire marche arrière…. Tu ma envouté à un point que tu n’imagine pas… » Lui répondant tu viens porter tes lèvres contre les siennes en le scellant d’un délicieux jeu de vos langues à l’unisson. Te mains encadre son visage que tu ne veux plus oublier, ta respiration ce fait plus entendre et plus saccadée. Tu n’en peux plus, il te veut et tu ne veux pas le décevoir. Dévorant littéralement ses lèvres tu les décroches en pinçant la sienne avant de frotter ton nez contre le sien. Sans te demander la permission il t’emporte comme un simple sac de riz. Sur son épaule tu ne peux réprimer un cri de surprise et de frivolité. Il n’arrête pas de te surprendre, et ceux sans avoir à faire grand-chose. « Que cherches-tu ! » Chuchotes, tu en espérant ne pas croiser un domestique à cette heure si tardif. Le regard balais le couloir de long en large assez vite mais encore flouté par vos emportements. Tremblant d’un coup sec, il défonce déterminé la porte d’entrer de la chambre qu’il habite depuis sa venue ici. Tu vois qu’il ne fait pas semblant quand la passion l’emporte. En espérant que cela n’attire pas la curiosité des gens un tel vacarme. Sans prévenir tu te retrouves au sol sur tes deux jambes secouées comme un prunier. Le temps de reprendre tes esprits il capture tes lèvres une fois de plus en otage consenti. Tes yeux se fermes sous le coup de l’émotion. Ce plaisir ne te lasse pas.

L’impétuosité de vos corps répond l’un à l’autre sans compromis. Tu te laisses envoûter comme une simple esclave de ses désirs. Le ton monte et tu te retrouves brutalement allongée sur le lit. Un lit qui reste d’une simplicité face à celui dans lequel tu loge tous les soirs, mais tu n’en fais rien. Tu pourrais très bien être dans une grange que cela ne te changerait ce que tu ressens à ce moment précis dans ses bras. Le monde entier n’existe plus que dans ses mêmes bras et contre ce visage qui t’illuminent d’émotions en tous genre. Ton regard suit chacune des courbes qui décrit son corps, il avait enlevé sa chemise sous l’impulsion et tes lèvres se pinces en dessinant les rebondit de ses muscles. Tu es prête à te donner à lui, ton corps brûle pour lui et tes sentiments s’enflamment pour sa personne. Tu as besoin de lui, à ton tour tu te laisses emportée par ce tourment délicieux qu’il te fait subir et laisse ton rang de reine et de sorcière cardinal de côté. Venant porter une main sur sa poitrine tu le pousses en le basculant sur le côté. Posant un baiser sur la commissure de ses lèvres tu te retrouves en quelque minute sur son bassin assise à califourchon. Ta robe froissée, tes cheveux inconcevablement coiffée, sauvage sur tes épaules porcelaine. Tu le regardes durant quelque minute pour capter son envie.

Tes doigts glissent sans aucune pression sur le torse nu de ton amant. Les jambes se resserrent par elle-même comme pour contenir quelque chose. Tu relèves alors les bras pour faire glisser à ton tour, le haut de ta robe pour la descendre de tes épaules à ton bas-ventre. Lui offrant un spectacle lent mais accompagné de ta mise à nue devant ses yeux. Laissant le corset d’un noir envoutant comme seul obstacle à ta peau qu’il n’a pas encore touché tu t’approches pour venir goûter à ton tour le plaisir de sa chaire. Tes lèvres finissent par se poser dans le creux de son cou pour remonter vers son oreille. « Promets-moi que tu ne me laisseras pas après ce soir…. » Comme une faveur, ou une plainte tu ne sais pas vraiment donner le ton de cette promesse que tu veux qu’il te renvoie. Malgré l’euphorie du moment tu n’en oublies pas la vérité qui reste encrée sur vos têtes comme une épée de Damoclès. « Promets-le-moi…. S’il te plaît » ta voix fluctue et se laisse embarquer dans le caprice de son corps. Tes mains viennent caresser ses flancs alors que l’une d’elles vient s’emparer de la sienne en entrelaçant ses doigts avec les siens.
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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Sam 15 Juil - 11:07


Beneath the Brine - The Family Crest

Plus il s’enfonçait dans ce couloir, la main dans celle de Diaz et plus il s’échappait de toute raison. Il n’écoutait que les battements de son coeur, rythmant leur pas et leur caresses faites en catimini dans un recoin sombre du corridor. Il ne répondait plus de rien à chaque réactions lascive de la belle entre ses mains, à chacun de ses soupirs et ses paroles pleines d’un espoir, celui d'oublier ses démons pour goûter au bonheur. Il aurait pu rester là, des heures à simplement la sentir, la toucher, la gouter, l’entendre, … Ses mains autour de son visage et son cou, dont le sang brulant pulsait avec force et qu’elle pouvait sentir sous ses doigts. Or, il ne pouvait malheureusement pas attendre plus longtemps et il n’avait vraiment pas envie d’être interrompu. Il l’emporta sur son épaule, traversant le court chemin qui menaient aux quartiers des domestiques. Lui, il n’en avait rien à faire du monde qui pouvait les croiser. Au vu de son état, ils étaient seuls au monde pour Cly. Il pouvait alors compter sur Diaz qui avait plus gros à perdre dans cette histoire et veillait à ce que cet instant reste le leur.

Une fois dans sa chambre, à l’abris de tous, encore plus enfermés dans leurs suaves envies, ses pulsions étaient bien plus puissantes et maitresses de sa raison. L’embrassant, la plaquant encore avec passion contre la porte, des caresses brulantes et enfin, il la portait dans le petit lit grinçant qui lui servait de couche tous les soirs pour écumer son alcool et ses peines. Ce soir, il serait là pour se soigner d’allégresse. Il avait commencé à se dévêtir, mais trop impatient, seul la chemise tomba et pourtant, il n’avait qu’une envie, sentir leur peau l’une contre l’autre, frémissantes d’un plaisir ardent. La délicate main de Diazpro venait lui flatter les muscles saillants de son poitrail alors qu’il la dévisageait avec une envie non-feinte. Elle pouvait se sentir belle à travers son regard, car alcool ou non, ce reflet d’elle qu’il avait dans ses pupilles était sincère.

Il s’apprêtait à venir reprendre ses baisers sur tout son corps, à défaut de pouvoir la dévorer tout entière. Or, elle vint le basculer sur le lit. Il était surpris et ce n’était pas pour lui déplaire. A cheval sur lui, la coiffure chamboulée, son regard embué, aucun mot ne pouvaient décrire la puissance de cet instant. Il souriait ravi du spectacle qui s’offrait à lui. Elle était merveilleuse, le parfait mariage de sa personnalité et son corps venait de se dresser devant lui, lui dévoilant qu’une partie de sa beauté. Une beauté qui l’avait touché au premier regard. Ses mains sur ses cuisses, il les caressait non-chalamment, trop occupé à nourrir ses yeux. Le haut de sa robe glissa lentement, trop lentement le long de ses épaules, puis de ses bras et ses hanches. Il avait accompagné son geste, d’une main au début timide, puis devant les dessous de la dame qui n’était là que pour lui, il avait attrapé le tissus de la robe, la serrant fortement entre ses doigts. Il avait envie de lui arracher tous le reste. La tirant doucement vers lui, par les bras de tissus qui étaient tombés, il inspirait avec force.

Ses caresses, ses gestes et son corps chaud tout autour de sien le rendait fou. Il ne pouvait plus attendre, cela en devenait presque douloureux. Elle se penchait doucement vers lui pour l’embrasser de baiser qu’il était incapable de refuser. Il en voulait même plus, mais pour compenser, elle lui susurrait des promesses à faire. Des promesses qu’il avait envie de suivre, un nouveau souffle pour sa vie. Il sentit alors ses doigts se lier aux siens. Il la serra avec force, celle de l’affection. Sans la lâcher, il ramena sa petite main et en embrassa tendrement le dos de plusieurs baisers. Il se dressa de tous ses muscles et sa taille, assit et elle sur lui, il l’entoura de ses bras et ses épaules, tout entière. Il la voulait que pour elle et il voulait être là pour elle. Une sorte d’amour et de dévotion, voilà ce qui transpirait de ses pores. Un pansement pour que les blessures cessent de suinter.

Il lui embrassait avec douceur la tempe, puis la joue, la bouche et le cou. « Je te le promet » avait-il murmurer à ses plaintes avant de s’attaquer au cruel laçage du corset. Il ne voulait rien pour entraver à leur passion. De ses deux grosses mains puissantes, après un bref délestage des cordons, il tira sur le corset, et le lacet céda à certain endroit. Il n’en avait cure. Ce n’était un instant où il avait le temps d’être plus minutieux et que la délicatesse n’était pas vraiment son fort. Il le retira enfin, le haut nu il la colla brusquement contre lui pour des baisers brulants. Il s’était arrêté de respirer à l’instant où il pouvait sentir sa poitrine contre la sienne. Son coeur lui faisait mal, voulant rejoindre celui de sa belle.

Il la bascula à son tour. D’un geste, il fit glisser tout le reste de sa robe le long de ses jambes. Se débraillant en vitesse pour ne pas lui laisser le temps de prendre froid, il réunit enfin leur corps épurés de tous vêtements. De sa charpente abrupte, tous de muscles, de cicatrices et quelques tatouages marquant les épreuves de sa vie, il dévorait la noblesse douloureuse et satinée de Diaz. Il était impatient, plein de désirs embrasés et d’une joie transporté dont il avait cruellement besoin. Malgré tout, il avait prit son temps, celui de la connaitre enfin chaque parcelle de peau qu’il s’était imaginé alors qu’elle se frottait la nuque, éreintée et qu’il pensa à la courbe de son dos, ou encore cette fois où il l’avait rattrapé alors qu’elle avait trébuché et qu’il aurait aimé faire une ode à sa gorge, puis la ligne de ses jambes lorsqu’elle courrait. Tout ça, il pouvait l’apprécier à présent et il n’était pas déçu. C’était mieux que dans ses rêves. Il prit donc le temps de la connaitre, mais aussi de lui partager ses sentiments, de lui être reconnaissant de l’honneur qu’elle lui faisait. Il scellait alors sa promesse, rejoignant leur corps dans une profonde danse de leur lascivité. La mélodie qui accompagnent leur pas était délicieuse, brutale et tendre.

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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Sam 15 Juil - 21:54


Malédiction : -3 MOIS
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Le moment était parfait, vos deux âmes à l’unisson. Vos envies, vos sentiments, vos désirs. Ce moment était celui que vous attendiez depuis longtemps. C’était l’heure de vous unir et de sceller cet amour qui vous dévore l’un l’autre. Tu cèdes volontiers à tous les vices qu’il pourra t’infliger, lui seul en avait le droit, lui seul en avait le pouvoir. Pour maintenant et pour toujours, que tu le souhaites. Tes soupirs de plaisir s’enchaînent et ne se refusent rien, tu ne mets plus aucun filtre à ton ravissement. Ton corps se tord se plein et se tortille de volupté. Il a ce don de te rendre folle et imprudente. Ta pudeur n’a plus de recoins pour se cacher tu le laisses se débattre avec ton corset en échappant un petit souffle moqueur de la difficulté qui s’offre à ses mains d’ours. Mais la délicatesse ne va pas le tuer, il t’arrache littéralement les lacets qui le composent. Un sursaut de surprise s’empare alors de ton petit corps fébrile contre le sien. À l’instant même ou celui-ci t’enchaîne contre son torse brûlant et puissant. Tu te pinces les lèvres en voulant refréner tes pulsions inavouées. Tu ne tiendras pas longtemps de la sorte. Et encore moins si celui-ci te presse indéfiniment de la sorte contre sa peau meurtrie mais tellement exquis à toucher. C’est un homme, ton homme s’il le souhaite encore demain à l’aube.

Vos corps se réchauffent mutuellement, il ne tarde pas à t’enlever le dernier vêtement qui recouvre ta peau. Une peau qui est assez bien entretenue pour une simple gardeuse d’oies, chose qu’il n’a pas soulignée pour ton confort, il aurait pu se poser la question. Enfin tu le supposes, contrairement à certaine de tes sujets, tu as le confort de prendre soin de toi tous les jours. Tu rougis légèrement en te retrouvant aussi dénudée devant ses yeux. Cet homme te rend déraisonnable, mais ce n’est pas sans te déplaire ! Tu te laisses aller dans ses membres saillants, tu respires son odeur, tu ressens sa peau contre ta joue. Tu passes tes lèvres sur celle-ci comme pour la goûter. En plus tu te laisses porter comme une feuille sous le vent depuis qu’il t'a murmuré ses simples mots « je te le promets » il a fait la promesse que tu lui avais demandée tantôt. Il t'a jugé avec son cœur qu’il resterait avec toi. Même si tu a encore peur, tu veux y croire, tu veux le vivre, tu veux le garder avec toi. Tu as besoin de lui, ça en devient vital alors que chaque minute, chaque seconde s’écoulent entre vous. Tu es comblée en cet instant, tu vis sur ton nuage, ou plus précisément dans ses bras qui n’appartiennent qu’à toi dans ses draps en coton. Tes lèvres viennent frôler son visage, puis son oreille que tu sublimes d’un petit mordillement au lobe.

C’est alors que tu lui susurres lascivement mais tendrement, comme une requête « je ne veux pas te quitter… » Tu veux qu’il te ravisse de sa personne, tu veux rentrer en communion avec lui et vivre chaque seconde qui découlera du futur en voyant son visage à côté du tien. Tu ne penses plus à ton avenir sans le voir à tes côtés. Tu sais que le chemin sera long avant qu’il ne puisse effacer les douleurs du passé, mais tu ferras en sorte de les penser et les atténuer. Tu sais que tu as besoin de lui, tu espères juste que ce besoin est réciproque. Mais au vu des yeux qu’il t’offre, tu sembles être la huitième merveille du monde dans ces yeux. Ce qui te fait encore plus monter le rouge aux joues. Ce moment est aussi magique que celui de votre premier baiser. Ce ne sont pas vos lèvres mais vos corps qui se scellent pour la première fois. Et ce premier contact te ravit d’un plaisir inhumain. Les sentiments et le désir purement charnel s’entrelacent pour un feu d’artifice inimaginable. Tout ton corps se hisse dans un geste sec mais impétueux en le sentant s’unir à toi. Tu te cambres contre ses hanches tes jambes se resserres subitement. Tu attrapes l’un de ses bras sous l’impulsion du moment. Ton souffle en est littéralement coupé. Tu reprends tes esprits, ton corps fébrile en premier lieu s’enivre de toutes tes fibres de chaque cellule lorsque vos corps s’entremêles dans une dance sensuelle.

Sans le retenir tu expulse le prénom de ton bien aimé comme pour signifier le bien que tu ressens grâce à lui. Tu halètes presque de cette passion partagée. Tu passes une jambe contre ses hanches suivant les vas et viens de son bassin contre toi, tes bras viennent alors enlacer son dos à même la peau, effleurer sa peau, la caresser, la tenir comme pour canaliser cette fougue qu’il t’inflige et t’ordonne de ressentir. Te soupires et ses déhanchements sont à l’accord des siens, vous ne faites plus qu’un. Et sous l’essor de vos personnes tu viens déposer une myriade de baisers dans le creux de son cou. Mordillant partiellement la peau qui l’en recouvre tu échappes sans te contenir un « je t’aime… » Ponctuant ces mots d’une puissance inégalée d’un gémissement langoureux et gracieux de ta petite voix. Tes mains glissent le long de sa colonne décrivant chacune de ses courbes pour finir leur route à la naissance de son fessier. L’une de celle-ci plus aventureuse s’accorde le droit de venir couvrir ou plus précisément, s’emparer subitement et charnellement sous le contrecoup d’un relent passionnel l’une de ses fesses.
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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Lun 17 Juil - 22:46


Beneath the Brine - The Family Crest

Les corps se découvraient et celui de la reine beaucoup moins rapidement que l’homme, car sa toilette était délicate et aussi compliqué qu’une femme. Des vêtements qui n’étaient là que pour embellir cette femme toujours plus à chaque seconde qui passaient et qu’il se battait avec le corsage. Diazpro se tortillait dans le lit, entre ses mains, sous sa bouche gourmande et pleine d’envie d’y faire un tout petit croc, juste de quoi rassasier sa faim d’elle qui ne cessait de croître lorsqu’il la regardait se cambrer contre son corps chaud et déjà moite, ou qu’elle soupirait d’aise quand sa main remontait le long de ses jambes et qu’il l’étreignait avec foce. Il l’écrasait de toute sa passion, l’un l’autre dans le plus simple appareil. Ils se mettaient à nu pour réclamer l’extase de leurs sentiments.

Langoureusement, il se faufilait entre ses jambes, lovées tout autour de lui. Il laissait courir ses mains, son regard pour apprécier chaque instant, chaque sensation, chaque tableau qui s’offrait à lui et mettait en lumière une beauté chez elle qu’il n’avait encore jamais vu si ce n’est rêvée. Chaque découverte était plus époustouflante que la première. Son coeur grossissait comme son émoi et ses désirs ardent de la faire sienne. Entre deux baisers suaves, elle espérait des promesses souffler dans son cou, au milieu des flammes qui les consumaient entièrement. Il aurait pu déplacer des montagnes pour elle à ce moment là, mais ce n’était pas ça. Bien sûr qu'il ne s’imaginait un seul moment la quitter. Pas là. C’était le dernier de ses souhaits. Il l’avait tant désiré sans vraiment se l’accorder, mais son affection avait grandit malgré lui. Elle le ravissait par ses peurs. Elle le comblait par ses voeux. Il s’était alors montré bien plus entreprenant et fougueux avec elle. Il ne faisait que retenir le flot de désir qui le brulait de l’intérieur.  

Il frémissait au contact de des lèvres de la belle sur son corps. Elle ne l’aidait pas à calmer ses ardeurs. Elle arrivait presque à lui arracher des grognements de plaisir. Elle pouvait par contre sentir sa respiration s’arrêter parfois quelques instant. Et ensuite, un long soupir. Elle lui murmurait qu’elle ne voulait pas le quitter. Son coeur s’était ébranlé. Une douleur, mais pas désagréable. Il avait serrer un peu plus fort sa main sur ses fesses pour la ramener contre lui sous l’émotion. Il ne pouvait plus attendre. Avec respect, mais aussi la délicatesse d’un lion en rut, il vint alors la posséder. Il en tremblait presque, tous ses muscles bandés, au-dessus d’elle avec l’horrible envie de se décharger de toute son âme, et la peur de la briser entre ses bras sous le poids de toute son âme.

Elle se cambra et il glissa un bras dans le voluptueux creux de ses reins, pour qu’ils s’unissent toujours un peu plus. Il n’avait pas bougé, après un début un peu ferme. Elle était splendide et il n’avait envie de rater ça pour rien au monde. Elle en était belle jusqu’aux bouts de ses jambes de reine qui entourait son corps marqué par une vie de malfrat. Il peinait presque à rester au-dessus d’elle, et elle s’accrochait avec force, comme si elle allait brusquement tomber, comme si leur corps venait de se rencontrer avec violence. Non, ce n’était que la passion de leurs transports. La chaleur de leur deux corps avait l’impression de lui faire fondre les barrières de son esprits et laissaient ses pulsions prendre la place. Il s’en mordit la lèvre, alors qu’elle lui mordait l’épaule pour se raisonner et il réussit à être tendre, à lui dévouer chaque gestes avec toute l’affection qu’il était capable de lui porter. Une douce valse qui ouvrirait le bal lors de fiançailles, entre les deux amants du jour. Puis la passion revint lentement, presque timide, mais incontrôlable plus elle entrait dans la danse.

Ce n’était qu’un pur bonheur qu’il vivait là, transporté par la sensualité et l’émotion de leur échange. Ferme et puissant, il prenait son temps pour se délecter de chaque moment. Et elle gémissait son prénom et lui-même avait du mal à contenir silencieusement son allégresse. Elle finit par lui dire qu’elle l’aimait. Il ne put faire autrement que de s’arrêter, bien en elle, sa main fortement reserré comme un étau sur l’épaule de la brune. Il aurait pu la briser d’un geste. Ca ne dura qu’un court instant, une ou peut-être deux secondes. Il tenait la tête de lit de son autre main, et il la brisa brusquement sous le coup de l’émotion. C’était ça, où il risquait de lui faire très mal en se laissant emporter sur ce qu’il était entrain de faire. La tête de lit s’écroula d’un côté, s’affaissant sur le matelas qui se remit à amortir tant bien que mal les sentiments qui transpiraient de leur va et vient. Il était amoureux et impétueux. Elle lui faisait accepter l’homme qu’il était. Le lit claquait contre le mur. L’extase arrivait et le lit tapait plus fort contre la pierre. Il tapait, et tapait, et tapait jusqu’à ce que… Un pied ne cède sous leur amour enflammé, dont le coeur ardent venait d’exploser d’un plaisir délicieusement consommé. Le lit était vétuste. Le sommier bascula et ils roulèrent, tout enveloppés dans les draps moites sur le sol en pierre. C’est Cly qui encaissa le plus, réceptionnant la belle contre son imposant poitrail encore chaud de leur ébats. Il la tenait fermement contre lui. Il ne la laisserait pas tomber.

L’ancien mousquetaire avait rit de bon coeur, frottant son nez contre son épaule avant d’y déposer un baiser. Il la regardait, complètement ailleurs. Il n’arrivait pas à y croire. Il finit par détendre un bras, se plaçant une main derrière la tête et portait son attention sur le plafond, un grand sourire aux lèvres. « Dis... c’est combien pour la nuit ? Savoir... Que je calcule c'que ça va m’couter pour une vie» lui disait-il qu’il l’aimait à sa façon, la taquinant sur la menace qu’elle lui avait faite s’il recommençait à la traiter comme une catin. Il s'était tourné, le sourire mutin et vint réclamer un baiser, en espérant qu’elle ait un temps soit peu d’humour.

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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Mer 26 Juil - 10:53


Malédiction : -3 MOIS
I KNEW YOU WOULD CHANGE MY LIFE. I JUST DIDN'T KNOW EXACTLY WHEN.

Cette nuit sera gravé dans tes mémoires, tu vis pleinement ce moment comme si c’était le dernier. Le plaisir, la chaire, la passion, les sentiments. Tout se mélange pour une apothéose indescriptible, tes mains s’agrippent aux draps. Tu ne peux contenir des miaulements de ravissement, il complimente ton corps de ses caresses enivrantes. Tu lui réponds dans la mesure où ton esprit arrive à dégager la réalité du rêve. Tu dévoiles des jambes contre sa peau, des baisers sur sa nuque, des petits mordillements sur sa joue. Son nom ne cesse de s’échapper de tes lèvres humides, ton corps frissonne comme une vulgaire feuille fragile mais pleine de vigueur, tu bascules la tête en arrière en retenant des explosions d’euphorie. Tu ne peux contenir ce que tu ressens pour cet homme et comme te libérant de ses quelques mots qui te pendent aux lèvres tu lui avoues ton amour sans détour ni hésitation. Mais un craquement foudroyant te sort de ton délice. Ses mains aussi puissantes sont elles ont réussit à briser le bois de lit, ton esprit embrumé ne cherche pas à savoir si cela est positif ou négatif, il ne te permet plus de réfléchir avec ses coups de reins cadencés, accélérant le pas. Son corps enveloppe pratiquement le tien, tu ressens l’envie qu’il dégage pour toi, tu t’en délectes comme le plus raffiné des vins. Tes reins se creusent à chacun de ses passages, tu te cambres avec candeur pour l’inviter à continuer. Tu ne rechignes pas à l’entraîner à plus, beaucoup plus.

L’extase, tu sens le sommet de cette union arriver comme une vague qui te submerge, la jouissance, l’orgasme à son plus bel état. Dans la seconde qui suit, le lit lui-même cède à votre coite. Roulant sur le côté tu te retrouves sur son torse brûlant, essoufflée, désorientée, tu essaies de garder la tête haute pour ne pas succomber à cette alliance tant désirée. Tu sens son nez frotter contre ton épaule, le rire de ton amant dans les oreilles, curieuse tu regardes autour de toi, ce genre d’effusion n’est pas permis tous les jours. Tu le regardes des yeux plein d’amour et de tendresse, son sourire te rassures et t’apaise. Il a autant apprécié ce moment que toi, tu poses des baisers sur sa poitrine. « Je ne suis pas sure que le budget de l’état est une caisse pour ce genre de chose mon cher » essayant d’émerger tu restes contre lui te réchauffer, sentir sa peau contre la tienne, toucher ses cicatrices du bout des doigts. Il était à toi, pour rien au monde tu ne voudrais le perdre, mais tu sais qu’il faudra un jour lui avouer la vérité. Et plus tôt cela sera révélé, plus tôt il s’en remettra, n’est ce pas ? Du moins c’est ce que tu penses. Tu veux qu’il soit heureux mais pas au détriment de ta vraie stature ta vraie vie. Le silence n’est pas gênant, après tout le bruit que vous avez fait, un peu de calmes faits du bien. Les minutes passent, tu fermes les yeux bercée par son odeur, et sa présence. « On devrait tirer le matelas pour dormir dessus… » Chuchotes-tu comme un secret pour ne pas casser cette atmosphère délicieuse.

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Le lendemain, le soleil qui frappe les fenêtres te réveille doucement. Tu te retournes entourée par ses bras comme une peluche d’enfant. Tu essaies de ne pas faire trop de mouvements brusques pour ne pas le réveiller, c’est là que tu admires sans te lasser de son visage. Tu frottes doucement ton nez contre le sien le sourire aux lèvres. Il est tellement adorable, beau, et attirant. Tu t’en pinces les lèvres t’en il t’envoûte depuis qu’il a posé les pieds dans ce château. Mais ce qui te tracasse en le regardant c’est de devoir lui dire la vérité sur tout ce qui l’entoure. Et sur toi qui plus est, tu baisses les yeux, tu n’en à pas envie, tu veux encore vivre dans ce bonheur. Mais vivre dans le mensonge est contre ta ligne de conduite. Il faut le faire, tu n’as pas le choix. Tu te glisses comme une anguille hors de ses bras, pour aller chercher le semblant de robe qu’il a jeté dans un coin, en silence tu te rhabilles comme tu peux avant de te rendre compte que c’est inutile. Il dort, tu peux t’échapper en utilisant ta magie, tu le regardes une dernière fois avant de t’envoler dans un nuage rosé. Arrivée dans la chambre tu tombes nez à nez avec Iva qui te fusille du regard « je peux savoir ou tu étais Diazpro… » Elle te jauge de la tête aux pieds, elle n’est pas stupide. Surtout en voyant dans l’état où tu te trouves « je vais prendre un bain j’ai des choses importantes à faire ce matin Iva, je me passerais de tes remontrances a outrances » elle te saisie le bras et te regarde « si je fais ça c’est pour éviter que tu ne souffres mon enfant, je vous ai élevées comme mes filles Az et toi…. J’en ai perdu une je ne veux pas perdre l’autre. Ce n’est pas convenable de t’amouracher de cet homme, il ne sait pas qui tu es …. Je ne donne pas cher de ta peau quand il l’apprendra la vérité ma chérie » elle n’avait pas tord, sur tout les fronts, Iva était la sagesse incarnée dans ce château.

Tu baisses la tête et détournes le regard « je vais justement le savoir … Je compte tout lui dire aujourd’hui » tu lâches un peu brusquement la main de ta mère de substitution « préparez moi mon bain, je veux une toilette simple aujourd’hui on se dépêche ! » Tu veux être prête avant son réveil. Approchant de ta petite coiffeuse tu en sors des petits billets couleur lavande, tu inscris de simple mots dessus « rejoins-moi sous le chêne de l’enclos des oies » tu le mets dans une enveloppe et le donnes à un de tes servants « glissez ceci sous la porte de notre invité Portos…. Merci » le bain prêt tu te dénudes pour prendre soin de toi, seule tu repenses à cette nuit magique que tu as passée avec lui. Le sourire ne quitte pas tes lèvres, et cela semble amuser l’une des servantes qui remplissent la bassine d’eau chaude « Madame semble aussi heureuse qu’une femme amoureuse…. » Tu la regardes doucement et touches sa main « vous m’en direz tant…. Vous êtes loin du compte mon amie, amoureuse n’est qu’un euphémisme. » Elle rit avec toi, ta bonne humeur à un certain impacte sur le château. Tu te prélasses quelque temps dans cette eau savonneuse et chaude pour prendre soin de ta peau. L’horloge tourne et tu te lèves pour te sécher et t’habiller en circonstance.
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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Mar 1 Aoû - 19:48


Once upon a dream - Lana Del Rey

Le matelas avait été tiré du sommier en miette sous le poids d’une passion non feinte, ni même retenue. La chambre était encore chaude et suave de leurs ébats. A son grand plaisir, la belle brune était restée pour la nuit, lovée contre lui et l’accompagnait dans ses rêves jusqu’au petit matin. De la sentir contre lui, son corps gracieux et délicat entre ses épaules musclés et son parfum enivrant, et après quelques derniers baisers tendres échangés il s’était endormi presque aussi-sec, balancé par l’alcool, hypnotiser par leur deux corps battant en diapason. Il ne fit même pas de cauchemar. Il dormait du sommeil du juste. Elle avait fini par se réveiller au petit matin. Lui, il dormait toujours comme une souche, vu les émotions, l’alcool et l’effort qui avait précédé sa nuit, il était cassé. Prenant le temps de le regarder en toute innocence, elle partit et laissa une place vide et froide à ses côtés.

Il dut ouvrir l’oeil peut-être une demi-heure plus tard. A moitié dans les limbes, il se tourna pour la chercher sur sa couche. Il ne sentit rien que la pierre froide qui lui mordit la peau des mains et les bosses formés par le corps de Diaz quelques heures plus tôt. Il se leva et regardait autour de lui. Tout n’avait l’air que d’un rêve, mais de se voir par-terre et son lit comme ayant survécu à une tempête, il fut rassuré. C’était vrai et ça s’était passée. Il se redressa et jeta un regard à la chambre pour vérifier qu’elle n’était plus là. Non, aucun signe de vie, si ce n’est les bruits de l’extérieur, le hennissement de l’âne, les sabots des cheveux et quelques domestiques qui beuglaient dans leur patois à travers l’arrière cour où se trouvait le bétail. Il soupira d’aise, encore emporté par cette si chaleureuse nuit et se rallongea, un grand sourire aux lèvres. Il se prélassa dans son matelas informe directement sur le sol encore facilement une heure.

Trouvant enfin la force de se lever, il trouva un mot à sa porte. Toujours au milieu de sa petite chambre, il n’eut qu’à se pencher pour récupérer le papier aux doux parfum. Celui de Diazpro. Encore un peu dans le gaz, il l’ouvrit et sourit. Il ne s’attendait pas du tout à ce qui allait arriver. Au contraire, il se demandait bien ce qu’elle lui préparait après cette nuit passée ensemble. Ou peut-être voulait-elle mettre les choses au clair et que tout cela devait rester discret et ne pas recommencer. Impossible. Mais il était bien arrosé, il a peut-être mal interpréter ses messages. Il ne se rappelait pas de grand chose, juste que c’était absolument sublime. Une rédemption. Elle lui donnait rendez-vous sous l’immense chêne qui était dans l’enclos des oies.

Il s’était alors habillé, changeant des habits de la veilles, mais pas forcément plus propre. Quoi qu’il avait quand même fait un effort de coquetterie. Il se rappelait encore toutes cette histoire de se faire beau pour quelqu’un. Dans sa chambre, devant le morceau de miroir brisé qui était accroché à un des murs il resta un moment pensif. Il se tenait l’alliance de son mariage avec sa défunte femme encore à son doigt. Après une longue hésitation, il la retira. Bien sûr, cette fichue bague était bien agrippé à son doigts et ce ne fut pas s’en souffrir un peu qu’il se l’arracha et la glissa sur sa chaîne avec celle de sa femme. Il était peut-être prêt à passer à autre chose. Il y a encore quelques mois, il ne se sentait pas du tout capable de la retirer ou d’accepter sa mort. Il ne l’acceptait toujours pas, mais disons qu’il l’avalait lentement.

De bonne humeur, sans aucune peur, ni même doute, il se rendit dans l’arrière-cour du château. Pas besoin de trouver un bon coin pour pouvoir l’observer secrètement. Il n’avait plus besoin de se cacher. Ou peut-être. Plus il approchait et plus il avait peur de ce qui allait se passer à ce rendez-vous. Et si elle se ravisait ? Non ! Je me fais des idées. Elle veut sûrement passé du temps avec moi, car elle ne peut déjà plus se passer de ma présence. Ou alors en discuter… Il avait tellement envie de la voir, ses mimiques, sa bouche, ses yeux, son corps se déplaçant comme s’il flottait sur le sol, sa poitrine qui le faisait frémir à chacune de ses respirations. Tellement pressé qu’il n’était même pas aller saluer Jack comme il le faisait tous les matins, histoire de se réveiller avec un bon vin ou un café. Et il repensait subitement à Jack. Diaz l’avait déjà tenu au courant ? Qu’allait-il lui dire ? Devait-il lui dire ? Comment ? Rien à faire. Il était sur un nuage. Diaz l’obsédait, elle le portait, lui donnait des ailes pour ne voler qu’à elle. Finissant sa cigarette roulé, il l’écrasa sur le muret en pierre avant d’entrer dans l’enclos. Le portail en bois grinça et les oies qui s’agitèrent autour de lui. Comprenant qu’il n’avait pas le grain, elles se dispersèrent toutes.

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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Mer 16 Aoû - 15:53


Malédiction : -3 MOIS
I KNEW YOU WOULD CHANGE MY LIFE. I JUST DIDN'T KNOW EXACTLY WHEN.

Tu finis de mettre enfin cette sublime petite couronne de fleurs rouge sang, tu te regardes dans le miroir longuement. Iva s’approche de toi et caresse tes cheveux avant de mettre une mèche devant « s’il t’aime sincèrement ça devrait bien se passer, tu as été toi-même durant tout son séjour, le seul mensonge que tu lui as infligé c’est mentir sur ton titre, mais c’était La Diazpro que je connais qui l'a charmé, pas une autre femme » tu portes ton regard sur elle. Ta maman de cœur qu’il n’y a même pas cinq minutes te rabrouait les oreilles en te disant que c’était une mauvaise idée essai a présent de t’apaiser. Elle a bien vu que cet homme te faisait fondre, dans tous les sens du terme. Tu n’es pas irresponsable elle est la mieux placée pour le savoir, alors vouloir mettre en danger ton statut pour l’amour d’un homme qui ne te connaît qu’à moitié. « J’espère que tu as raison Iva, j’ai besoin de lui ….. » C’est triste à dire mais en effet, sans le voir ni le vouloir tu t’es mise à dépendre de sa personne, de son visage, de sa présence, de ses paroles. De lui. Tu te retournes vers elle et l’enlaces tendrement. « j’y vais » elle embrasse ta joue avec toute la délicatesse qui la représente et hoche la tête. Dans une robe claire simple et sculptant ton corps tu avances en te triturant les doigts à penser comment lui avouer tout ce que tu as à lui dire sans l’effrayer. Jack n’est au courant de rien, de toute façon connaissant Iva elle va lui demander de vous surveiller de loin.

Tu t’arrêtes devant une large fenêtre qui donne sur la cours des oies et l’arbre auquel tu lui as donné rendez vous. Il était là, au pied de cet arbre à t’attendre, un sourire tendre ne peu s’empêcher de se former sur tes lèvres légèrement teintées en rouge. Il est tellement adorable quand il le veut. Tu inspires grandement et croises quelques gardes que tu salues au passage avant de descendre dans l’arrière-cour du château pour rejoindre l’enclos des oies. Ta silhouette commence à se former dans l’horizon qui donne sur le château. Tu es toujours aussi stressée mais tu essaies de le contenir pour ne pas l’affoler. Levant un peu ta jupe pour ne pas la salir en passant dans des morceaux de chemin de terre. Enfin tu l’approches, en le voyant, en plongeant ton regard dans le sien tout le stresse que tu as s’évapore et est chassé. Tu te remémores votre nuit ensemble, des frissons t’emportes alors que tu n’es qu’a quelques centimètres de lui maintenant. « Tu es venue.. » Tu te pinces les lèvres et approches de lui pour lui voler un baiser passionné mais tendre à la fois, tu veux tellement que ça se passe bien, qu’il reste à tes côtés, qu’il t’accepte comme il la fait l’autre nuit. « Désolé…. Je t’ai abandonné ce matin, mais je voulais me préparer convenablement pour te parler de quelque chose d’important » lui prenant sa main tu le guides pour venir se poser sur le banc en bois brute qui se trouve à côté.

« Je voulais te dire que … » tu rougis affreusement pas confiante de ce que tu vas lui dire la tout de suite, c’est la première fois que tu vas faire un aveu pareille envers un homme. « J’ai passé la plus belle nuit de ma vie avec toi … » Tes yeux sont d’une sincérité quand tu le regardes avec ces yeux pétillants, brillants, comme s’il était la plus belle chose que tu es vue. Le rouge de tes joues commence à chauffer quand il te fixe après cette déclaration. « Tu as déjeuné, par ce que sinon on va prendre quelque chose en cuisine ! » Tu ne sais pas comment engager la VRAI discussion et tourner autour du pot te permet de mieux agencer les phrases dans ton esprit avant de lui dire la vérité. En parallèle tu ne lui lâches pas la main et plus encore tu t’accroches à elle comme à une bouée, ton angoisse doit se faire sentir à l’instant. Soupirant gravement tu baisses les yeux vers une petite oie qui s’est éloignée pour s’approcher de vous, tu portes une main vers elle et lui caresse le haut du crâne. « En fait si je t’ai fait venir ici, c’est pour te parler de quelque chose de très important. » Tu te pinces les lèvres « je ne voulais pas que ça se passe comme ça mais je ne voulais pas non plus te faire peur en t’avouant toute la vérité dés notre rencontre » relevant ton visage vers le siens tu le regarde avec toute la sincérité qui est possible « mais avant de tout dire je veux que tu sache que j’ai fait cela pour te préserver, te laisser le temps de te remettre de tes pertes. On en a longuement discuté avec Jack avant de choisir. Et je ne veux pas que ce que je vais te dire aujourd’hui changer ta façon de me voir, je suis exactement la même … Je n’ai rien changé pour toi, juste… Mon titre et mon rôle dans ce château …. »

Tu lui serres à nouveau les mains, cette fois toutes les deux dans les tiennes « je …Je ne suis pas Gardienne d’oies …. Ce château m’appartient et ……… je suis la souveraine de ce pays en réalité…. » Tu y vas petit à petit, rien ne sert de tout lui envoyer dans le visage, en plus de ton statut, il reste encore le côté sorcier du Nord à faire passer … « Dis-moi quelque chose s’il te plait … »  En l’occurrence, s'il est assez intelligent, il ferra rapidement le lien entre le titre de souveraine, et le rôle de celle ci dans le monde d'Oz, toutes les souveraines de ce royaume sont obligatoirement des sorcières cardinal.
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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Ven 18 Aoû - 0:18


Once upon a dream - Lana Del Rey

Il se tenait sous l’arbre où sa belle lui avait donné rendez-vous. Légerement en avance, il ne voulait pas la faire attendre. Il n’avait pas réfléchis non plus. Il s’était préparé et était venu. Il voulait la voir. Il ne pensait qu’à elle. Il pensa parfois à autre chose sur le chemin mais très vite, il revenait à elle. Diazpro, la gardeuse d’oie au regard rassurant et au sourire chaleureux. La douce brise balançait les feuilles de l’arbre au-dessus de sa tête, bruissant malgré le vacarme des oies qui cancanaient joyeusement à des lieues de Cly. C’est qu’elles n’avaient pas confiance. Appuyé contre le tronc, il sentait le temps s’écouler, tirant sur les ficelles de son coeur prêt à s’envoler dans le ciel comme un dirigeable, le serrant toujours un peu plus. Le doute venait écraser sa joie petit à petit. Cly se sentait si faible et vulnérable, malgré l’homme puissant qu’il était, un bastion imprenable, une montagne que rien n’érode. Sauf elle.

Et elle arriva. Diaz se dessinait au loin, sortant du château pour se rapprocher de lui. Son pas était gracieux et elle flottait comme toujours sur le sol. Les doutes de Cly s’évanouirent et son coeur se mit à battre avec force. Il en avait presque mal. Il n’avait plus d’alcool dans le sang, si ce n’est les restes d’un douloureux mal de crâne. Qu’un détail qui n’avait pas son importance à cet instant. Sa robe était merveilleuse, aussi délicate que celle qu’elle portait la veille. Elle le rendait fou tant elle était belle. Sa couronne de fleur le faisait craquer, mis en valeur par son visage de poupée en porcelaine. Elle approchait encore et toujours. Je me suis dis que je ne voulais plus la voir partir. Me quitter. Je veux l’avoir à mes côtés. Je veux vieillir avec elle. Lui donner ma confiance, ma vie, mon coeur… J’ai besoin d’elle. Son maquillage était juste assez léger pour laisser éclater sa beauté naturelle. Il n’avait pas réussi à sortir un seul mot, quand enfin elle était à sa hauteur. La bouche entrouverte, il la dévisageait de la tête aux pieds, étirant doucement un sourire radieux.

Elle s’étonnait presque de le voir. Il ne répondit pas, portant une main à son visage avec tendresse. Du bout des doigts, il effleura sa joue et sa coiffure. La main de Diaz s’y glissa et il la serra comme porter par leur affection mutuelle. Se hissant sur la pointe de ses pieds, elle vint coller ses lèvres contre les siennes et lui faire l’honneur d’un baiser. De son autre main, il lui enlaçait la taille et y répondit avec ravissement et envie. De la tendresse et de la passion, comme un doux écho de la nuit passée ensemble. Il avait pensé à un rêve et tout se réalisait par ce baiser. Or il pensait encore à un rêve, mais il ne préférait pas s’y attarder. Si tout cela n’était qu’un songe, pour vu que je ne me réveille jamais. Chaque instant, il voulait l’apprécier. Diaz commença alors par s’excuser. Il comptait lui répondre d’un signe de tête que ce n’était rien de grave, mais la suite le figea et son regard se fit perçant d’inquiétude.

Elle l’emmena plus loin, sur le banc. Il y prit place les jambes un peu rigides et attendait. Il avait peur. Ses doutes finalement était peut-être fondés. Il ne préférait rien dire, toujours aussi muet, l’angoisse lui nouant la gorge et l’estomac. Elle reprit la parole. Ses adorables joues se mirent à rougir alors qu’elle évoquait la nuit qu’ils avaient passé. Ses mots l’avait touché. Il pensait la même chose. « Moi aussi, j’ai trouvé ça merveilleux » avait-il comme continué ses paroles. Son sourire était grand et son regard aussi pétillant que la brunette. C’était plus fort que lui, il se penchait vers elle pour venir l’embrasser avec la même passion qui les entourait depuis leur premier baiser échangé dans cette cuisine, sur cette table. En parlant des cuisines, elle changea rapidement de sujet lorsqu’il se détacha d’elle, se souciant de savoir s’il avait mangé. Arquant un sourcil sceptique, il secouait la tête pour lui faire comprendre qu’il n’en avait pas besoin. « Je t’ai toi, ça me suffit... Y’a pas meilleur douceur pour commencer la journée. » lui avait-il dit taquin et béat. Ses petits doigts se serrèrent sur sa grosse paluche rugueuse. Elle avait l’air si mal à l’aise. Son air heureux et idiot s’estompa. Il s’inquiétait encore un peu plus.

Les oies cancanaient toujours. L’une d’elle s’approcha et Diaz la flatta d’une caresse sur le haut de sa grosse tête blanche et son regard benêt. Il porta son attention à ce geste, suspendu aux mots de Diaz. Suspendu dans le temps. Il s’impatientait de savoir. Elle répète alors qu’elle avait quelque chose d’important à lui dire et le coeur de Cly fut comme une enclume dans sa poitrine. A force de le lui dire, il n’allait pas y survivre. Elle se lançait enfin, tournant autour du pot. Le début de son discours commençait mal. Cly serra lui aussi sa main sur celle de sa belle. Les muscles de sa mâchoire étaient saillant. Il était crispé. Son regard était fuyant, descendant le long de sa robe, jusqu’à ses pieds si adorablement chaussé avec finesse et goût. Les mots s’enchainaient et il avait l’impression de perdre pied. Il sentit qu’elle relevait la tête, mais il n’eut pas la force de la regard. Qu’un coup d’oeil bref. Il détachait sa main de la sienne, pour venir jouer des ses doigts avec ceux de Diaz, les caressant, les frôlant et les enlaçants. Des caresses nerveuses. Un petit animal perdu et stressé qui cherchait un repère.

Il n’avait pas envie d’en entendre plus. Il voulait lui hurler d’arrêter, mais il ne dit rien. Jack était dans l’affaire. Des mensonges. C’était ça qu’elle essayait de dévoiler, les mensonges qui les avaient liés tous les trois jusqu’à maintenant. Je leur faisais confiance… Elle lui dit qu’elle était la Reine de ce royaume. Il prit un moment avant de comprendre et il releva enfin son regard pour le plonger dans le sien. Il ne dit rien pendant un long moment. Elle l’implorait de dire quelque chose. Il avait l’air étonné. Impressionné. « Pardon ? Tu veux dire que… Ici… C’est à toi ? Tout ça… ? T’es la fameuse Reine de ce bout de terre ? Je… Woaw… Je me sens... pouilleux. » avait-il commencé, surpris et pris au dépourvu. Dans un premier temps, il n’avait pas pensé qu’un jour, il aurait fait fondre le coeur d’une si grande Dame. « La Reine de ce royaume… » finit-il par murmurer, regardant sur le côté. Cela venait de le frapper. Il faisait le lien. Les mensonges, son statut, sa nature... Son regard s’assombrit.

Il retira lentement sa main et sa respiration devenait profonde. Un bison qui se sentait pris au piège et angoissait. Il pouvait se mettre en colère et être dangereux. « T’es une… Cardinale ? » avait-il murmuré, la voix rauque et se levant brusquement du banc. Il s’éloigna de quelques pas, se passant une main dans les cheveux, anéantis. Tant de chose qui lui polluait l’esprit et lui brisait le coeur. Déjà qu’il n’était pas très à l’aise d’errer dans le palai d’une grande sorcière. C’était dur à encaisser de se dire qu’elle lui faisait face depuis le début et qu’elle lui avait accroché le coeur. Mais avec quels maléfices elle l’avait fait ? Il s’était laissé emporté par une vile et tentatrice sorcière. « Non !!! » s’était-il mit à rugir en donnant un coup de poing si violent dans l’arbre qu’il en trembla. Quelques bourgeons s’égrainèrent. Un deuxième et on entendit un craquement. Il était fort. Très fort. Et en colère. « Tu me prends pour l'idiot du village ? Je vous connais. La magie est un vice qui rend ses possesseurs vicieux. Tu m’as menti et tu crois vraiment que maintenant je vais te croire ? J’étais prêt à tout te donner. Ca t’amuse de jouer avec moi ?! » s’éparpillait-il dans le tumulte de ses émotions contradictoire. Il faisait une décompensation de sa dépression. Il était aliéné par son deuil. Il ne méritait pas d’être heureux, ce n’était pas son destin alors encore une fois, il accusait le coup. Il était persuadé qu’on cherchait encore à le détruire. La vie voulait le détruire à petit feu et Diaz et Jack était la nouvelle lubie de sa mauvaise fortune. Il était fatigué. Il n’avait plus la force de se faire rouler ou poignardé dans le dos. Il en avait assez de devoir toujours marcher en regardant derrière lui. L’ombre de nouveaux soucis plantait toujours au-dessus de lui. Depuis qu’il trainait avec Jack et Diaz, il n’avait plus ce genre d’angoisse. C’était ça le plus dure à encaisser. Encore des mensonges ! Il ne pouvait y croire. Pas elle. Tout sauf elle. La vie est si cruelle.

Il avait fait les cents pas tout en parlant et brusquement il l’attrapa par les cheveux et la jeta sur l’herbe, hors du banc. Les fleurs de sa couronnes courraient sur le pelouse de l’enclos. Les oies s’affolèrent et se mire à jacter avec force, comme un cor sonnant l’alerte. Il ne lui laisserait pas le temps de parler. Il ne voulait pas l’entendre. Il ne lui donnerait pas l’occasion de se jouer encore de lui et le manipuler. « Pourquoi me torturer ?! C’est ça qui te divertis ? Te jouer d’un homme faible et venir jouer là où ça fait mal ? Tu peut-être fière, t’es une sacré bonne comédienne ! J’étais presque prêt à te donner mon âme. J’ai pas besoin qu’on me rappelle que j’ai pas le droit d’être heureux et que la vie est une putain ! ». Il s’emportait, il était hors de lui. Il l’enjamba et l’attrapa par l’arrière de son bustier. Il la retourna et la saisissant par les épaules, il la secouait. « Pourquoi tu me fais ça à moi !? ». Impossible pour lui de voir la possibilité de la sincérité. Il n’avait plus le contrôle de rien. Sa folie avait le dessus sur sa raison. Il s’éloigna et attrapa le banc de pierre qu’il finit par soulever après un petit effort. Il était tellement enragé et brisé qu’il risquait de la tuer sans s’en rendre compte. J’étais prêt à lui donner ma vie !.

Jack arrivait tout juste. Iva avait demandé de les surveiller. Il était essoufflé, appuyé contre un poteau en bois qui soutenait le chemin des murailles. Il vit Diaz dans l’herbe et Cly soulever le banc et le brandir au-dessus de sa tête. Il s’approchait de sa soeur. « De toutes, t’étais la seule qui n’avait pas le droit de me trahir ! T’avais pas le droit de jouer avec mon coeur déjà en miette. » craquait-il, les larmes aux yeux et la voix gémissante. Jack courut, apeuré et hurlait à Cly de ne pas le faire. Cly allait l’abattre sur elle. Du moins, c’est l’air qu’il en donnait. Il en avait envie, mais il n’en aurait jamais eu la force. A moins qu’il ne perde totalement le contrôle et se laisse dévoré par ses démons. Il ne voulait pas y croire. Ses bras tremblaient. Ses muscles qui le travaillaient ou le poids de sa peine qu’il retenait.

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Message# Sujet: Re: [!+18!]FB ※ You Dont Know Me   [!+18!]FB ※ You Dont Know Me - Page 2 Icon_minitime1Mar 5 Sep - 18:24


Malédiction : -3 MOIS
I KNEW YOU WOULD CHANGE MY LIFE. I JUST DIDN'T KNOW EXACTLY WHEN.

Les retrouvailles étaient merveilleuses, jusqu’à un certain temps, les révélations ne sont pas du tout au coup de celui qui a partagé ta couche. Tu as temps imaginé ce moment, fait des centaines de prémonition, mais toutes finissaient bien, une façon de te réconforter dans votre décision de lui mentir, Jack et toi. Tu te souviens encore comme si c’était hier de votre discussion.

- « ca ne va pas de ramener des inconnus comme ça dans le château ! »
- « je…. Je voulais lui offrir un toit, depuis quand tu es si grincheuse ! »
- « JE SUIS PAS GRINCHEUSE !!! »
- « Alors pourquoi tu ne veux pas de lui, tu t’en fiche il te connaît pas, et vu son état il calcule personne ici »
- « Ce n’est pas ça qui m’inquiète, regarde son état justement, ça ne doit pas être la première fois qu’il est aussi ivre mort par l’alcool ! »
- « JUSTEMENT on…Enfin je vais l’aider »
- « Il fait peur à nos amis, les femmes de chambre on du nettoyer tout le couloir après son simple passage. Je ne veux pas d’un énergumène aussi violent et incapable de vivre sans l’alcool dans mon château Jack ! »


Et c’est là que son histoire à été conté, son veuvage, sa perdition, son mal-être. Tout sa Jack la vite compris et à su mettre des mots dessus pour te convaincre, mais ce qu’il a tardé à te dire c’est son allergie contre la magie et les sorcières. C’est là que tu as vite compris que ce ne serait pas si simple d’avoir un homme comme lui dans l’enceinte de vos murs. Et c’est en voyant son état misérable que tu as changé d’avis, il avait sincèrement besoin d’aide. Et lui dire que ceux qui l’accueille et le soigne sont des affiliés à la magie n’aurait jamais été pertinent pour son rétablissement. Ce n’était que pour son bien et sa santé mental que vous aviez monté ce mensonge de toute pièce. En aucun cas vous aviez fait ça pour le blesser, mais dans son état toute contrainte pourrait se retourner comme un affront et une attaque personnelle contre à fierté personnelle. Et c’est ce que tu lis dans son regard à ce moment même, alors qu’il comprend qui tu es.

Une sorcière cardinale, il est plus rapide que tu ne le pensais. Mais c’est une confiance qui se brise que tu entends dans sa voix, tu ne sais pas comment ça à pu si vite se gâter mais en fait tu n’as pas vraiment le temps de réfléchir. Ton visage se crispe et tu échappes un crie de douleur. C’est par tes cheveux magnifiquement peignés par Iva qu’il ose se venger pour te jeter au sol comme une mal propre. Prise au dépourvue tu écrases le sol essoufflée et apeurée sur le coup. Comme cette soirée passée ensemble elle commence pareille mais d’une amplitude bien plus destructrice. Tu ne t’imaginais pas y a quelques heures qu’il s’emporte à ce point-là. Ses paroles se mélangent « je ne t’ai pas envoûté ! Je ne suis pas ce genre de sorcière CLY ! » Tu essaies de te rapprocher de lui pour qu’il comprenne que sa représentation de la magie est fausse et médiocre. Il ce base que sur des pastiches de la magie que les non-initiés se font sur la magie et ceux qui la pratiques. Tu conçois que cela peut faire peur et peut dérouter. Mais jamais tu ne te serais imaginé qu’il se déchaîne autant.

Te jouer de lui ? Tu es tombée amoureuse de lui plutôt ! Te servir de lui ? Tu as tout fais pour cacher ta vraie nature pour ne pas le perdre ! Jouer la comédie ? Tu n’as jamais été plus sincère qu’avec lui, tu tes offerte à lui sans concession et sans faux-semblant. Mais tout ce qu’il arrive à faire c’est résumer tes sentiments pour lui à de la sorcellerie. Tu n’arrives pas à croire que tout ce que vous avez partagé hier soir s’envole comme de la buée. « JE N’AI PAS JOUE AVEC TOI CLY » mais tu as beau le crier il est embourbé dans son délire de manipulation. « J’ai été sincère avec toi …. Je ne t’ai pas menti par plaisir je voulais te protéger de ton passé » Tu n’as pas le temps de souffler que celui-ci soulève le banc de pierre au-dessus de sa propre tête. Tu reste figée devant tant de colère et de rage, au point qu’il ne sait plus ce qu’il fait et dans quelle proportion cela explose. « ARRÊTE CLY » tu ne sait pas jusqu’à ou cela peut vous mener mais il faut arrêter ce monstre de révolte. Levant la main tu soulèves le banc par la gravité ambiante, lui par la même occasion et te relèves. Maintenant tu es en colère. « Tu veux voir ce que ma magie peut faire ? » D’un véritable claquement de doigts qui résonne dans les près des oies, le banc vol à quelques mètres plus loin laissant Cly flotter dans les airs. « si tu m’écoutais un tant soit peu tu comprendrais que je ne me suis pas joué de toi, je t’ai accueilli chez moi je t’ai soigné, écouté, pansé tes plaies physique et mental comme j’ai pu. J’ai subi ta mauvaise humeur, tes gueules de bois, tes colères injustifiée en une seule soirée mais je n’ai pas bronché. Si je suis la sorcière que tu décris, pourquoi je me serais embarrassée d’un homme de ton genre. J’ai été ridiculement séduite par ce que j’ai cru être un homme brisé ayant besoin de réconfort !!! Dans l’histoire J’AI été la plus stupide !! »

Grinçant des dents tu baisses simplement la main pour littéralement l’écraser du double de son poids au sol pour en creuser un léger affaissement. « Dans cette histoire je peux aisément dire que c’est toi qui tes jouées de moi …. Je t’ai ouvert mes portes et mon cœur et tout ce que tu réussis à faire c’est l’écraser !!! » Approchant, tu ne subis pas les affres de la gravité, le relevant à ton niveau tu le fixes « si j’étais réellement le genre de sorcière que tu décris, je pourrais en effet t’écraser comme un vulgaire insecte … Mais je suis une reine et tous les sujets présent ici te dirons que je suis la pour les protéger de personne à l’esprit obtus comme le tien Cly Porter, non seulement tu ma humiliée mais tu as salis des sentiments sincères que je t'es avouée comme une pauvre idiote. Et ça.... je ne t ele pardonnerais pas ... » levant le bras tout entier tu veux lui donner une bonne leçon mais tu ne peux pas le baisser sentant une prise sur celui de la part de ton ami et frère de cœur « je pense qu’il a compris Diazpro… Tu te laisses emporter là…. Laisse le redescendre maintenant » on entend que le vent sifflé, même les oies ont disparu. Le château tout entier est spectateur de votre dispute, les fenêtres du château son remplis de visage choqué. « Ça suffit … Calme toi » chuchote t-il à ton oreille en te tenant le bras pour le baisser doucement. Sans t’en rendre compte tu t’es laissée emportée par tes sentiments, malgré toute la gentillesse que tu as en toi, tu restes une femme fière et se faire frapper par des mensonges pareils ne pouvait pas rester sans réponse. « Je……Cly… » Tu le regardes sans pouvoir retenir des larmes. Il avait reposé les pieds par terre. Tu sens les bras de Jack venir contre toi comme pour te protéger mais aussi te contenir, vos deux visages sont tournés contre celui de Cly. « Vous êtes allés trop loin…. Je te parle à toi aussi Cly, arrête ça tout de suite » sa voix est différente de d’habitude, tu ressens son envie de te protéger comme de calmer son ami.
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Once upon a dream - Lana Del Rey

Il l’avait jetée au sol comme un mal-propre, seulement animé de sa douleur et sa colère. Aveuglé par son veuvage et tous ses anciens démons dont certain qu’il n’eut jamais la force de parler à qui que ce soit, il ne contrôlait plus rien. Il était confus, se méprenait, mais il n’entendait plus sa raison le ramener au calme et à l’écoute. Non, il n’y avait que des cris de rages impulsifs venant du fond de son esprit. Il n’était pas dans une de ses meilleures périodes. Il avait presque remonté la pente à un moment après la perte de sa famille, mais il avait replongé. Diaz était alors apparue comme un miracle, un chemin vers la sérénité et le bonheur. Une douceur à la fin d’un repas indigeste. Une fleur au milieu d’un monde dévastée. Un phare dans ses eaux tourmentés. Il s’était accroché et nourri d’espoir, encore plus après cette nuit. Des jours qu’il espérait un peu moins que ça et qu’il n’osait pas lui dire sincèrement qu’elle faisait de nouveau battre son coeur. Tout était doux et chaleureux lorsqu’il était avec elle, s’était-il dit avant de s’endormir et même au petit matin. C’était comme si son rêve se ternissait et se déformait en un affreux cauchemar. Il n’y avait pas le droit. Non, son rêve d’une vie meilleure. D’une vie qui le rendrait meilleur et enfin aimé pour ce qu’il était.

Elle avait beau lui expliquer malgré le traitement qu’il lui accordait, il était incapable d’entendre. Incapable de savoir ce qu’il faisait ou voulait. Ses mots sont cinglants et intolérants. Ce n’était qu’une simple angoisse, une faiblesse qui l’avait rendu acerbe face à la magie. Elle avait l’avantage sur la force et il n’avait que ça. Et malgré tout, j’ai pas pu les protéger… Il n’y comprenait rien et ça lui faisait peur. Sauf que là, ça ne passait pas. Qu’elle lui ait mentit, pour une bonne raison ou non, elle l’avait trahi et cela ne faisait que confirmer l’avis qu’il se faisait des sorcières. Elle tente en vain de lui dire, de lui expliquer ses raisons et assumer ses fautes, mais il était déjà loin. Il était en pleine décompensation. Il tenait le banc au-dessus d’elle, les dents serrés, les larmes aux yeux et tremblant. Il hésitait. Enfin, il revenait doucement au calme, essayait de se tempérer. Il eut assez de recul pour ne pas se sentir de le faire. Il comptait le lâcher juste à côté et partir, mais voilà que ce qui aurait pu être l’arme d’un crime impardonnable se souleva. Cly sentit son corps quitter le sol lui aussi. La sensation était étrange, comme si son âme s’envolaient vers les cieux. Est-ce que j’étais mort ? Il volait mais son corps n’était comme… Pas entier. Une telle masse de muscle, ça devait lui faire bien bizarre d’être moins sensible à la gravité.

Sa phrase avant qu’elle ne le soulève avait sonné pour lui comme une menace. Quand il réalisa, il était complètement transit de peur. Son visage s’était figé et il s’était débattu. Il s’en mordit le poing pour ne pas gémir d’angoisse ou hurler. Son palpitant galopait à vive allure et il se mit à regarder partout autour de lui. Il cherchait comment se sortir de là. Il était persuadé qu’elle allait le tuer ou le torturer. Il paniquait totalement. Encore une fois, il l’avait à peine écouter. Il l’avait entendue et ces paroles, c’est que bien plus tard, après la malédiction qu’il les comprendrait et regretteraient de ne pas les avoir entendu. Il était aliéné par la peur et la dépression. Il ne voulait simplement pas mourir et il se le répétait inlassablement. Soudain, Cly rencontra le sol avec puissance d’un simple geste de la main de la reine. Il poussa un grognement de douleur et en voulant se relever, il resta simplement cloué au sol. Il ne perçut que le bruit de ses pas qui approchaient et sa voix qui lui paraissait si lointaine. Dans son sentiment de persécution, il comprit simplement qu’elle pouvait l’écraser comme elle le voulait et d’un claquement de doigt. Il fut soulevé, mais il n’avait même plus la force de relever la tête. Quelques larmes avaient coulés aux coins de ses yeux, discrètes. Il était à peine conscient, essayant d’accepter son sort, de retrouver sa femme et sa fille aux Enfers, de regretter ses actes et se sentir soulager de ne pas connaitre plus de peine.

Jack s’interposa alors entre les deux protagonistes, attrapant la main de Diazpro et l’arrêtant dans son geste. Enfin, Cly fut libérer. Il s’écroula, un genoux au sol. Il finit par souffler de soulagement en se frottant les bras. Diaz pleurait et lorsqu’il releva la tête, il devinait à peine le poids de sa douloureuse déception dans ses magnifiques yeux chocolats. Non, il lui jetait un regard plein d’effroi. Et comme s’il avait soudainement remarqué qu’il était vivant et libre de faire ce qu’il voulait de son corps, il se leva précipitamment. Un peu maladroit, il se retrouva debout et reculait d’un pas méfiant. Il aurait fait face à un dragon ou un monstre que cela aurait été pareil. Il était perdue et on le sentait à son regard d’animal apeuré et paniqué. « M’approchez plus ! » avait-il finit par aboyer aux deux avant de partir en courant. Le dernier regard qu’il leur avait jeté était celui d’un homme qui lui aussi avait le coeur brisé. Encore une fois. La fois de trop... Et si seulement j’avais réussi à l’écouter... Jack l’avait vu.

C’est plus tard, en trouvant une pièce de tissus, tachée de sang et de sueur, mais parfaitement pliée et rangée précieusement dans un endroit discret. Jack devina rapidement. C’était celui qu’avait utilisée Diaz ce soir où Cly était rentré très esquinté après un règlement de compte dans une taverne, à peine conscient. Elle avait pansé ses plaies et l’avait veillé toute la nuit. Cly avait la manie de garder des objets qui marquaient une rencontre avec une âme qui le touchait. De sa femme, il avait gardé les rubans de ses chaussons de danse, avait-il confié à Jack. Ce dernier ne pouvait décidément pas le laisser partir sans qu’il ne sache et comprenne vraiment. Il était partit totalement en état de choc. Jack devait essayer. Encore une fois ! Une dernière fois… Et il partit sur les pas de Cly, avec deux jours de retard. Lorsqu’il le retrouva après des mois de recherche, ils ont été emportés par la malédiction. Il n’aurait su dire pourquoi lui avait été touché par Cly, or il ne pouvait pas rester là sans rien faire. Pour Cly et aussi pour Diaz. S’il pouvait effacer les blessures qu’avait provoqué toute cette histoire dans le coeur de Diaz... Il sentait coupable et voulait réparer les choses.

acidbrain


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