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Happy Endings Chronicles
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 when i met you

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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Jeu 2 Fév - 22:29


❝ When i met you ❞
- Rozen & Juliette -
You knew just everything, but nothing at all now the moon is dark feels like pain again. You could feel my breath. You opened my eyes for I could not see when I met you
Je n’avais su contrôler la bourrasque de vent glacial que j’avais envoyer vers la jeune femme. Ma magie avait répondu plus violemment que je ne l’aurais voulu. Je ne m’en étais même pas aperçu, ce n’est que lorsque j’avais vu Rozen se réfugier derrière ses bras que la culpabilité m’avait donné une grande claque. Qu’avais-je fais ? Cela faisait des années que je n’avais pas perdu le contrôle. Il n’avait suffit à Rozen que de quelques allusions à des légendes et des contes pour me faire vriller ; mon passé était mon passé, il m’appartenait et il était tellement différent de ce que les mages avaient racontés. Les contes qui parlaient de moi étaient tellement illusoire. Ils étaient uniquement basés sur les visions d’Albertof, et les romanciers avaient eu qu’à enjolivé la chose en vendant du rêve à tous les habitants du royaume de cœur. Les pauvres étaient persécutés comment leur en vouloir d’avoir cru en ses romances et aux écrivains d’essayer de vendre un peu de légèreté aux villageois ? Si seulement ses écrits n’avaient pas précipité la mort de ma cadette. Si seulement, ils n’avaient pas fait d’elle la cible numéro un de la plus cruelle des reines du pays des merveilles.

Je n’eus pas le temps de m’excuser pour mon écart de conduite, certes j’aurais certainement dû m’excuser avant mon laïus d’explication, mais mon orgueil avait réagis le premier et pour la première fois de ma vie je me faisais rencarder sans le moindre ménagement. Ô j’avais déjà eu à subir l’intégralité des violences physiques qu’une femme pouvait subir : le viol, les brûlures, les entailles, les coups,, mais depuis la fin de cette année maudite plus personne ne m’avait jamais manqué de respect ou avait osé élever la voix sur moi. Enfin si parfois Roméo se permettait se genre d’écart, bien que rapidement il s’en excusait conscient des souvenirs macabres que cela me faisait renaitre. C’était également lui qui se chargeait du sors des autres personnes qui me manquait de respect. Alors oui j’étais bouche bée qu’elle se permette sans sourciller un seul instant de me parler sur ce ton. Tous ses mots s’abattaient avec violence dans mon esprit, et je les recevais avec soumission, je brisais son rêve elle m’en envoyait désolée, mais cette Reine Blanche qui devait mener la douce Alice à vaincre la reine de cœur n’a jamais réellement exister. Ce n’était qu’une prophétie à laquelle les habitants de Wonderland et Cora ont cru. Comme si Rozen ne s’était pas autorisé assez de liberté elle se rapproche de moi et pose un doigt sur mes lèvres pour me soumettre aux silences, afin qu’elle puisse continuer en toute impunité de donner son point de vu, alors oui une fois de plus j’attendais la fin de son laïus écoutant attentivement et respectueusement chacun de ses dires. Elle méritait au moins que j’écoute, même si je n’étais pas particulièrement heureuse d’entendre les qualificatifs qu’elle employait du genre : sorcière.

Rozen libère mes lèvres afin de replacer une de ses mèches de cheveux que mon coup d’éclat avaient fait s’envoler. Automatiquement, je me demandais si j’avais le droit de parler, mais dans le doute je laissais planer le silence un instant. Moment pendant lequel, Rozen en profita pour ajouter que si elle était malade ca serait de ma faute. Une accusation qui ne fit qu’accentuer ma culpabilité, mes épaules se voutaient légèrement et je détournais le regard incapable de la regarder m’assassiner davantage. Encore une première pour moi, je me retrouvais à chercher mes mots et la jeune femme en profitait encore une fois pour prendre la parole pour me demander si j’étais sûre que mon roi était ici, relevant les yeux vers elle j’ouvrais la bouche pour la première fois depuis longtemps :

« Navrée, je vous présente toute mes excuses Rozen, je ne voulais pas faire ca. Je … c’est la bag… enfin non … j’ai perdu le contrôle, navrée, vraiment… »

Mes hésitations avaient le don de m’agacer, passant une main dans mes cheveux, j’expirais avant de me racler légèrement la gorge pour me donner un peu de contenance avant de poser ma main sur l’avant bras de Rozen avec tendresse.

« Je suis vraiment désolée, je ne voulais pas briser vos rêves d’enfant en mon égard, mais cette femme des légendes que vous avez évoqué. Ce n’est pas moi. Enfin je veux dire je suis la Reine Blanche. Dans les grandes lignes je suis celle des histoires et des légendes, mais se sont justement ses légendes qui m’ont tous pris. Je sais que ça n’explique pas tout. Je sais que mes deuils ne doivent pas interagir avec mes pouvoirs. Seulement tous est intimement lié. Je ne me cherche pas d’excuse. Vous n’y êtes pour rien, mais ses légendes m’ont pris Alice et mon bébé. En les évoquant vous avez remué des souvenirs que j’essaie d’enterrer. C’était accidentel, mais comprenez que mon acte l’était également. »

Marquant une pause, je regardais autour de moi avant d’ajouter :

« Pour répondre à votre question, oui je suis certaine que Roméo est dans cette ville. Il a été pris par le sors noir, croyez moi en vingt huit ans je l’aurais retrouvé si cela n’avait pas été le cas. Vous l’avez certainement croisé oui mais dans cette ville j’ignore s’il porte ce nom. La seule chose que je sois sûr c’est qu’il n’est plus roi. »



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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Ven 3 Fév - 10:47

ft. Juliette white Queen & Rozen D. March

When I Meet you
Tu souris quand elle complimente Oscar, elle a dû en voir des choses plus surprenantes qu’un nom pour un objet. Tu lui souris et commences à t’installer caressant les cordes de ton instrument comme pour l’écouter. Car en effet depuis la disparition de ton dernier parent, tu as la sensation d’entendre Oscar te parler, même si ce ne sont que des chuchotements, tu arrives souvent voir toujours à le comprendre. Tu frottes lentement l’archet sur les cordes pour entendre un mince filet grincer. Étonnée, tu regardes Juliette avant de t’écrier « c’est une super idée… » Prenant la main de la reine tu gardes l’autre pour tenir Oscar et ton archet « prend moi l’étui » tu t’empresses de la guider vers un petit bosquet plat et assez dégager. Arrivé à l’endroit parfait celons les idées de ton violon tu la regardes avec de grands yeux brillants « tu veux que je te montre quelque chose de magique, mais tu dois me promettre que tu gardes ça pour toi. » te pinçant les lèvres tu sautilles presque sur place trouvant l’intervention d’Oscar parfait pour émerveiller la reine blanche, tu espères qu'elle partagera aussi ton enthousiasme. « Pour ta venue dans ce monde je vais te jouer une musique j’ai entendu et je j’ai trouvé sublime. Je vais juste te demander de penser à ton Roméo … Et laisse toi guider d’accord !? » Lui faisant un clin d’œil tu la laisses reculant un peu et inspires grandement. Tu fermes les yeux pour te concentrer, la musique est un art et c’est bien la seule chose que tu prends au sérieux dans ta vie. Rien ni personne ne peut t’empêcher, t’entraver, ou t’arrêter cet amour que tu as avec Oscar

Tu restes figée pendant bien cinq minutes, ce qui pourrait être gênant pour ceux qui ne te connaissent pas. Mais c’est ta façon de te couper du monde, de rentrer en harmonie avec les notes qui se bousculent dans ta tête. Enfin tu frottes les cordes de ton archet en crins de licorne qui changeaient de couleur aux rayons du soleil. (CLICK) La musique commence à retentir et petit à petit c’est comme si la forêt elle-même t’écoute, le vent ce fait tout petit, les animaux se taisent et les feuilles se figent. A force de notes et de musique, le sol se couvre de jonquilles blanches. Les yeux toujours fermés, tu rentres littéralement en transe avec ton instrument, la musique s’échappe comme une bouffée d’air. Petit à petit le frottement de l’archet libère des poussières qui inhalées ou absorbées par les plantes les sublimes et les font pousser à la guise de ton imagination et la puissance du lien entretenue avec Oscar. Des plantes et des champignons dignes de Wonderland commence à fleurir et grossir comme chez-toi, comme chez elle, comme dans votre royaume. Pourquoi tu lui fais aussi soudainement confiance, pour lui montrer ce que tu n'oses pas montrer aux autres? Tout simplement par ce qu'elle est le visage de ta patrie, de ton passé, bizarrement tu trouve en elle un point de repère. une image pour qualifier ton chemin. c'est trop tôt pour d'autre, mais dans Storybrooke tu ne sais pas vraiment à qui t'adresser pour le moment, ou trouver un point stable au quel te référer, et la reine blanche, qui d'autre dans ton imagination et aux longs des histoires que ta mère ta racontées, qui d'autre ne peut mieux représenter tout celas, à part elle.

Tu lui as dit de bien penser à son Amour, car comme tu l’expliques, absorbée les poussières de crin donne une touche de magie, mais inhalées elle procure une légère hallucination. Celons l’état d’esprit des spectateurs ils peuvent voir leur plus grand rêve devant eux comme leur plus grand cauchemar, l’intensité de la réalité de ses illusions dépend quand elle de ton dévouement et ton investissement dans la musique que tu joues. Plus elle est intense et vient du cœur, plus l’illusion peut être réelle. C’est pour cela que tu ne joues pas souvent avec des spectateurs autour de toi, tu ne sais jamais comment peuvent réagir c’est intrus pas habitués. C’est comme celas aussi que tu t’es retrouvée parfois avec les foudres de passionnés de violons qui t’on descendus en flèches lorsqu’ils ont vu des choses qu’ils voulaient oublier. Cette fois-ci, c’est toi qui la voulu et tu espères que voir son amour, même étant une illusion, pourra lui remonter quelque peu son moral. Tu penses bien faire. Pour ta part tu imagines un par terre de fleurs et d’herbes fraîches assez douce pour y danser et se plaire de ce jardin imaginaire qui prend forme réellement cette fois-ci grâce la magie des crins de cet animal féerique.
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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Ven 3 Fév - 13:53


❝ When i met you ❞
- Rozen & Juliette -
You knew just everything, but nothing at all now the moon is dark feels like pain again. You could feel my breath. You opened my eyes for I could not see when I met you
Mes piètres bafouillages d’excuses, firent leur effet, Rozen semblait moins en colère contre moi. Elle était toujours largement déçu comment lui en vouloir, elle m’avait idolâtré comme on idolâtre son héro de roman préféré sauf que la vie n’avait pas été aussi simple pour moi que ce qu’elle l’était dans les légendes de notre mondes que je connaissais par cœur. Après avoir retrouvé un brin de consistance en passant ma main dans ma chevelure, une trouble du comportement que j’avais toujours eu lorsque je me retrouvais en situation stressante, gênante ou qui m’apportait un quelconque inconfort de quelque nature que se soit. Je lui racontais donc une partie des raisons qui avaient engendrés ma perte de pouvoirs, plongeant tête premières dans mes démons du passés, ceux qui n’avaient de cesse de me courir après dans cette ville et qui détruisait quelquefois le contrôle de ma bague.

Je savais que Roméo était en ville, et comme souvent je ne le qualifiais pas sous son rang de noblesse tout comme je ne me présentais pas d’embler comme était la Reine Blanche. Avant d’être un roi et une reine nous sommes avant tout Roméo et Juliette deux amants éperdus d’amour que la vie a bien trop souvent mis à l’épreuve. A l’évocation de son nom, le regard de Rozen reprend vie sans que je comprenne immédiatement pourquoi. Ce n’est qu’une fois mes explications terminées que la main que la jeune femme avait posé sur mon bras s’écarte pour qu’elle puisse s’exclamer tel une enfant à Noël que j’étais la Juliette de Roméo et Juliette. Sur ses mots, elle reprend mes mains m’apprenant avec enthousiasme que dans ce monde c’est la plus belle histoire d’amour qu’il existe. Incapable de me retenir, je me laisse bercer par les éradications de joie qu’elle éjecte de son corps, et laisse un léger rire s’échapper de mes lèvres avant de répondre le plus simplement du monde :

« En effet, avant d’être la Reine Blanche j’étais Juliette Capulet et le roi c’est bel est bien Roméo Montaigu. J’ignorais que notre histoire était si célèbre dans ce monde … »

Comme toute les histoires elle devait enjoliver la vérité, ou encore la déformer, qu’importe ce qu’il y avait d’inscrit dans le dit ouvrages je savais ce que j’avais vécu et je savais que peu de personne connaissait la vérité entre notre vie à Vérone et celle au Pays des Merveilles. Seul, Alice et moi connaissions le contenu de cette page et désormais il n’y avait plus que moi et les marques que ma peau gardaient pour me rappeler chaque jour durant que pour passer du rang de noble à celui de catin il ne suffit que d’un claquement de doigt.

Gentiment et avec une certaine délicatesse pour une fois, Rozen me sors de mes pensées pour m’apprendre qu’elle ne connaissait pas de Roméo et qu’il avait certainement dû changer d’identité. Une légère déception à laquelle je m’attendais déjà. Nous retrouver ensemble avait toujours été le parcours du combattant, cette fois n’allait pas déroger à la règle. Roméo avait passé un an à me chercher je pouvais bien continuer moi aussi. Alors que je pensais le sujet clos, la jeune femme reparla de ma bourrasque de vent en me demandant de comprendre qu’elle ne s’était pas agacée par pur plaisir, et qu’il n’était pas de coutume ici de répondre à coup de tempête de vent. Un faible sourire aux lèvres, j’haussais la tête en signe d’accord. J’avais bel compris la nuance, je lui avais déjà fait comprendre que j’avais saisi et je n’allais pas recommencer, sans compter que l’ancien lièvre de mars nous donner une occasion de recommencer sur de bonnes bases avec un peu de musique. Ayant toujours aimé la musique, mon visage s’illumine d’un sourire resplendissant tandis que je répondais :

« Avec plaisir ! »

Une fois de plus Rozen détachait son étui de son dos pour en libérer son violon, qu’elle me présenta sous le nom d’Oscar, son meilleur ami. Une fois de plus le laisse échapper un léger rire tandis que je répondais :

« Enchantée Oscar, moi c’est Juliette »

Reportant mon attention sur Rozen, je fais un pas en arrière afin de lui laisser un peu d’air, admirant son allure avec ce violon qui brillait à chaque rayon de soleil. Bouche bée, je laissais échapper :

« C’est une pure merveille que vous avez là Rozen, un archet en crin de licorne, je comprends votre amour pour cet instrument »

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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Dim 26 Fév - 14:05

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When I Meet you

Pour la première fois depuis ça vit ici, Oscar a droit à un vrai bonjour sans moqueries. Tu sens le bonheur qui l’emplit par de petits frissons qui t’emportent en le touchant. Il est ravi aussi, et je crois qu’il est honoré de rencontrer la reine blanche en personne ! » Souriant tu souffles un peu sur l’archet pour défroisser les crins qui offrent une palette camaïeu de couleur pastel et impressionnante au soleil. Un léger sifflement se fait entendre quand tu souffles dessous, quelque seconde plus tard tu lèves vivement la tête en fixant Juliette. « Ton compliment gonfle son ego fait attention » tirant la langue à celle-ci tu inspires et portes le violon contre ta joue au contact du bois froid tu t’apaises et t’enivres d’un sentiment de sécurité. Venant frotter l’archet lentement sur les cordes pour t’accorder avec lui, tu ouvres brusquement les yeux. « Excellente idée Oscar… » Regardant de nouveau Juliette avec des yeux pleins d’enthousiasme tu t’approches sauvagement « Oscar vient de me soumettre une idée parfaite pour toi. » Quoi, ça vous choque qu’oscar lui parle ? Évidemment que tu communiques avec lui, ça a toujours été comme ça depuis que son père à disparu. Non ce n’est pas pour palier au manque affectif, il parle vraiment ! Fin bref croyez ce que vous voulez.

Revenons-en au principal, Juliette et l’idée d’oscar. Tu ne lui en dis pas plus et lui prends la main sans gêne « prend moi l’étui et suis moi » en même temps elle n’a pas vraiment le choix vu que tu la forces presque à venir te rejoindre. Marchant un peu tu cherches clairement quelque chose, une fois arrivée sur une petite plaine entourée de beaux arbres tu la laisses au centre. « On va faire les choses bien pour notre première fois. Je vais te montrer que moi aussi je suis Ma.Gi.Que » tu formes un arc de cercle avec tes mains et les instruments dans chacune d’elles. Pour marquer la fin de ta phrase saccadée. Toussotant tu deviens un peu plus sérieux « par contre…. Pense à des choses agréables, c’est pour toi que je dis ça, je t’aurais prévenue ne me tape pas si c’pas ce que tu voulais » lui lançant un clin d’œil tu ne lui laisses pas le temps de réagir ou t’interrompre pour enchaîner, « c’est partie, pour la peine je vais te faire écouter une musique que j’ai découvert dans ce monde qui est plutôt entraînante » venant porter l’instrument contre ta joue tu inspires une dernière fois pour te concentrer « chut…. » Ça peut paraitre mal élevé mais la musique est la seule chose sur laquelle tu ne rigole pas. Elle tient une place des plus importante, elle t’inspire, t’apaises, te fais sourire, t’enivre, t’excites et t’apaises.

Les premières notes commencent à prendre forme, les premiers sons commencent à sortir et retentir dans la forêt. Un silence prend place autour de vous, comme si la forêt elle-même t’écoute, les oiseaux arrêtent leurs piaillements, les arbres arrêtent de bouger et les feuilles se figent petit à petit. Les sons sont de plus en plus présents et la musique prend place entre vous. Tu rentres littéralement en transe avec Oscar, les mouvements s’enchaînent toute seule en rythme avec la mélodie. Tu tournoies autour de la reine et petit à petit quelque chose de merveilleux prend naissance. A force de frottement sur les cordes les crins de licorne libèrent des particules magiques dans l’air qui, une fois absorbées par les plantes les rendent plus soyeuses, et magnifiques. Il suffit d’avoir une bonne raisonnasse avec cette magie minimaliste pour réussir à faire pousser des champignons géants et des fleurs qui chantent en accord complet avec la musique. Évidement que c’est réel, comment croyez-vous que Lily et Pruce sont nées. Pas par le saint esprit, elles ont été créées comme cela, grâce à la musique et les crins de licorne. Ce n’est pas dans ce monde déprimé de magie que l’on trouve ce genre de fleur voyons.

L’environnement commence à changer autour de Juliette. Les fleurs s’éveillent, les arbres se couvrent de lierres et de petites plantes blanches pour la reine blanche. Les champignons autour de vous décuples de tailles, comme dans les forêts de Wonderland. Les voix se dénouent et les chants cristallins de pensés, marguerites, pétunia et bien sûr, de magnifiques roses blanches en note de tête et voix principale enchaînent les accords. Au summum de votre passion, Oscar et toi insufflent une énergie telle que les particules se chargent plus intensément en magie, mais cette fois assez importante pour toucher directement l’Homme. C'est-à-dire Juliette ici présente, une fois inhalée les particules peuvent causer de légères ou importantes hallucinations. Qui peuvent par la force de la personne qui inspire ces particules, rendre les hallucinations palpables durant quelques minutes le temps éphémère que tiennent les molécules soit détruites par le corps lui mêmes. Comme pour les plantes, une fois en pénurie de cette poussière de licorne toutes les choses touchées meurent. Sauf cas exceptionnel, ou l’imaginaire et la magie s’entremêlent comme pour le cas des roses Lily et Pruce. Là, c’est ton imaginaire et la magie de ton instrument qui les a créées, donc les ont rendus vivantes définitivement.

Mais cette fois-ci, c’est Juliette qui contrôlera ce quelle verra et non toi. Donc un rêve éphémère. En espérant qu'elle appréciera ce quelle verra. Plus la musique avance plus elle s’intensifie. Tu contrôles ce qui vous entoure, pas ce qu’elle verra, mais tu l’as prévenue, de penser à quelque chose d’agréable qui pourra la faire sourire.
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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Lun 27 Fév - 21:56


❝ When i met you ❞
- Rozen & Juliette -
You knew just everything, but nothing at all now the moon is dark feels like pain again. You could feel my breath. You opened my eyes for I could not see when I met you
Sous les ordres de Rozen qui me prenait par la main sans aucune cérémonie, tout en m’ordonnant de prendre l’étui d’Oscar et de la suivre.  Sous le choc, mais amusée par son audace je m’exécutais courant à son allure sans savoir où elle allait me mener après tout elle pouvait bien jouer n’importe où ? Je comprendrais dans quelques minutes les raisons qui avaient poussé la demoiselle d’agir ainsi. En accord avec l’image que tout le monde se faisait des habitants du Pays des Merveilles, Rozen se mit a parler toute seule, enfin elle parlait à son violon, mais en l’occurrence pour toute personnes elle parlait seule, mais une partie de moi pensait sincèrement que Rozen parlait réellement à son violon. Un sourire attendri aux lèvres, j’attendais écoutant la demoiselle à la chevelure bicolore m’apprendre que pour notre première fois nous allions faire les choses correctement et qu’elle aussi était capable de magie. A ses mots, je souriais, attentive à ses moindres gestes, admirant sa joie de vivre et son optimisme, préférant garder le silence je me laissais guider par la jeune femme, qui me demandait désormais de penser à quelques choses de positive, mon premier réflexe fut de froncer les sourcils sous la surprise puis d’obtempérer d’un hochement de tête, légèrement stressée à l’idée de devoir replonger dans les limbes de mes souvenirs, sans trop savoir à quoi penser. En quelques mots Rozen présenta sa musique et j’haussais une fois de plus la tête avec un sourire entendu.

Les premières notes me frappaient avec douceur et la forêt se transformait pour faire naitre sous nos yeux, un cadre semblable à celui que nous avions connu dans notre monde d’origine. Sans m’en apercevoir, je laissais mes souvenirs que j’avais si profondément enfoui refaire surface, en oubliant presque Rozen, seul sa magnifique musique me parvenant. « Juliette, vient m’aider » La voix de ma cadette me parvenant et je tournais la tête vers la droite. Ce fut à ce moment là que je la reconnaissais. Mon Alice, ma Rosaline, un rire rempli de sanglot s’échappant de mes lèvres je sentais une larme rouler sur ma joue tandis que Benvillio apparaissait dans mon champ de vision lui courant après prêt à la jeter dans l’eau. Alors que je m’apprêtais à aller aider ma sœur un sourire béat aux lèvres je fus stoppée par de bras puissant autour de mon corps m’empêchant d’avancer. « Laisse-les se débrouiller mon amour, reste avec moi ». Automatiquement, mes bras se refermaient autour de ma taille. Intérieurement je pensais qu’il était là prêt de moi, j’oubliais tous des vingt dernière années pendant lesquelles nous avions été séparé. « Nous avons réussi Roméo, regard nous on a réussi à être heureux tous les quatre loin de Vérone » « J’en ai jamais douté ma Juliette » Rosaline revenant vers moi en hurlant elle me sautait dessus poussant Roméo pour se dissimuler derrière moi en me suppliant : « Le laisse pas m’attraper s’il te plait » « Juliette, j’en ai rien à faire que tu sois reine si je dois te passer dessus je le ferais ! A moins que … » Benvillio marquant un temps d’arrêt pour regarder par-dessus nos épaules, pour trouver le regard de son meilleur ami, qui lui répondait en un sourire avant de pousser Rosaline dans sa direction et de me saisir dans ses bras pour courir vers le point d’eau me faisant ainsi échapper un cri de surprise suivi d’un rire libéré, les bras autour du coup de l’homme qui m’avait fait renaître.

Malheureusement, la musique cessa et le voile de mes souvenirs pris fin, c’est ainsi en revenant peux à peux à moi que je m’apercevais que j’avais moi-même usé de ma propre magie. Je flottais dans les airs porté par un amas de feuille qui représentait grossièrement la silhouette de mon mari tandis que ma cadette et Rosaline était eux aussi représenté tout de feuille et de branche morte. Rozen avait elle aussi assisté à la scène, elle n’avait certainement pas compris, elle avait certainement entendu uniquement ma voix et vu le feuillage s’animer sous ses yeux, mais elle ne savait pas combien ce souvenir était précieux à mes yeux. Me redressant, toujours en lévitation je laissais mes pieds se reposer à terre, une larme roulant sur mes joues, je regardais l’œuvre de ma magie s’évaporer sous mes yeux.

J’avais revu ma sœur, partagée entre la joie et la tristesse, je me retournais vers la musicienne, un sourire radieux aux lèvres bien que mes yeux étaient baignées de larmes.

« Ta magie est magnifique ! Comment fais-tu cela ? »


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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Mar 7 Mar - 10:57

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When I Meet you
Au fur et à mesure que la mélodie s’emporte, Juliette fait de même avec son imaginaire et son pouvoir. Les feuilles et les brindilles commences à voler et former des silhouettes qui s’emblent l’attirer et lui parler vue ses paroles en retour.  Tu continue la musique, entrainante, prenante, et fillante. Juliette passe des larmes aux rire, tu vois facilement qu’elle vit directement un souvenir ou un souhait qu’elle n’a jamais abandonné. Tu ne peux t’empêcher de sourire en pensant que tu es en train de lui faire plaisir, ce qui te suffit pour te rendre aussi pleine de joie. La musique commence à descendre et ralentir, pour finir par s’éteindre, comme l’environnement autour de vous qui décline pour faner et disparaître. Juliette aussi reprend ses esprit et voit ce qu’elle à elle-même créée. Elle virevoltait dans les airs il y avait même pas quelques minutes. Les pieds sur terre elle vient vers toi enthousiaste et pleine de paillette dans les yeux. « Ta magie est magnifique ! Comment fais-tu cela ? » un petit rire s’échappe en l’entendant, c’est la réaction que tu espérais de sa part. Qu’elle soit souriante et pleine de joie, pas apeurée et retissante.

« j’ai rien fais …..C’est toi qui à imaginée tout ce que tu as vue. J’ai juste stimulé ton esprit avec ma mélodie et tu as surtout été aidée par Oscar et les particules magique des cordes de l’archet.» un clin d’œil pour l’amusée et ponctuer ta phrase avant que tu ne range ton instrument dans son étui avec une délicatesse qui ne te ressemble pas. « Je suis curieuse, mais pas assez pour t’embêter sur ce que tu as vue, mais en tout cas une chose est sure, tu à vécu quelque chose de fort il y à quelque seconde » approchant tu dégages une mèche de son visage et lui retire quelques feuilles de ses cheveux. « je ne sais pas ce que tu as vécu mais une chose ma frappé, tu portes de très lourds boulets aux chevilles, je ne sais pas comment ou même si tu veux te soulager mais je serais la si tu as besoin de t’échapper quelque temps dans tes rêves » souriante tu es bizarrement plus sobre que l’accoutumé. Il est possible que parfois tu redeviennes adulte, oui oui ! Inspirant tu la regarde avec de grands yeux attendrit. Tu te demande même à cet instant pourquoi tu lui confie autant de chose. Ta musique, ta petite magie tu n’es pas du genre à faire des confidences entre copines. Mais face à la reine blanche, la reine de ton enfance qui nourrissait tant de rêves et d’espoir. Qui mettait le sourire sur les lèvres de ta mère.  

« J’espère au moins que revoir ton Roméo ta redonné l’entrain de le retrouver dans les rues de Storybrooke. Je t’aiderais tant que je le peux, je n’oublie pas que tu reste ma Reine malgré la distance de notre pays » riant il t’arrive rarement voir presque jamais de faire autant de mondanités ou de donner ton aide aussi facilement. Juliette, au premier regard ta vendu le rêve que tu avais oublié de ton monde. Elle respire la chaleur d’une famille, d’une mère. Tu n’arrive pas à te l’expliquer. Le coup de foudre Wonderlandien. « Tu sera la bienvenue dans mon petit bar à thé, c’est pas aussi grand que le Granny mais j’ai de quoi faire pour l’heure du thé. Et si Wonderland te manques on peu se recréer un mini univers le temps d’une chanson si tu es nostalgique » avançant tu la dépasse avant de te retourner vers elle. « que compte tu faire maintenant ? »

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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Dim 12 Mar - 11:02


❝ When i met you ❞
- Rozen & Juliette -
You knew just everything, but nothing at all now the moon is dark feels like pain again. You could feel my breath. You opened my eyes for I could not see when I met you
J’avais du mal à me remettre de mes émotions, mon cœur oscillant entre une joie intense et une tristesse troublante, malgré tout j’exprimais mon étonnement et mon admiration face à la magie de Rozen. Elle m’avait fait le plus beau cadeau qu’elle pouvait me faire et elle l’ignorait parfaitement. Cette dernière semblait apprécier ma réaction. De quoi avait-elle peur ? Jamais je n’aurais plu l’assommer de blâme pour cette magie, la sienne était tellement belle, tellement pure, tellement différente de la mienne. Elle ne semblait pas avoir le moindre prix à payer outre une joie immense. Sans s’en rendre compte Rozen me fit redescendre de mon nuage en affirmant haut et fort ce que je savais déjà mais que je préférais ignorer. Tout ce qui s’était passé était dans mon esprit. C’était réelle ou du moins ca l’avait été, mais plus jamais une telle scène ne pourrait se reproduire. Une vague de tristesse me submergeant, je me mordais la lèvre résistant à l’envie de pleurer. Décidément, mes émotions étaient de vraie montagne russe, un peu comme lorsque j’étais enceinte, songeais-je avant de me reprendre, refusant de penser à ce bébé qui m’avait été arraché de la pire des manières. Rozen quant-à-elle se transforma du tout au tout devant soudainement sérieuse et adulte presque maternelle, elle enlevait les feuilles de ma tignasse, pendant que je restais silencieuse écoutant ses propos pour m’efforcer de rester dans présent. Elle parlait de mes casseroles que je trainais et je détournais les yeux, à cette distance elle devait toutes les voir. Elle devait voir toutes mes cicatrices sans le moindre mal et je redoutais qu’elle me pose une question les concernant. Forte heureusement elle eut la délicatesse de ne pas soulever cette interrogation, par pur bonté ? Ou simplement parce qu’elle ne les avait pas vu ? J’ignorais cela, et je ne voulais pas en parler l’unique personne au courant de mon calvaire était Ariel, c’était elle qui m’avait soutenue, elle qui avait tentée de me sauver jusqu’à ce que je l’envoie vers une autre mission. Ariel était la seule encore vivante à connaitre sans être consciente des moindre détails du clavaire qui avait été le mien entre les murs de la maison close. Rozen finissait par s’éloignait de mes cheveux pour s’assurer que sa magie m’avait redonné l’entrain pour repartir à la recherche de mon homme, me proposant même son aide pour le chercher, sortant de mon mutisme avec un sourire chaleureux je caressais tendrement la joie de Rozen comme l’aurait fait une mère envers sa fille, sans trop savoir pourquoi je faisais cela :

« Merci Rozen, grâce à toi j’ai pu revoir ma petite-sœur. Je sais que ce n’était que l’expression des souvenirs que j’avais enfoui au plus profond de mon esprit. J’ai pu revoir Roméo, le sentir comme si il était avec moi. Je ne pensais pas que cela été possible de revoir mon Alice. Elle était comme dans mes souvenirs, joyeuse, pleine d’entrain et d’innocence. Dans ce monde je ne suis plus une Reine, je n’ai pas besoin d’avoir des sujets, j’en ai jamais réellement voulu d’ailleurs. Cependant, plutôt que de me jurer fidélité et allégeance nous pourrions simplement être amies. »

Laissant échapper un léger rire, je m’humectais discrètement les lèvres avant de reprendre :

« Ne change pas Rozen, tu es une personne formidable et je serais ravie de retrouver un peu de la folie de Wonderland dans ton salon de thé, je dois avouer qu’ici il n’est guère exceptionnel »

Ma confession faite, je rigolais à nouveau avant de faire un pas en arrière en haussant les épaules :

« Je ne sais pas ce que je vais faire maintenant, sans doute sortir de cette forêt et toi que compte tu faire avec Oscar ? »



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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Dim 12 Mar - 16:15

ft. Juliette white Queen & Rozen D. March

When I Meet you
Elle te remercie gracieusement, c’est impressionnant, tu n’as fait que jouer du violon et tu as l’impression qu’elle s’est vu offrir un château ou mieux une nouvelle vie. « C’est rien Juliette…. C’est juste de la musique tu sais, c’est tes souvenirs qui ont tout fait » amuser elle vient par se pincer les lèvres tu trouves sa trop mignon. Le geste qui arrive avant ses paroles te fige et te fait même rougir, la tendresse de sa caresse te rappelle celle d’une mère chaleureuse et doucereuse. Ta joue et ton corps en frissonnent chaudement. Tu la regardes avec des yeux brillants. Elle te propose une chose qui t’écarquille les yeux. Silencieux, un petit moment tu la laisses finir en affichant tes dents du bonheur. Elle peut être vraiment cocasse quand elle le veut. Puis elle dégage une t’elle prestance tu ne peux dégager ton regard d’elle. Pour clôturer son intervention elle s’éloigne un peu et avoue ne pas savoir trop quoi faire pour le moment mise à part sortir de la forêt, une bonne chose que toi aussi tu penses faire. Mais avant de répondre à cette question tu reprends du début. Avant de commencer tu t’approches rapidement des roses grimpantes qui commencent à ce fané, comme le reste de la pseudo-forêt que tu as créé. Les plantes s’effritent et s’envolent sous le vent. Tu lui temps la fleur, une sublime rose blanche immaculée.

« Je ne pensais pas me courber l’échine à chaque fois que tu passerais devant moi, je te respecte en tant que reine, mais jamais je ne prends quelqu’un de rang supérieur ici. Je n’aime pas les hiérarchie et heureusement que tu ne te fruste pas sinon on aurais eu une amitié compliqué » rigolant tu lui tire la langue. « Et je te rassure sur autre chose, je ne changerais pour personne, je suis fidèle à moi-même et je me sens bien comme je suis. Je suis différente, et je l’assume totalement. Mais je ferrais l’effort de ne pas être trop placide pour toi, faire vivre Wonderland dans cette ville est une chose qui me tient à cœur. Tout comme toi je suis attachée à ma patrie même si je sais que je n’y reviendrai pas moi » pour ne pas susciter la peine tu agites les mains et la tête « ne t’en fais pas pour ça, il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis. Enfin pour finir tu serras toujours la bienvenue dans mon salon et chez moi d’ailleurs si jamais tu en éprouves le besoin » approchant tu poses une main à côté de tes lèvres en chuchotant « j’habite au-dessus de mon commerce c’est facile de me trouver »

Tu te détaches et porte Oscar sur le dos « je vais rentrer aussi. Tu veux qu’on fasse le chemin du retour toutes les deux ? Ne t’en fais pas, je ne vais pas te coller comme une sangsue » faisant un clin d’œil, tu lui envoies le baiser. « Quoi que….Ne soit pas surprise si tu me vois devant ta fenêtre le soir mouhahhahaha » jouant les débiles tu termine cette phrase pour la détendre avec une blague pourris. Enclenchant le pas, tu la laisses suivre si l’envie la prend et commence le chemin du retour après cette merveilleuse et importante rencontre.
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Message# Sujet: Re: when i met you   when i met you - Page 2 Icon_minitime1Mer 15 Mar - 18:31


❝ When i met you ❞
- Rozen & Juliette -
You knew just everything, but nothing at all now the moon is dark feels like pain again. You could feel my breath. You opened my eyes for I could not see when I met you
La magie de Rozen m’avait permise de revivre un de mes souvenirs les plus heureux. Je voyais bien que pour elle ce n’était rien, mais pour moi ça représentait beaucoup. C’est un euphémisme n’est-ce pas ? De nous deux j’étais celle qui possédait le plus de richesses matérielles et humaines, un château, de l’argent, une armée, des mages et j’en passe, pourtant elle avait dans son cœur et grâce à Oscar une chose que je n’avais plus. Elle représentait elle seul l’espoir. Elle redonnait envie même à la plus malheureuse des âmes de se relever et de rire, en acceptant son passé sans plus chercher à le rattraper. Le pire dans tout cela c’est qu’elle ignorait tout cela, elle m’avait fait partager sa musique uniquement parce que j’étais la reine dont sa mère était fan. Une reine qui n’avait jamais existé étant donné qu’en ce temps là je n’étais même pas souveraine de ce monde. Elle l’avait fait sans rien me demander en retour, or mi de penser à une chose heureuse. Cette fille dont les manières m’avaient dans un premier temps surpris avant de m’agacer se révélait plus attachante que jamais. Certainement parce qu’elle me rappelait ma sœur, dans sa manière d’être, de se mouvoir ainsi que de s’exprimer, bien évidement je ne comptais pas lui révéler cette phase là de ma réflexion. Elle n’avait pas besoin de savoir cela tout ce qui comptait désormais c’était que je lui assure mon amitié. Bien que cette dernière m’apprenait qu’elle ne repartirait jamais à Wonderland, surprise j’hochais un sourcil avant de lui répondre, sans attendre la moindre réponse de sa part :

« Rien ne t’en empêcherait, si je peux rentrer tu le peux tout autant »

Le logement n’était pas un problème, le château était grand et si c’était une demeure pour elle et Oscar qu’elle voulait je pouvais également lui trouver cela. Tout était possible, si elle le désirait, mais je ne comptais pas la convaincre ou l’acheter d’une manière ou d’une autre alors je taisais ce détail préférant laisser le silence nous entourer tandis que Rozen me demandait ce que je comptais faire, et que je lui apprenais que je n’en avais pas la moindre idée, mais que j’allais tout d’abord sortir d’ici avant de lui retourner la question. Sa réponse déclencha un léger rire avant que je ne lui réponde avec bonne humeur :

« N’aie crainte tu ne seras pas une sangsue bien agaçante, si tu veux tout savoir j’habite en face de la bibliothèque, ma colocataire est très gentille je suis certaine que ça ne la gênera pas que tu viennes sous ma fenêtre, et je veux bien faire le chemin retour avec toi, enfin avec vous deux plutôt. »

Terminais-je avec malice en faisant référence à Oscar, tout en suivant celle qui fut autrefois le lièvre de mars à travers la forêt heureuse d’avoir rencontré cette jeune femme pleine de surprise tout en regardant la rose blanche qu’elle m’avait offerte quelques minutes auparavant, une rose semblable à celles qui étaient cultivées dans mon royaume.

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