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| « I love it, I hate it, and I can’t take it but I keep on coming back to you » | |
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| # Sujet: « I love it, I hate it, and I can’t take it but I keep on coming back to you » Mer 4 Oct - 22:10 | |
| Vedran, Helga Sinclair
Back To You - Louis Tomlinson ▻ Ville d'origine : Long Beach, Californie. ▻ Nom du personnage : Vedran et porte en deuxième prénom, celui de sa mère Helga. Elle est la digne héritière de la famille Sinclair. ▻ Lieu de naissance : Los Angeles. ▻ Âge : 27 ans. ▻ Occupation/métier : celui de Lara Croft ! Elle chasse des trésors. Passée par une formation militaire elle est alors encore étudiante dans un bon nombre de cursus, afin de reprendre le marché noir des antiquité de sa mère. ▻ Orientation sexuelle : bisexuelle. ▻ Statut matrimonial : célibataire. ▻ Caractère : exubérante, exigeante, impatiente, fière, confiante, impartiale, impulsive, insolente, franche, joueuse, taquine, têtue, caractérielle, capricieuse, froide, irritable, sensible, méchante, mauvaise, moqueuse, déterminée, puérile, tête-brûlée, ambitieuse, sauvage, rieuse, courageuse, méticuleuse, violente, irresponsable, hyper-active, hédoniste, brute, curieuse, cultivée, fausse, vénale, intéressée, rêveuse, vulgaire, méfiante, sanguine, … ▻ Groupe : Stranger. ▻ Feat. de l'avatar : Cara Delevigne.
| Comment tu vis ? ▻ Que penses-tu de la ville de Storybrooke ? Moi je pense qu’elle cache des choses ! Et je les trouverais ! Quelques soient les moyens. J’y arriverais. Je verrais cet autre monde. Ce n’est peut-être pas ici, mais il y a une piste et si après elle m’envoie en Islande, j’y courrais sans réfléchir. Elle est tellement ennuyante à côté d’une grande ville, paumée... Mais ! Je sens qu’il y a quelque chose, des petits détails trop bizarres. A croire qu’on s’est retrouvé un peu dans un asile de fou, comme le long de Hollywood boulevard avec tous les sans-abris et pauvre poivreaux qui vous casse les c*uilles dans la rue. Par contre je peux pas retirer que c’est assez mignon et reposant comme coin. ▻ Tu ne trouves pas qu'il se passe des choses étranges par ici ? Euh ouais... Un peu, mais pas assez. Puis, c’est fou hein mais ils ont toujours des bonnes excuses. Tous ce qui est inexplicable est noyés, oubliés et parfois camouflés par des choses encore plus insensées. Or ça va à tout le monde ! Les gens sont assez chaleureux entre eux mais quand tu viens de l’extérieur déjà c’est une autre histoire. J’ai pris un peu de temps à m’intégrer et me faire accepter. Il y a aussi ces personnes qui ont l’air de venir d’une autre planète. Et... Juste un détail qui me taraude, c’est qu’ils ne quittent jamais leur ville. Peut-être qu’ils y sont simplement bien. Ma mère dit que je cherche la petite bête pour me persuadé moi-même de ce qui n’existe pas. Je ne serais pas objective et bla bla bla... Des fois je me demande si elle ne fait pas un déni de ce qu’elle a vu. ▻ Tu as surement un conte ou une légende préféré. Lequel et pourquoi ?Mon conte préféré depuis petite et en grandissant est Le Stoïque Soldat de plomb d’Andersen. Alors c’était sûrement parce que plus jeune, faisant de la danse je me suis identifié à la danseuse et que j’ai toujours trouvé cette histoire tellement triste et belle sur la fin. Sinon, il y a eu Cendrillon aussi, sûrement pour m’expliquer pourquoi m’a mère était si « méchante » avec moi. Une vrai marâtre et je rêvais d’une belle fin de princesse. Au final, je l’ai un peu maintenant. Plus récemment, depuis que je m’intéresse de plus près c’est l’histoire mystérieuse des 13 crânes de cristal. ▻ Que penses-tu de la magie ? D'un j’y crois. Ma mère à vécu la première guerre mondiale, si c’est pas de la magie. C’est grâce à ce cristal qui a conservé sa vie et qu’elle m’a confié. Après ce que je pense de la magie c’est qu’elle me fascine. Les possibilités qu’elle offre, la puissance qu’elle peut avoir, est-ce qu’elle a une limite ? Le ridicule des fois qu’elle peut engendrer et ce prix à payer. C’est quelque chose de bien différent de notre quotidien si terre-à-terre, c’est une chose qui nous a tous fait rêver dans certains de nos fantasmes et surtout petit. Finalement, elle existe cette magie qu’on pensait tirer de notre imagination. Je pars du principe qu’on peut difficilement inventé ce qu’on ne connait pas, alors c’est qu’elle a toujours été et nous entourait discrètement derrière la robe des fables et histoires pour dormir. |
Toi derrière l'écran. | ▻ Pseudo : Kiwi ▻ Code du règlement : Ok je sais que tu sais >> juju ▻ A quelle fréquence penses-tu mettre ton nez dans le livre de contes ? Tous les jours ou presque ! ▻ Comment as-tu connu le forum ? Qu'en penses-tu ? Une idée pour l'améliorer ? Enième compte de Charlie :cute: ▻ Souhaites-tu un parrain/une marraine ? Non merci, sauf si c’est Régina déguisée en bourriquet ! - Code:
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<a class="imginfo"><a class="imginfo">[color=indianred]✘[/color] CARA DELEVIGNE<span><table border="0" cellpadding="1" cellspacing="1" width="110"><tbody><tr><td align="center"><div class="titre3"> Vedran H. Sinclair</div></td></tr></tbody></table></span></a> |
Dernière édition par Vedran H. Sinclair le Sam 7 Oct - 9:20, édité 13 fois |
| | | | # Sujet: Re: « I love it, I hate it, and I can’t take it but I keep on coming back to you » Mer 4 Oct - 22:11 | |
| I was... nothing personal
« Maman ! Maman ! » criait une voix du couloir, résonnant dans l’immense maison. Elle ne s’arrêtait pas de répéter « Maman » tout en criant, à toute vitesse et sans prendre une seconde pour respirer. La mère posa son stylo, la tête penchée sur son courrier. La porte s’ouvrit en trombe, elle soupira. La demoiselle continuait de l’interpellée avec passion. « Oui, oui… Je t’entends. S’il te plait, arrête de crier comme ça. T’es une dame, pas une vendeuse de poisson. Tiens toi. » et tout en écoutant sa mère, elle avait fermé sa bouche comme un poisson qui venait d’avaler de l’air et se dressa toute droite. Sa mère la jaugea. Elle attendait de voir… Subitement, Vedran tapa fermement du pied droit et leva son bras pour un salut militaire. Elle n’en ratait pas une pour faire le clown. La mère sourit et soupira : « Repos soldat. Bon… Qu’est-ce que tu veux ? ». Cachés alors derrière son dos, elle plaqua un tas de feuille sur le courrier de sa mère, dont un plan qu’elle étalait sur le bureau. Elle parlait de tout un tas de contact, de pote d’elle ne sait quel séjour à l’autre bout du monde, ou l’ami d’un ami. Elle s’arrêtait peu sur ce genre de détail, mais souvent quand il y avait trop de nom comme ça, c’est que ce n’était pas fiable. Vedran avait un nouvel objectif : Storybrooke. C’était bancale ses histoires et les informations peu fiables. « Tu serais plus utile avec moi où je ne sais sur quel site de fouille. Ta lubie… Je ne la sens pas. » lui conseillait sa mère pour la préparer à un non. « Mais maman !!!!! » commençait-elle à la supplier en grognant les dents serrés. Elle n’était qu’une passionnée un peu capricieuse et impatiente. Elle ressortit en claquant la porte, car c’était non. La nouvelle obsession de sa fille, ce n’était plus de courir à travers le monde, fouiller des endroits secret, partir en quête d’histoire et de mystères, visiter des ruines pleins de légendes, … Elle se lassait de vivre pleinement sa vie, et ce qui voulait dire chez elle un peu dangereusement. Bravé des sites interdits et, ou peu accessibles, rien ne lui faisait peur. Les déserts, la jungle ou les monts enneigés en haute altitude, l’océan. Elle ne reculait devant rien. Maintenant ce qu’elle voulait c’était de voir cet autre monde surnaturel. Elle y croyait vraiment quand sa mère lui disait y être allée, mais… Elle avait besoin de le voir de ses propres yeux et d’explorer. Puis de piller quelques trucs pour les revendre bien sûr. Sa mère, elle ne pouvait pas lui en vouloir d’être aussi passionnée et déterminée qu’elle. Sa mère, c’était le Lieutenant Helga Katrina Sinclair. Vous ne la connaissez peut-être pas et pourtant… Et pourtant. Il fut un temps, elle a réussi à mettre la main sur la cité d'Atlantide et vit donc qu’une petite partie d’un vaste monde magique. Les légendes existaient bel et bien. Et leurs objets magiques aussi. Donc qui dit fille d’Helga, dit éducation stricte et un peu dure, mais jamais on ne douta qu’elle aimait sa fille. Vedran était ce qu’elle avait de plus précieux et elle était aussi sa fierté… Même si son attitude laissait parfois à désirer. Depuis toute petite, elle avait été élevée pour toujours se surpasser et tant mieux car elle aimait les défis. Ambitieuse, passionnée et curieuse, elle s’éveilla très tôt. En tout premier par de l’équitation et la danse classique, mais très vite après l’école, avant d’entrer dans une grande université, elle fit son service militaire. Maman était gradée et elle avait tant d’admiration pour elle, qu’elle espérait lui ressembler ou être aussi accomplie qu’elle. Cela dura cinq ans et elle eut son premier entrainement pour affronter les aléas de la vie. Après ça, elle entra en faculté et suivit un bon nombre de cours comme l’histoire, l’archéologie, les sciences de la terre, des modules de droit, l’histoire de l’art ou encore un peu de géographie avec options cartographie. Un forfait complet pour pouvoir assurer son travail auprès de sa mère. Helga Sinclair, avant et même après ses mésaventures à Atlantide tenait une compagnie de d'Antiquaire un peu particulière, un marché illégale d’antiquité et assez secrète. Seuls les connaisseurs pouvaient les trouver et les contacter. Des vestiges anciens, des reliques, voire de très précieux et rares objets dit-on doté de pouvoir. Oui, elle s’occupait de ça aussi. Le mystérieux et l’occulte, les légendes, ça la fascinait et cette addiction elle l’avait communiquer à sa fille. Pour résumer : l’élite des chasseurs de trésors à notre époque. Et ce que Vedran aimait par-dessus tout dans cette entreprise familiale, c’était le terrain, allez chercher et, ou piller des ruines pour ramener l’objet unique à des collectionneurs dans le privé. Elle pouvait passer ses journées à genoux dans le sable pour venir délicatement gratter des ossements ou des fossiles, déterrer des vestiges d’un ancien tombeau égyptien. Elle pouvait aussi parcourir des kilomètres durant des jours, passer par des endroit dangereux ou difficiles et sauter dans un puit sans savoir ce qu’elle y trouverait. Même plonger pour nager dans une ancienne épaves. La compagnie Sinclair avait des yeux et des oreilles partout. Leurs contacts se trouvaient aux quatre coins du monde. C’est ce qui avait aussi aidé Vedran à voyager énormément et se créer son propre réseau. Elle partie à la conquête du monde dès son plus jeune âge. Au début, elle accompagnait sa mère, après elle y prit goût et partit en vacance seule ou entre ami. Sa vie était aisée, elle pouvait se le permettre. Des contrées sauvages, elle en avait vu un paquet, des saut du haut de falaise elle en avait fait, du canyoning aussi, ou du parachute, de la voile, du surf, saut à l’élastique, snowboard, kayak, et tout plein de chose. Depuis toujours la petite Vedran ne tenait pas en place. Elle a pour principe de vivre chaque jour comme si c’était le dernier. Dynamique, sportive, curieuse, elle n’arrêtait jamais. Toujours partante pour tester de nouvelles expériences ou tenter un nouveau coup de folie. Elle a une belle vie, elle n’a pas à s’en plaindre et ça valait la peine de se plier de temps à autre aux exigences de sa mère. Elle savait qu’elle faisait ça pour elle. Un matin, quand Helga se leva pour aller prendre son thé, elle trouva une lettre sur le saladier de fruit dans la cuisine. Sa fille était partie. Du jour au lendemain. Il n’y avait pas de long mot larmoyant et plein d’argument pour se faire pardonner. Non, on ne se donnait jamais autant de peine chez les Sinclair : « Sorry mama. Ich kann nicht bleiben. Ich gehe. XOXOXO V.S with ♡ 45°28' N 71°07’ W »
Dernière édition par Vedran H. Sinclair le Jeu 5 Oct - 22:34, édité 4 fois |
| | | | # Sujet: Re: « I love it, I hate it, and I can’t take it but I keep on coming back to you » Mer 4 Oct - 22:11 | |
| I am... I don’t know how to make it stop
Elle était donc partie pour l’Etat du Maine à la recherche de ce petit village du nom chantant : Storybrooke. Elle débarqua avec sa petite jeep. Elle était cabossée, la peinture patinée sur les portières et au niveau du châssis. Vedran était très attachée à sa petite jeep qu’elle trainait où elle le pouvait. Elle était légère et pratique. Elle avait passé le périmètre et se trouvait officiellement dans cette étrange ville. Elle sortit de sa voiture et balaya l’horizon du regard. Aux premiers abords, il n’y avait rien de si particulier. Le doute. Et si elle s’était trompée ? Je ne le saurais pas tant que j’aurais pas passé un peu de temps ici. Sans avoir essayé et cherché... Elle retourna dans sa voiture et s’enfonça dans la ville. Voiture dans laquelle elle passa quelques nuits avant de trouver un toit pour l’accueillir. Rien de méchant, juste être armée de patience pour réussir à s’installer tout doucement. La routine.
Quatre mois plus tard. Elle faisait ses courses dans le petit hypermarché de la ville. Elle poussait son caddie remplis de victuailles diverses. Elle avait sa mère au téléphone. Cette dernière cherchait le numéro de quelqu’un et demandait des informations à sa fille puis en profita aussi pour prendre de ses nouvelles. Elle finit par ajouter que si sa fille avait été là, ça aurait été plus simple plutôt que de passer son temps à lui envoyer des mails ou l’appeler pour des renseignements. Ce n’était qu’une excuse de plus à lui reprocher. Helga était la directrice de la Compagnie Sinclair, mais sa fille devait prendre la relève et Vedran avait l’air de pouvoir l’assurer sans problème. Certes, elle avait ses études à terminer avant de s’inquiéter mais elle aurait aimé l’avoir prêt d’elle pour continuer de la former pour qu’elle soit aussi bonne, voire mieux qu’elle. Vedran rouspéta quand sa mère lui rappela avec toute l’importance du monde l’héritage dont elle aimerait que sa fille soit digne. Elle jeta un paquet de crackers dans son caddie, dépitée. Elles allaient encore se disputer elle le sentait, quand pire pointa le bout de son nez. Un jeune-homme.
Vedran soupira. « Attends, je dois raccrocher. » fit-elle solennel et rangeant son téléphone. Un pied sur la roue du caddie et elle fit volte-face, mais le collant jeune blond l’attrapa avant même qu’elle finisse son demi-tour. Arrêtée dans son élan, elle grogna. Il était lourd et bête. Très mignon, ça elle ne crachait pas dessus, mais bête. Tellement bête. Un soir, ils avaient bien rigolé. Enfin elle avait espéré qu’il parlerait – un peu trop – après quelques verres. Le ramenant chez lui, il pensait finir la soirée en beauté mais bien sûr que non. Alors il s’était mis en tête qu’il l’aurait. Par défi ! Cinq minutes plus tard dans le supermarché… Elle était à la caisse et payait ses achats tranquillement, pas préoccupé le moins du monde. Le jeune-homme était au milieu des paquets de chips, allongé en P.L.S. dans le rayon la tête dans ses mains et gémissait de douleur, une boite cylindrique en carton de tulles salées à côté de sa tête. L’arme du crime.
Elle ne s’encombrait pas souvent des petits emmerdements du genre. Elle avait bien d’autre chose à gérer que la bêtise d’un idiot. A Storybrooke le soucis, c’est qu’il y en avait un paquet et dans le tas, il y en avait des sacrés numéros. Ils n’avaient pas l’air à leur place ici, perdus, comme à l’écart de la civilisation depuis toujours. Venant d’un autre monde. Et c’est ça, ce petit truc étrange qui l’avait motivé à rester encore pour voir. Sinon en dehors de ça, rien. Même elle avait commencé à désespéré. Ne parlons même pas de sa mère. Or, il y a un truc qu’on ne pouvait pas lui retirer, c’était son intuition. Elle sentait au fond d’elle que sa Terre-Nouvelle était à portée de main. Il suffisait d’attendre, de surveiller et de traquer. Si besoin, elle passerait à la vitesse supérieur. Persuasion, charme, ... intimidation.
Dernière édition par Vedran H. Sinclair le Jeu 5 Oct - 22:39, édité 4 fois |
| | | | # Sujet: Re: « I love it, I hate it, and I can’t take it but I keep on coming back to you » Mer 4 Oct - 22:12 | |
| Test Rp And I guess you’ll never know all the bullshit that you put me through. And I guess you’ll never know, no
Elle enfilait son baudrier. Ils étaient dans les hauteurs, sur un bras rocheux en Sicile. Il y avait un soleil de plomb et faisait briller la peau halée de Vedran par ce soleil méditerranéen. Son partenaire dans le travail et la vie depuis presque un an l’aidait à lui mettre. Elle enfilait son casque et à son tour, elle équipa son partenaire. Un assez bel homme, brun, le regard froid par ses yeux clairs, mais un sourire chaleureux, le corps entretenu, intelligent et aventurier comme elle. Il était un bon parti. Trois ans qu’ils se connaissaient à force de se voir et se revoir dans des décors toujours plus sensationnels… Elle finit par fondre. C’était son crush du moment. Cela faisait environ huit mois que c’était officiel. Ils devaient descendre dans une brèche de la montagne où devaient se trouver un trésor de l’Antiquité. Une belle pièce qui valait cher. D’autre hommes avaient installé tout le matériel pour les faire descendre, pour réceptionner et transporter le vestige de l’histoire et d’autres étaient armés pour surveiller les alentours. William, son partenaire, était descendu le premier. Vedran était assise au bord, les pieds appuyés sur la roche, de l’autre côté de la brèche, la corde coincée dans le mousqueton en rappel. Elle enfilait ses gants. Un homme accourut. « Ta mère ! » lui dit-il en tendant le téléphone satellite. Elle grimaça agacée. Elle avait peut-être le courage de s’y rendre, mais ça ne l’empêchait pas de stresser un peu. Elle était concentrée. Elle aboya au téléphone, les traits tirés, serrant le scratch de son gant droit. Soudain, on ne l’entendit plus et son regard se perdit. « Will… C’est lui qui revend nos informations… ». Son pied glissa et elle se mangea la roche de plein fouet. Lâchant la corde, elle fit une chute d’un mètre avant de la rattraper. Un peu secouée. Elle jura. « Ça va bébé ? » fit Will plus bas, alerté par le grognement de Vedran et le fracas. Elle ne dit rien sur le coup, réalisant encore. « Ouais, t’inquiète. J’ai glissé » fit-elle sans conviction. « Jerry ! » hurlat-elle et elle jeta le téléphone en l’air. L’homme du nom de Jerry l’attrapa au vol. Vedran resta un moment sans bouger, portée par la corde, ailleurs. Elle avait un coeur comme tout le monde et elle aimait comme tout le monde. Ou presque. Heureusement qu’elle ne l’aimait pas tant que ça finalement… « Vedran ?! Tu descends ! » l’appelait Will. Elle replaça un à un ses doigts sur la corde. Recentrée, elle se laissa glisser avec rapidité, prenant garde de ne pas rencontrer de mauvaise surprise en bas. Son partenaire la rattrapa en bas. « Ca va ? » et elle lui sourit sans lui répondre. Un faible signe de tête. Il lui embrassa le front. « Tu m’as fait peur. Viens, c’est par là je pense » et il la guidait dans les cavités rocheuses. Ils parcourent pas mal de chemin, encombré de cailloux à escalader, parfois des rocher à déplacer, se glisser dans des failles à peine plus épaisse qu'eux et même un peu d’escalade. La routine. Quelques genoux et coudes écorchés sur la roche. Enfin, le trésor était là. Il vint pour l’embrasser mais subitement, elle l’arrêta, une main sur son poitrail. « C’est vrai que c’est toi qui revend nos info ? » murmura sa voix suave dans la grotte. Il finit par avouer et se cherchait des excuses. Elle faillit mourir sur la piste d’un autre trésor en Thaïlande. On avait vendu leurs informations qu’ils avaient sur un trésor et des pilleurs locaux et bien armés leur sont tombés dessus. Elle n’en est pas sortie sans égratignure, au contraire. « Je vais t’expliquer… D’accord, c’est moi mais nous deux c’est diffé-… » mais elle ne lui laissa pas le temps de finir qu’elle dégaina le révolver accroché à sa cuisse et le pointait. L’homme paniquait. Il la suppliait de l’écouter, de ne pas faire ça. Elle aussi les larmes lui montaient aux yeux. Elle replaça ses doigts sur la cross, inspira profondément et… tourna la tête avant de tirer. Elle laissa échappé un gémissement de douleur et de tristesse. Reniflant et se frottant le nez, elle sécha vite ses larmes pour le fouiller. Téléphone portable ou tout autre balise GPS. Elle prit la stèle ancienne qu’elle rangea délicatement dans le sac et remontait en laissant le corps en bas. Son visage froid, l’air grave et les yeux rougies, des tâches de sang sur les bras et son débardeur, personne n’osa lui poser des questions, or ils la regardaient tous. Une question leur brûlaient la langue : où était Will ? « On y va. » aboya t-elle. « Mais et… T’es sûr ? » demanda Jerry. « J’ai dis on y va !!! » finit-elle par hurler, pointant le canon de son arme sur son collègue et ami. « J’ai été claire non ? » rajouta t-elle avec un calme froid. Ils n’ajoutèrent rien. On la débarrassa. Sur le bateau qui les ramenaient sur la pointe de l’Italie, elle jeta le téléphone et la balise. Elle s’en remis assez vite. Car tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort. Les prochains auront intérêt à s’accrocher à ce compte là.
Dernière édition par Vedran H. Sinclair le Sam 7 Oct - 9:20, édité 4 fois |
| | | | | | | | | | | | | | | Regina Mills de LocksleyStorybrookian ♕ Lieu : 108 Mifflin Street, ou la mairie de Storybrooke
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