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Nouvelles têtes
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Le retour de Carrie
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Torturer l’agent immobilier avec mes poison m’apportait la plus grande joie mais je devais contrôler mes pulsions ainsi que celle de Regina afin de préserver la durée de vie de mes bébés. Malgré l’absence d’étiquette j’en choisissais un et déposait un peu de son poison sur ma lame avant d’inciser la langue de l’agent immobilier pendant que Regina lui subtilisé son téléphone. Cette dernier me happa et je revenais auprès d’elle laissant mon invention torturer tranquillement le quadragénaire. Sa petite famille bien trop parfaite pour être honnête, me donnait la nausée et je déterminait la petite préféré à son papa. En mon sens c’était la petite dernière, elle était bien trop souvent en photo avec lui et Regina s’accordait avec moi sur ce sujet. D’ailleurs elle rapprocha son apparence à celle de Snow et après un légère réflexion je me retrouvais contraire de lui donner raison. Le père de famille hurla faisant ainsi surgir le sang de sa bouche. Secouant la tête d’un air désappointé je lançais :
« Mon chéri cesse donc de crier tu vas t’étouffer dans ton sang et tu vas raté la fête ça serait triste… »
Partant vers ma valise je me mettais à fouiller pendant que Regina proposait un plan d’action. Sortant de mon sac un serviette éponge j’ajoutais :
« Très bonne idée et des petit fours tant qu’on y est je meurs de faim. J’ai vu un boulanger au coin de la rue ça fera l’affaire ! »
Partant vers la cuisine, je faisais couler de l’eau dans une bassine avant de repartir vers notre prisonnier pour lui nettoyer le faciès.
« Ca serait triste que tu ne sois pas présentable devant ta petite famille… »
Ce dernier pleurant, je lui tapotais le pectoraux avant d’ajouter :
« Oui je sais je suis trop aimables u me revaudras ça t’inquiète pas. »
Attendant que Regina finisse sa conversation, je demandais :
« Alors où est-ce qu’on en est ? Ils viennent féliciter papa ? »
Gasmask
Regina Mills de Locksley
Storybrookian
♕ Lieu : 108 Mifflin Street, ou la mairie de Storybrooke
Anne avait toujours le trait d’humour qu’il fallait, ce qui amusait invariablement Regina. Son amie était aussi sadique qu’elle. Pour sûr, la petite fête ne manquerait pas de piquant. L’agent immobilier, désormais incapable de parler, trouvait quand même le moyen de se manifester bruyamment et de manière répugnante, faisant éclabousser son sang hors de sa bouche, et la belle blonde ne se priva pas pour le rappeler à l’ordre tandis que la méchante reine, se familiarisant peu à peu avec l’outil technologique qu’elle tenait en main, tâchait de répondre aux attendre de son amie.
-Des petits fours, c’est noté ma belette.
Pendant ce temps, l’ancienne méduse s’affairait à nettoyer le visage du prisonnier fort divertissant, ce qui étonna la brune qui haussa un sourcil. -Je te trouve bien trop magnanime. Tu vas te salir les mains, lança-t-elle avec un regard de mépris vers l’agent immobilier.
Pendant ce temps, elle continuait à correspondre avec la famille.
-Ils sont fort serviables, ces gueux. Le champagne et les petits fours arrivent ! C’est merveilleux. Oui, ils sont en route, ils ont dit en avoir pour une vingtaine de minutes.
A ces mots, Regina envoya le téléphone sur le ventre de l’homme toujours allongé sur la table et incapable de se mouvoir à sa guise. -Il nous faut nous changer, ma belette. Nous ne pouvons décemment rester en tenue de voyage. Qu’avons-nous emporté ?
Elle se dirigea vers son sac de voyage clairement d’un autre monde et d’une autre époque et l’ouvrit par magie façon Mary Poppins pour en faire sortir quelques tenues.
-Oui, ce sera parfait. Le rouge me va presque aussi bien que le noir. Je reviens, très chère. Surveille bien notre invité.
Elle s’éclipsa alors dans l’une des chambres avec ses affaires pour changer de tenue, s’amusant à imaginer cette pièce une fois qu’elle l’aurait remeublée selon ses goûts. Puis elle revint après avoir changé également de coiffure.
-Comment me trouves-tu ? Lança-t-elle en tournoyant sur elle-même.
Puis elle s’approcha de Woodley.
-Il n’est toujours pas mort, rassure-moi ?
Aussitôt, la sonnette retentit. Regina échangea un regard pétillant avec Anne en frappant dans ses mains. -Ils sont là, la fête peut commencer !
Elle s’empressa d’aller ouvrir.
-Bonsoir ! Lança-t-elle avec son faux air le plus amical.
-Entrez, entrez. Nous sommes les nouvelles propriétaires.
Les enfants entrèrent les premiers, puis la femme de l’agent immobilier. Aussitôt, la méchante reine verrouilla la porte par magie tandis que la plus petite se mit à hurler en voyant son père dans cet état. Regina s’empressa de se saisir de la bouteille de champagne que tenait la mère de famille, paralysée par ce qu’elle voyait.
Le sadisme, la puissance malgré l’absence de magie et la paix que m’apportait ma solitude dans ma tête me mettait en joie. Si bien que j’en venais même à aider notre victime à être propre. Une marque de tendresse que Regina semblait dégoutée, je pouvais l’entendre mais qu’importe.
« Je t’en prie il est père de famille, laissons-lui encore un minimum de fierté, ça sera encore plus drôle de lui retirer ! »
Mon sadisme fit gémir notre agent immobilier ce qui me fit rouler des yeux :
« Pitié comporte toi comme un homme »
Pendant que je suppliais notre victime de gagner en virilité Regina s’étonnait devant la bienveillance et la concilié du reste de la famille du ventru avec lesquels elle communiquait via le cellulaire. Revenant vers elle, je notais la générosité avec une moue admirative avant d’acquiescer face à la remarque de Regina sur la nécessité de changer de tenue. Elle avait raison on ne pouvait recevoir des invités dans nos vêtements de voyages.
« Je suis certaine qu’on a prise des robes somptueuses pour l’occasion. »
Sur ses mots, je regardais Regina disparaitre vers nos valises pour en extraire par la magie une robe rouge sublime. Elle et moi avions les mêmes goûts, généralement mes robes étaient plus osées que les siennes mais nous savions parfaitement nous accorder. Regardant notre invité, je partais moi aussi vers ma valise et l’ouvrait pour fouiller à l’intérieur avant que Regina ne refasse son apparition tel un soleil sanguinaire dans le salon pour me demande comment je la trouvais.
« Magnifique, comme toujours, je vais me changer moi aussi »
Annonçais-je en me dirigeant moi aussi vers une des chambres avec ma robe longue noir pendant que Regina me demandait s’il était mort.
« Bien sûr que nous regarde »
Lançant une balle en mousse censée canaliser mes nerfs sur lui je le regardais d’un air passif gémir et je disparaissais avant de me changer en un claquement de doigts avant de revenir :
« Ma loutre tu peux m’aider à fermer le bouton au niveau de ma nuque ? »
Sur ses mots je me retournais et relevais mes long cheveux blonds bouclés, avant que les bruits de pas ne se fassent entendre et que nos invités n’arrivent. Regina fut la première à leur ouvrir et les enfants arrivèrent en premier avant que la plus petite d’entre eux, en somme la chouchoute ne se mette à hurler et qu’une de ses sœurs ne l’attrape pour la dissimuler dans son dos.
« Allons, allons détendez-vous on est là pour faire la fête n’est-ce pas ma loutre ? »
L’épouse de notre victime levant la main vers Regina pour la gifler je lançais un de mes poignard savamment dissimulé dans les pans de ma robe et accrocher à mes cuisses pour le lancer avec agilité en plein milieu de sa paume de main sous les cris horrifiés de ses enfants en ajoutant.
« Toi tu as fait une très grande erreur ma grande ! »
Gasmask
Regina Mills de Locksley
Storybrookian
♕ Lieu : 108 Mifflin Street, ou la mairie de Storybrooke
Regina s’était changée, elle voulait être à son avantage pour que la fête soit parfaite. Elle observa avec dégoût leur otage amoché et gémissant. Anne avait pris bien soin de ne le point tuer avant l’arrivée imminente de sa petite famille. Elle était pourvue d’ailleurs de délicates intentions dans l’unique but, comme elle disait, de mieux pouvoir lui arracher sa dignité devant ceux qu’il aimait. La reine admirait le sadisme sans faille de sa meilleure amie.
-Tu m’épateras toujours, ma belette.
A son tour, la belette en question alla revêtir de quoi fêter leur arrivée dans ce monde comme il se devait. Elle revint pourvue d’une somptueuse robe de soirée. Le regard de Regina s’illumina.
-Que tu es belle, tu sais si bien mettre en valeur un simple morceau de tissu.
Anne demanda un peu d’aide pour l’attache de sa robe et son amie s’empressa d’aller l’aider. A peine le bouton fermé que la sonnette retentit et la méchante reine se dépêcha d’aller ouvrir, impatiente de faire la connaissance de tout ce petit monde. Porte verrouillée pour plus de sécurité, les festivités pouvaient commencer. La plus jeune se mit à hurler et fur cachée derrière sa grande sœur, le garçon du milieu était pétrifié et la mère sembla folle de rage et voulut gifler Regina qui lui avait subtilisé la bouteille de champagne (eh oui, elle ne perdait pas le nord), mais fut sauvée par une belette mécontente de cet accueil. La main perforée d’un poignard de Milady, la mère se mit à hurler de douleur tandis que la reine secouait la tête d’un air faussement compatissant.
-Ttt ttt ttt… On aurait pu devenir de grandes amies, mais tu as tout gâché, vile manante.
De sa main libre, la sorcière l’expédia par magie à l’autre bout de la pièce, arrachant sa main à la lame qui la maintenait contre le mur, ce qui créa un troua béant au milieu de sa paume. Les hurlements et le sang traversèrent la pièce en même temps que le corps de la mère. Les enfants étaient en larmes et Regina s’avança vers eux.
-Allons, allons, il ne faut pas pleurer, aujourd’hui est un jour heureux.
Bien entendu, les trois bambins ne semblaient pas de cet avis, la plus grande essayait de dissimuler son frère et sa sœur derrière elle, en vain.
-Je les aime bien, lança-t-elle à l’attention de sa chère Anne.
Puis elle se pencha vers la plus grande.
-Sais-tu coudre ?
La jeune adolescente hocha timidement la tête. Regina frappa dans ses mains. -A la bonne heure !
Elle regarda ensuite le garçon à peine âgé de dix ans. -Toi, vas nous servir à boire.
Elle lui confia alors la bouteille de champagne avant de regarder fièrement son amie.
-Tu vois, j’étais sure qu’on leur trouverait une utilité.
Il restait la plus petite, mais nul doute qu'Anne saurait quoi en faire.
Lâchais-je en réponse à son compliment avant que nous puissions accueillir comme il se devait nos invités. Rapidement dès qu’il eut passer le seuil de la porte les cris et les exclamations d’horreur avait envahir notre salon et je sentais mes yeux rouler dans leur orbite. Ils allaient tout gâcher et la première à réagir fut la femme du promoteur immobilier qui tenta de gifler Regina et qui se retrouva cloué par mes soins aux mur grâce à mon précieux poignard, chose qui lui fit arracher un hurlement de douleur et qui me combla d’un bon lot d’insulte. Regina se chargea de l’expédier de l’autre côté de la pièce avant de récupérer mon arme. La fibre maternelle de mon amie fit son apparition quand elle tenta de de réconforter les trois enfants du couple que nous avions amoché. Elle donna à une le poste de couturière, à l’autre celui de serveur. Il ne restait que la petite qui se cachait derrière sa grande sœur en pleurant silencieusement. Prenant mon arme, je la nettoyais afin de prévenir la lame de la rouille avant d’ajouter :
« Minimoys, tu nettoieras tout ce bazar, après tout faut bien que les gamins nettoient les saletés de leur parent ! »
Le garçon me servant d’une main tremblante une coupe de champagne je le remerciais avant d’ajouter :
« Un peu de dextérité, cesse donc de trembler et soit un homme sans quoi tu resteras puceau toute ta vie ! »
Sur ses mots qui laissèrent bouche bée la gamin pré-pubère, je retournais vers leur géniteur qui tirait sur ses liens.
« Ttttt ne fait pas ça tu vas te blesser »
Lisant la colère dans ses yeux, je riais avant de murmurer à son oreille :
« Regarde-moi encore une seule fois de travers et je te jure que je tue un de tes gosses sous tes yeux ou mieux ça sera ta femme qui le fera et ce n’est pas Regina qui m’empêchera de faire cela »
Ce dernier se radoucissait en hochant la tête en signe d’accord tandis que la femme de ce dernier me traitait de salope. Laissant échapper un soupir, je m’approchais d’elle en demandant à Regina :
« Je crois qu’on devrait y apprendre les bonnes manières t’en penses quoi ? »
Gasmask
Regina Mills de Locksley
Storybrookian
♕ Lieu : 108 Mifflin Street, ou la mairie de Storybrooke
Anne était si imaginative, une véritable source d’inspiration pour son amie qui, dans les bons jours, savait comment infliger traumatisme physiques et moraux à ceux qu’elle estimait le mériter. Pour l’heure, les deux beautés terribles étaient affairées à asservir et torturer la petite famille du promoteur immobilier grâce auquel elles étaient désormais les heureuses propriétaires d’un magnifique appartement hors de prix qu’elles avaient eu gratuitement.
La mère des trois mouflets expédiée à l’autre bout de la pièce, probablement assommée, les deux enfants les plus âgés se virent attribuer à chacun une tâche. La grande leur ferait des robes, c’était obligatoire d’avoir une couturière. Et le gamin serait leur serveur. Les domestiques, c’était important. Quant à la plus petite, elle serait la femme de ménage, Anne en avait décidé ainsi.
-Très bien, très bien, ma chère, tu as su leur trouver la fonction qui leur va le mieux. Il faut dire que la petite est si près du sol qu’elle n’aura aucun mal à accomplir sa tâche avec brio, n’est-ce pas ?
Se cachant derrière sa main pour rire à la réflexion de Neili sur le gamin tremblant qui leur servait du champagne, elle jeta un œil à son père. -Espérons qu’il n’aura pas hérité des traits disgracieux de son paternel, sans quoi, tremblant ou non, je doute que quelqu’un veuille de lui. Dans le cas contraire, selon comment il évolue, on pourra toujours se charger de son cas, pas vrai ma belette ?
Mais le père faisait encore des siennes, décidément, il passait son temps à se faire remarquer celui-là. Exaspérée, Regina souffla en levant les yeux au ciel.
-Certes non, ma belette sait toujours comment s’amuser, et je dois bien avouer que cette proposition serait un spectacle intéressant, alors ne nous force pas à nous priver d’un précieux domestique, l’ami !
L’épouse de l’agent immobilier revint à la charge, Regina l’avait presque oubliée celle-là. Elle avait osé insulter Anne, ce qui choqua la méchante reine. Personne ne touchait à son amie. Furieuse, elle brisa le verre de champagne qu’elle tenait dans sa main en la resserrant autour de l’objet. Faisant fi de la douleur, elle avança d’un pas décidé, le regard noir fusillant la femme, et arrivée à sa hauteur, elle lui flanqua une gifle magistrale qui tira un cri à la plus petite des enfants.
-Tu vas immédiatement présenter tes excuses à mon amie, et à genoux !
Regina me félicitait pour avoir trouvé une occupation à celle qui lui rappelait sa belle-fille. Si j'avais eu une tâche plus ingrate, je lui aurais donné, mais malheureusement ce n'était pas le cas. Riant à la réflexion de ma meilleure amie sur le centre de gravité de l'enfant et l'accord parfait avec sa corvée, je la regardais avec tendresse.
" Tout à fait "
S'en suivit d'un début de dressage sur le pauvre empoté qui servait de serveur. Il nous regardait partager entre le désir, la haine et la peur. En voilà un qui aurait fait un piètre chevalier, songeais-je dépité avant de rire à nouveau aux compléments que mon amie faisait.
" Vraiment qu'en cas de famine ma loutre, dépucelé les hommes ce n'est pas tellement amusant, d'ailleurs regarde comme il tremble, dans un lit pense tu vraiment qu'il serait virulent ? "
Demandais-je tout en grimaçant, jugeant le gamin comme s'il était une bête sauvage, ce qui fit d'ailleurs rugir son papa. Il commençait sincèrement à me fatiguer l'agent immobilier. Malgré tout je jouais les fausse gentille en le ramenant au calme en menaçant sa progéniture. Automatiquement, le quadragénaire se calmait et je lui tapotais la poitrine :
" C'est bien, c'est bien "
Il allait devenir mon chien. Je l'avais décidé et j'obtenais toujours ce que je voulais. D'ailleurs sa femme qui avait dû comprendre mon intention me traita de salope et automatiquement je proposais à Regina de la dresser et en guise de réponse elle la gifla sous mon regard pervers et les cris de son mari, accompagné par le regard ahuri de ses enfants. La femme se retrouvant à genoux devant moi je lui marchais sur les doigts en ajoutant :
" Mon amie t'as demandé quelques choses, regarde ton mari et poses-toi la question de ce qu'on pourrait te faire si tu n'obéis pas. "
Cette dernière murmura des excuses et je faisais signe à Regina que je n'entendais pas. J'allais lui retirer sa fierté à cette brune.
Gasmask
Regina Mills de Locksley
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♕ Lieu : 108 Mifflin Street, ou la mairie de Storybrooke
Torturer des pécores, décidément, il n’y avait rien de plus divertissant, et ce peu importe le monde dans lequel on se trouvait. Regina et Neïlina étaient deux incroyables prédatrices et la famille de l’agent immobilier l’apprenait à ses dépends. Les gamins seraient exploités comme esclaves, et les parents… eh bien advienne que pourra.
- Tu as bien raison, ce n’est pas amusant, il faut lui trouver une fille qui saura le dresser au lit sans le faire trembler. Mais quel idiot, arrête de trembler ! Lui cria-t-elle dessus.
Evidemment, le gamin avait du mal à ne pas avoir peur face aux capacités de ses deux geôlières. La méchante reine éclata de rire face à cette mine déconfite. Alors que Neïli s’occupait du cas de ce cher Mr Woodley, l’épouse de ce dernier manifesta son mécontentement en insultant la belle blonde, provoquant la colère des deux femmes.
- Pourquoi les pécores sont-ils si inconscients ?
Regina s’empressa de gifler l’effrontée qui tomba au sol. Neïli ne se fit pas prier pour lui écraser les doigts, réclamant les excuses que la reine avait ordonnées. La victime obtempéra mais pas assez fort à son goût.
- Bon, puisque tu n’es pas capable de parler plus fort, je vais arracher la langue de la plus petite.
Tendant la main vers la cadette, la sorcière la fit venir par magie, comme si elle tirait sur une corde invisible qui aurait entouré la gorge de l’enfant. Aussitôt, la mère se mit à hurler.
« Non ! Non ! Pardon, je vous demande pardon ! »
Regina sourit d’un air extrêmement sadique.
- Eh bien voilà, tu vois quand tu veux. Néanmoins, ce n’est pas arrivé assez vite. Ma belette, quelle punition pourrions-nous infliger pour cet affront ?
Neïlina redoublait toujours d’imagination et c’était ce qui plaisait tant à la méchante reine. Si quelqu’un dans cette famille faillissait, les autres morfleraient pour cette personne, c’était une sorte de deal implicite de leur captivité, désormais.
M’approchant du fameux jeune homme qui tremblait de tout son long dès que j’eus fini de m’occuper de son père, je prenais ses joues entre mes doigts tout en passant mes doigts sur son corps de jeune garçon.
« Tu n’as donc jamais gouté à la saveur d’une femme, pas même un simple baiser je suis sure ? Pourtant tu n’es pas vilain quel est donc ta tare ? Ta maman t’a trop gâté ? Oui c’est certainement ça d’ailleurs. Cela dit suffit que tu me demandes et je t’en débarr… »
Me retournant vers la fameuse maman qui exprimait son mécontentement, je la fusillais du regard. Voyant que Regina s’en mêlait je sentais un sourire machiavélique naitre sur mes lèvres. Tu vas comprendre ta douleur chérie, songeais-je en répondant :
« Je l’ignore, mais va falloir que la demoiselle apprenne le respect si elle ne veut pas que je ne tue un de ses précieux marmot sous ses yeux ! Ou mieux qu’elle le tue pour moi »
Riant en la voyant tomber au sol, je retenais son fils en lui saisissant la main quand je le vis désireux d’aller secourir sa mère :
« Si tu veux un jour contenter une femme et être un homme tu vas devoir occuper le cordon chéri ! »
J’adorais voir ma meilleure amie à l’œuvre, la poésie dont elle faisait preuve était enivrante. Je la regardais emmener la cadette vers elle d’un simple geste de la main et la réaction de maman ours fut immédiate. Applaudissant pour féliciter le jeu d’actrices, je la regardais se mettre à pleurer.
« Qu’elle prenne la vie d’un membre de sa famille, n’importe lequel. Elle a deux minutes pour choisir, passer ce délai, je torturerais la personne de mon choix »
Cette dernière explosa en sanglot et je sortais mon téléphone pour enclencher le minuteur en passant à côté d’elle pour y déposer une dague :
« Perds pas ton temps à pleurer, crois-moi il vaut mieux que tu t’occupes de la sale besogne, si je le fais tu ne vas pas aimer, ma victime non plus mais moi par contre je vais prendre mon pied comme ce n’est pas permis »
Gasmask
Regina Mills de Locksley
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Punir des pécores pour une faute qu’elle les avait poussés à faire, rien n’était plus distrayant pour Regina. Elle savait son amie friande également de ce genre d’activité, et ensemble, elle n’excellait que davantage dans le sadisme. Après avoir traumatisé un à un les enfants, voilà désormais à s’attaquer à la mère de famille. Il fallait reconnaître que cette femme avait eu du cran pour oser tenir tête ne serait-ce qu’une seconde à deux psychopathes telles que ces femmes venues d’un autre monde. Néanmoins, cela passait à présent pour de la folie et de l’inconscience, parce qu’avec le recul, n’avait-elle pas compris à qui elle avait affaire ? Neïlina avait choisi la punition : elle devrait tuer l’un des membres de sa famille, sans quoi la belle blonde s’en chargerait et ce serait loin d’être rapide et sans douleur. Le sourire sadique de la méchante reine s’était accentué en voyant son amie poser devant l’inconnue une dague. Elle avait également enclenché un chronomètre, un compte à rebours de deux minutes.
- Tic… tac… entonna Regina avant de se saisir de la bouteille de champagne.
Elle resservit les flûtes et en tendit une à son amie.
- A ton avis, qui va-t-elle choisir ? Demanda-t-elle en trinquant.
Son regard sombre se posa sur chacun des membres de cette famille dégoulinante. Le père toujours attaché sur la table, les trois enfants interdits et la mère tremblante et pleurnicharde qui regardait le couteau posé près d’elle.
- Vas-tu le prendre ou bien faut-il que je te transperce la main avec pour qu’il tienne dedans ?!
Aussitôt, la mère se saisit de la lame. Regina hocha la tête avec un sourire satisfait.
- Bien, ce n’est pas trop tôt. Maintenant, fais ce que l’on t’a ordonné. Choisis celui ou celle qui perdra la vie. A moins que tu ne préfères que mon amie ici présente ne le fasse pour toi ?
La reine fit un pas vers ma mère de famille qui aussitôt secoua la tête par la négative. Tremblante, elle se dirigea lentement vers son mari. Regina se pencha vers Neïlina.
- Je l’aurais parié… ils n’ont jamais le cran de s’en prendre aux morveux.
Elle vida d'une traite sa coupe de champagne avant de regarder avec curiosité ce que ferait la femme.
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Mer 25 Oct - 17:57
Gasmask
