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Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Tristan Delcambre qui nous a rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par sa fiche de présentation pour luicsouhaiter la bienvenue, ou sur sa fiche de liens.
Le retour de Carrie
Merci à la belle Carrie qui nous rejoint à nouveau dans le staff.
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Étrangement cette entrevue ne se passait pas trop mal. J’étais mal à l’aise, mais j’avais tellement mis la barre haute dans l’échelle de la catastrophe que finalement tout se passait bien. J’en venais même à lui donner quelques recettes pour apaiser Robin, bien que l’unique chose qui puisse réellement l’apaiser était qu’il lâche prise une bonne fois pour toute. Il avait besoin d’arrêter de tout contrôler et il avait besoin de Regina. Malheureusement, plus le temps passait et plus je m’en rendais compte. JE fronçais les sourcils quand elle parla de Romain et je fermais le sujet avec délicatesse :
« Disons qu’on s’améliore de jour en jour, mais on arrive à communiquer »
Enfin généralement avant on s’engueulait, puis on faisait l’amour à la sauvage et c’est seulement après, une fois les nerfs bien détendus et la tension sexuelle calmée que l’on arrivait à parler à cœur ouvert. Naturellement, je n’allais pas lui raconter ça, même Robin et Ariel n’étaient pas au courant de cela. C’était trop intime pour que je leur en parle. Sans compter que je savais que ce procédé n’était pas tellement conseiller pour préserver une vie de couple saine.
Heureusement, le sujet de discussion dériva sur Roland et je fus toucher par les mots qu’elle prononça en mon égard. Je les trouvais légèrement poussé parce qu’à sa place qu’importe combien mon mari m’aurait vendu les louanges de son ami, jamais je ne lui laisserais mon fils sans le moindre état d’âme. Mais e même temps qu’en savais-je ? Mon unique enfant était mort-né, peut-être que si j’avais pu l’élever j’aurais fini par penser autrement ? Songeais-je pour lui trouver des excuses.
« Merci Marianne ça me touche beaucoup »
Après un bref regard sur l’horloge je me congédiais en rappelant à la jeune femme ma time-line. En réalité j’avais encore du temps, mais je ne voulais pas plus m’éterniser. Si je me débrouillais bien, je pourrais presque voler un baiser à mon mari et retourner travailler auprès de Durnik. Marianne m’accompagna à la porte et je la saluais une dernière fois :
« A la prochaine fois, merci pour le thé »
Dès que la porte fut fermée je m’envolais vers la mairie en espérant pouvoir trouver Romain pour profiter un peu de lui avant de repartir m’enfermer au cabinet de psychologie de Durnik.