Intrigue 2.1

Cora se réveilla de très mauvaise humeur, fracassante même. Comme à son habitude, à son reveil, la reine de coeur prit le temps de s'habiller d'un tailleur magnifique signé Prada et d'escarpins classiques mais distingués de la marque Balanciaga. Elle descendit dans le magnifique salon en marbre ayant pour décoration de sublimes pierres précieuses, faisant penser à la grande salle d'un château. Elle ouvrit le journal que l'un de ses servant venait de lui poser Avec peur er délicatesse alors que Cora disait :

"Ce sera tout."

Le servant ne perdit pas une seconde et partit en courant. Fronçant les sourcils, la reine de coeur eut l'horreur d'apprendre qu'il y avait des disparus dans Storybrooke. Elle courut jusqu'à sa porte et ne prit pas la peine de prendre la voiture, Cora disposant d'un chauffeur, et se téléporta jusqu'au Granny's. Elle y courut pour avoir plus d'informations, enfin, elle marcha vite plutôt. Sa coiffure parfaitement réalisé ne bougeait pas d'un cil, elle fut arrêtée par un allié a elle, Absolem. Paniquée, elle l'écouta et dit sur un ton que jamais personne n'avait jamais put voir sur elle :

"Absolem... Absolem, c'est ma fille ! Elle a disparu ! Tu as perdu quelqu'un d'important ? Je ne comprend pas, nous sommes de puissants sorciers, je fais surveiller Regina depuis des semaines, si il y avait un enlèvement, je l'aurais su. Et puis, Regina se faire enlever... " elle reprit ses esprits avant de se tourner vers le bel homme, et dit :

" Tu le sais... tu as un moyen pour y aller n'est-ce pas ? Absolem, si tu m'emmènes là-bas, je te promets que ma fille et ta personne chère rentreront seines et sauves ici à Storybrooke. "

Absolem et Cora finirent alors par se mettre d'accord, la reine de coeur s'engageant à protéger sa personne chère, après-tout, même si cet homme etait très puissant, on ne pouvait pas dire le contraire, Cora etait une sorcière plus que puissante, atteignant l'excellence, elle serait très utile.

Leur voyage s'entama et Cora prit la main de l'homme, et en un rien de temps, ils finirent dans un Storybrooke au ciel rouge et délabré. Que pouvait-bien être cet endroit ? La sorciere regarda aux alentours cherchant sa fille, observant cette ville.

Soudain, ils entendirent du bruit, une foule semblait se former autour de deux ou trois personnes, pas bête, Cora comprit de suite :

" Regina est là-bas, si cette horrible et pesante ville porte le nom des enfers, c'est que ses habitants y sont morts, et je ne connais qu'une personne ayant rasé des villages entiers sans aucune raison apparente. Allons-y. Votre amie y est peut-être Avec. "

Les enfers était un endroit bien special, et il valait mieux rester prudent, cependant, Cora devait secourir sa fille, quoi qu'il en coûte. Alors elle s'avança aux côtés d'absolem, cherchant du regard sa fille, pour venir l'aider.

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Intrigue 2.1

La situation était étrange, très étrange, tout autant que le fait de se réveiller par terre en pleine rue. L’ambiance, le ciel, tout semblait différent malgré l’apparente ressemblance avec la ville. Qu’avait-il bien pu leur arriver ? Immédiatement, Neïlina se défendit lorsque son amie maugréa qu’elle aurait mieux fait de ne pas l’écouter. Là, des gens s’approchaient, marmonnant des phrases sans queue ni tête, telles que "Enfin ! Quelqu'un a tué cette sorcière !". Regina haussa les sourcils, surprise par une telle réflexion. Elles étaient là, debout en train de parler, ça ne ressemblait pas vraiment à une sorcière morte… Alors que Neïlina et sa bonne humeur légendaires tentèrent de se débarrasser des quelques badauds aux visages à la fois étrangement familier et pourtant que Regina aurait juré n’avoir jamais vus à Storybrooke, la foule autour d’elles s’agrandit.

-Neïli… murmura Regina à l’intention de son amie pour lui faire comprendre qu’il ne valait mieux pas provoquer un si grand nombre de personnes.

L’ancienne méchante reine fit un tour en pivotant sur ses talons pour observer les visages de ces personnes qui semblaient avoir une rancune certaine envers elle. La belle brune se mordit la lèvre, réalisant quelque chose. S’approchant de l’oreille de son amie, elle murmura.

-Je crois que j’ai tué ces gens… Clairement, ils ne viennent pas de Storybrooke pour la plupart, regarde leurs vêtements…

Ca semblait pourtant improbable, mais d’un autre côté, il n’y avait que cette explication qui pouvait être valable, étant donné qu’elle n’avait aucun souvenir d’avoir vu ces visages dans sa ville, et que les citoyens avaient enfin compris qu’elle n’était plus la méchante reine. A moins que Cora n’ait eu raison depuis le début et qu’ils ne fassent semblant juste pour qu’elle les protège d’Ingrid, et à présent que le miroir de la sorcière des glaces était brisé, alors ils se rebellaient ? Non, Regina refusait d’y croire, ce serait trop difficile à supporter en plus du départ de Robin.

-Ecoutez, je suis consciente que j’ai dû vous faire du mal par le passé, beaucoup de mal sans doute, mais aujourd’hui les choses sont différentes. Je suis différente. Nous ne vous ferons aucun mal, alors laissez-nous passer.

Peut-être que ces personnes étaient éméchées, sortant comme les filles d’une soirée un peu arrosée. Tout un chacun savait pertinemment que trop d’alcool entrainait des bagarres. Regina avait les mains levées devant elle en guise de défense. S’ils s’approchaient trop près, elle serait obligée de les repousser. Si elle ne leur voulait pas de mal, elle voulait encore moins qu’ils ne leur en fassent, à elle ou Neïlina. Elle eut l’impression soudainement qu’au loin, une brèche se formait dans la foule. Des personnes arrivaient. Plissant les yeux, elle finit par distinguer une silhouette qui lui parut familière. Cora !

-Mère, c’est toi ?

Peut-être qu’elle aurait une explication à cette drôle d’ambiance, à ce simili de Storybrooke. Il semblait qu’un homme l’accompagnait mais elle était incapable de dire si elle le connaissait ou non.

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Intrigue 2.1

Ma petite remarque apporta l’attention sur moi et je me contentais de leur sourire avec déconsidération. Le visage de ses derniers prouvaient qu’ils se questionnaient sur mon identité mais je n’avais que cure qu’ils cherchent ils ne trouveraient pas ou au pire ils découvriront que mon nom est Lady Anne de Winter autant dire qu’il n’y a rien d’insolent la dedans. Regina de son côté tentait d’apaiser al situation après m’avoir gentiment averti qu’elle avait tué ses hommes et qu’ils ne venaient pas du monde des contes. Mais où diable avions nous atterri ? Sans lâcher les mécréants du regard je demandais en un murmure :

« J’ignore où nous sommes, mais si ses personnes tu les as tué il y a fort à parier que celle que j’ai tué sont dans les parages aussi … Il va nous falloir des armes ma loutre pour se protéger tu ne penses quand même pas que de simple bonne parole de rédemption vont marcher ? »

Souriant une fois de plus aux gueux décédé, je regardais autour de nous cherchant un moyen de savoir où nous étions, bien que l’idée que nous nous trouvâmes dans les enfers commence à faire son bout de chemin dans ma tête. Certainement à cause des teintes rougeâtres de l’atmosphère dans laquelle on se trouvait. Ce n’est que lorsque Regina prononça le nom de sa mère que je laissais échapper un soupire :

« Nul doute possible cette fois nous sommes bel et bien en enfer ! »

Apercevant Cora qui se rapprochait je serrais les dents avant d’apercevoir Absolem à ses côtés, souriant plus franchement à ce dernier je les saluais :

« Cora, un plaisir de vous revoir »

Tentais-je, mes souvenirs d’adolescente me revenant à l’esprit quand je jouais avec Regina et que cette femme nous surveillait. Elle m’avait toujours fait froid dans le dos et ne m’aspirait pas la moindre slave de confiance.

« Absolem toujours un plaisir, l’un d’entre vous sait-il où nous sommes et pourquoi nous sommes là ? »

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Intrigue 2.1

J’avais servi de moyen de transport à Cora et moi-même, mais je gardais surtout à l’esprit la promesse de cette dernière, les seules qui pour nous comptaient réellement à nos yeux retrouveraient le chemin de Stortbrooke saines et sauves. S’il y avait bien une chose sur laquelle nous étions d’accord, ce serait bien sur celle-ci. Tenant toujours ma comparse par la main, nous nous avançâmes dans la foule qui nous faisait face, ils nous dévisageaient même si je ne saurai dire si c’était la faute de Cora ou la mienne, lorsque cette dernière eu la certitude d’avoir retrouvé sa fille. Régina semblait surprise de voir sa mère ici mais légèrement soulagée, tandis que je concentrais mon attention sur Lady de Winter, cette femme était une alliée de mon frère et ça je n’était pas prêt de l’oublier…

« Milady », lui dis-je alors en faisant une petite révérence, le regard brûlant de colère qui faisait contraste avec ma prestance et mon calme apparent. Régina était parvenue à calmer la foule, enfin...très grand mot, disons qu’elle avait fini par s’en aller nous laissant tous les quatre pour le moment. « Nous sommes en Enfer, quant à la raison de votre venue ici je n’en ai aucune idée, toutefois, Rozen March est ici et j’aimerai la ramener au plus vite à Storybrooke si cela ne vous dérange pas... ».

Je jetais un regard à ma très chère alliée Cora, je me demandais si elle souhaitait que je la lâche car cela signifier qu’elle ne pourrait repartir avec moi, et donc qu’elle devrait tout comme les filles ici présentes, trouver une issue de secours pour en sortir vivantes… « Dois-je te lâcher ? », lui demandais-je en plantant mon regard dans le sien, espérant qu’elle comprenne les tenant et les aboutissant… Puis regardant un peu de part et d’autres puis reposant mon regard sur chacune des jeunes femmes (oui même Cora) ici présentes, j’ajoutais : « Il serait sans doute plus sage de ne pas rester au milieu de la grande rue, ne pensez-vous pas ? Les morts ont souvent soif de vengeance et il me semble qu’on a tous quelques ennemis décédés qui souhaiteraient avoir la chance de mettre un terme à nos vies. ».

Malheureusement, nous n’avions pas eu le temps de dire « ouf » que déjà, les imbéciles de tout à l’heure revenaient avec du renfort. Je soupirais un peu, autant dire que l’on avait pas que des fans dans le monde souterrain. Je décidais alors de lancer un sort de mon cru, qui s’il réussissait nous ferait gagner un peu de temps pour s’en aller de là, les morts seraient alors un peu trop occupés à copuler entre eux… Brûlant de désir les uns pour les autres, enfin dans le meilleur des cas.

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