Il demeure obligatoire. Cependant, si vous n'avez pas rp pour le mois en cours il vous est possible de recenser une absence.
Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Tristan Delcambre qui nous a rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par sa fiche de présentation pour luicsouhaiter la bienvenue, ou sur sa fiche de liens.
Le retour de Carrie
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Aude tremblait comme un laurier tourbillonnant sous un vent trop violent, perdu dans un brouillard entre les quatre vents. Pauvre jouet perdu entre Borée, Notos et , Zéphyr et Euros sans que rien de plus ne semble pouvoir l’éjecter. Enserrée dans ses bras, elle tentait de laisser cette image, s’effacer, fermant les yeux, apathique enfermée dans des profonds sanglots bien trop bruyants à son goût. Ses ongles continuaient de marquer sa peau. Aude savait que ces frères étaient perdus. Définitivement perdus, c’était bien le seul espoir qui lui restait. Et revoir cette fin l’a faisait toujours autant frémir, subir les cris et les rires de ce qu’elle avait laissé se transformer doucement. Secouée de larmes, Au’ laissait ses yeux se fermer pour se réveiller. Sur une autre ville, un autre univers.
Dévorée de flammes et de personne qui allait se faire prendre. Une brune ténébreuse et brûlante qui avait toute la hargne et le mépris qu’elle pouvait avoir sur la foule hurlante. Sauf que la brunette n’en avait rien à faire. De cela et encore moins de la blonde qui partait en courant sans le moindre intérêt, tout comme les gens qui la fusillaient du regard. Peut-être voulaient-ils la pendre aussi. Elle n’était pas sûre de le moins du monde de ne pas plus le mériter que cette brune à la peau mate qu’on voulait prendre au bout d’un fil. Pour quelle odieuse raison ? La rumeur hurlait femme de petite vertu et la brune pleurait de ses larmes infinies, cadeau du Dieu Pénée.
Wendy savait qu’on ne pouvait rien faire, que ce n’était pas possible le moins du monde. Il y avait le fil des Parques qui lentement étaient déroulés, cette fille allait être brûlée. Son regard était torve, toujours secoués de sanglots. Il n’y avait rien à faire, son cœur était gelé et même les flammes de la foule qui rêvait de brûler cette demoiselle. Aude s’était bien transformée en arbre pour échapper à Apollon alors que dire d’elle. Choix ? Vœu pieu ? Hasard ? Ou bien réalité fantasmée ?
Une petite brune aux cheveux courts gigotait sans cesse, se plaignant d’Halloween avec violence. Quelque chose clochait, mais son cerveau était encore bien plus en pause, perdu dans un brouillard de terreur dont elle ne réussissait pas encore à se débarrasser. Progressivement il partait.
« Ça ne sert à rien. » Les sanglots manquaient de dévorer sa voix, certaines fois des larmes . Mais elle ne tremblait plus, plus trop, presque plus. C’était sa réalité après tout. « Laissez là brûler, elle est sensée survivre. » Ou mourir dans d’atroces souffrances dans le livre mais tant de personnes mourraient d’atroces souffrances.
« Aucune idée … Demande aux deux ténébreux »
( Pando )
Dernière édition par Aude A. Darling le Mer 21 Nov - 19:05, édité 2 fois
Il fait sombre autour de vous et vous entendez au loin des voix. Vous vous approchez et vous voyez au loin comme une rivière remplie d’âmes… Vous savez où vous vous trouvez.
Le royaume des morts. Les Enfers.
Antonia se rend compte que tout cela n'est qu'une illusion et retrouve Arsène avec soulagement. Partagera-t-elle cette information ?
Vous voyez au loin Hercule qui passe un pacte avec Hadès. Le demi dieu s’élance, finit par retrouver Megara et remonte en dieu. Il frappe Hadès qu’il fait tomber dans les abimes. Des âmes arrivent alors à s’échapper de la rivière et vous sentez un frisson parcourir votre échine.
Il serait peut être temps de partir… Mais le ferez-vous discrètement ou avec fracas ?
Tic Tac...
Le temps presse encore et toujours.
Rappel des participants :
ANDREAS CARRIE AUDE PITCH ANTONIA
Spoiler:
HORS JEU & CONSIGNES
Le rp va se dérouler en 4 étapes.
Vous êtes sur place et vous avez un choix à faire sur la suite des évènements. La majorité l’emporte mais en cas d’égalité c’est moi qui départagerais.
La personne qui est sous l’influence de sa peur ne peut faire de choix sur la suite de l’aventure mais elle devra faire un jet de dés oui/non pour savoir si elle arrive à se sortir de sa peur ou non. Ici c’est @Andreas Kostas qui est en proie à sa peur (la solitude).
Il n’y a pas de sens de poste. Je pose la date du mercredi en 8 histoire que tout le monde ait le temps de poster. Un poste par personne est autorisé. Si vous avez tous posté avant le mercredi je ferai une MAJ précoce.
Le reste des informations viendront au fur et à mesure des interventions MJ. Si jamais vous avez une question particulière à poser au MJ envoyez plutôt un mp sous @Charlotte Answer
Adieu le bossu de Notre-Dame, bonjour les enfers. Voyager d’univers en univers était perturbant… Le pire étant que je ne retrouvais pas Arsène. Je suis là, espèce de cruche. Ce n’est pas de ma faute si tu ne m’entends pas. Arsène ! Tu es là ! Je suis là depuis le début, mais tu ne m’entendais pas apparemment, alors je t’ai regardée paniquer… Même si je voulais faire quelque chose, je n’aurais pas pu, alors je t’ai laissée me chercher… Tu vas bien ? Mais oui… C’est toi qui étais sourde. Enfin, passons. Je suppose que tu as compris quelque chose ? Que tout cela n’est qu’une illusion... En même temps, fallait sans douter puisque tout ressemble à un dessin animé. C’est vrai. Peut-être faut-il le dire aux autres ? En tournant la tête, j’observais ceux qui venaient de Storybrooke. Comment se faisait-il que nous étions arrivés ici ensemble ? Comment avions nous finis dans la même illusion alors que nous ne nous connaissions même pas ? Et peut-être que l’union faisait la force ? Qu’il fallait travailler ensemble pour s’en sortir. Je suis plus d’avis de dire « chacun pour sa peau », tu sais… Et tu sais comment faire pour nous sortir de là ? Là tout de suite ? Non, pas vraiment… Mais en tout cas, je sais qu’il faut se faire le plus discrètes possibles… Faisons nous discrètes avec les autres alors ! Et cette fois, c’est moi qui contrôle notre corps, alors : je décide. Si on meurt, ça sera de ta faute… On ne peut pas mourir dans une illusion… Si… ? Va savoir… C’est un rêve… rien qu’un rêve. Ce n’est pas la réalité… Un dessin animé, tout ceci est un dessin animé… Si tu le dis.
Je m’approchais doucement des Storybrookians. Il y en avait qui n’avaient pas l’air bien, mais il fallait avancer… J’avais la vague impression que le temps jouait en notre défaveur. Il fallait agir, et nous ne faisions rien…
- Hum… Et si nous essayons de tous partir discrètement…? Tout ceci n’est qu’un rêve, une illusion. Je pense qu’il est grand temps de retourner à la réalité…
Tu es toujours aussi convaincante quand tu parles… Il faut un peu plus de confiance pour s’adresser à un public. Aussi petit soit-il. Allez, pousses-toi et laisse-moi la place !
Je suis Arsène.
La chevelure blonde d’Anotnia, laissa place à mes beaux cheveux aussi noirs que les plumes d’un corbeau. Demain, je me teindrais les cheveux couleur des blés, ainsi, plus personne ne saurait faire la différence entre ma sœur et moi… Il serait ainsi plus simple de berner le monde entier… Enfin, ça, c’était une autre question. En effet, ta teinture n’est pas une priorité. Levant doucement les yeux au ciel, je regardais autour de moi. Il y avait le fleuve avec toutes les âmes… La barque de Charon ne devait pas être loin… Je cherchais son ruban. Un fin ruban noir transparent apparut alors. Personne ne pouvait le voir, mais je savais ce que je faisais. Tout ce qui était autour de nous était dans des tons gris et noirs. Ici, régnait la mort… Logique, nous sommes aux enfers. Les faux enfers, sinon les rubans ne seraient pas transparents. Le ruban de la barque entre mes doigts, je le liai avec le ruban gris de la terre ferme afin de la ramener vers nous. Je vis alors la barque s’approcher tout doucement de nous. Forcément, Charon est là… Hum… Il ne nous laissera pas passer. Sauf si tu as une obole sur toi ? Très drôle…
-Si quelqu’un a une solution pour se débarrasser de Charon, on peut peut-être utiliser la barque pour s’en aller ? Il y a bien des âmes qui ont pu s’enfuir, alors pourquoi pas nous ? Quand à Hadès, qu’il reste avec ses âmes, bien fait pour lui.
Je rompais le nœud que j’avais formé, pour que nous puissions quitter la rive… Charon n’avait pas l’air ravi d’avoir été emmené de force ici, mais nous n’avions pas vraiment le choix.
There is a fire inside of this heart and a riot about to explode into flames
Tell me would you kill to save a life? Tell me would you kill to prove you're right? Crash, crash, burn, let it all burn This hurricane's chasing us all underground. No matter how many deaths that I die I will never forget. No matter how many lives that I live, I will never regret.
☛HORROR BOOK - des rêves à la réalité ☚
La voix de Pitch, s'il répondit, se perdit dans une sarabande de couleurs floues. Les pirates s'effacèrent dans les taches disparates d'un tableau aux contours indistincts et une nouvelle scène y naquit, aussi improbable qu'insignifiante. Une femme séduisante y était traînée pour périr dans les flammes du bûcher parce qu'elle se voulait trop libre. Un rictus déforma mes lèvres sans atteindre un regard de glace. J'étais insensible, tant à la scène qu'aux pleurs d'une jeune fille happée par la force d'émotions qui nous étaient incompréhensibles. Quand au supplication de l'aventurière à la chevelure impériale … Elle subissait, comme la brune auparavant, les effets de scènes qui leur étaient dédiées. Les bras croisés, je baissai la tête pour échapper aux cris, tant de la foule que de la jeune blonde qui nous accompagnait. La seule véritable question qui résonnait dans mon esprit insaisissable était la raison de notre apparente captivité dans ces dessins aux desseins flous. Pourquoi? Pour souffrir dans nos histoires parodiées ? Comme pour y répondre, les couleurs se fondirent les unes dans les autres pour créer un nouveau décors. J'y portais un regard impassible … puis méprisant. Cette scène était une vaste et pathétique plaisanterie. La mâchoire contractée, j'observai mon « double », ou cette caricature déplorable couronnée de flammes turquoises. Les dents acérées, la peau grisâtre, ma propre imitation concluait un accord avec celui que je savais être Hercule. Ce … La colère ravagea mes prunelles, puis le sarcasme alors qu'un sourire sombre étirait mes lèvres incarnates. C'était … médiocre. Cette illustration était une vivante image de la peur humaine. Car les Enfers ne pouvaient être que sinistre, et ce à l'image de la Mort qu'ils représentaient. Alors que ce Royaume était un modèle d'équilibre et d'harmonie entre l'Ombre et la Lumière, la terreur de la mortalité en faisait un univers pathétique à l'effigie ridicule. Un rire glacial perça les ténèbres d'un regard moqueur alors que mon « double » courbait l'échine face à un adolescent qui le poussa dans la rivière des âmes. Et bien que je ne sois pas lui,mon univers bascula. L'obscurité déferla dans un monde souillé d'ombre et les silhouettes qui m'accompagnaient, dont celle de Pitch, disparurent dans le néant. Je n'étais pas dans la rivière des âmes et pourtant, j'avais la sensation d'être aspiré et projeté dans ce qu'était les Enfers au commencement. Un royaume indompté et aride aux ténèbres insoumises. Piégé dans un gouffre sans lumière, plongé dans un silence lourd et oppressant, je fus happé par mes émotions passées, à savoir celles qui m'avaient assaillies lorsque Zeus m'avait « banni » ou lorsque la trahison de Koré m'avait été asséné. J'étais seul. Et mon coeur, à la vie illusoire, se contracta douloureusement sous l'effet d'une pitoyable angoisse. Celle de subir sans avoir choisi. Να υποφέρω το πεπρωμένο μου. Ravagé par l'angoisse, je tombai à genoux dans la poussière, sans savoir si je me noyais dans un passé nébuleux ou si j'étais saigné par mes propres peurs enfouies. J'étouffai. De douleur, je portai un poing à ce cœur qui n'aurait pas dû battre. Il n'avait pas à battre. Mais dans ce silence éternel et dans cette damnation infligée, il ne m'obéissait plus, ni à moi ni même au rationnel. Mes pensées, elles-même, m'échappaient pour divaguer dans la noirceur qui m'étreignait. Je souffrais et mon regard déchiré par les ombres le trahissait. Je souffrais du silence et des silhouettes qui s'effaçaient. Je souffrais de voir ma propre vie m'échapper, tel un fil dérobé par un frère orgueilleux. Et je souffrais de voir sa silhouette à elle disparaître alors même que je l'avais ordonné. Mes doigts s'enfoncèrent dans ma paume et mes cheveux glissèrent sur deux pierres sans plus de couleurs ni d'âmes. Car la douleur, mise à nue dans une chimère, ravageaient ma raison et mon intelligence. Je subissais le poids de l'illusion et n'entendais que les coups effrénés d'un cœur rebelle et indépendant.
Le décor change soudain pour quelque chose de plus sombre. Adieu l’air libre, bonjour les bas-fonds de la terre. Il y a beaucoup de voix qui murmurent mais je ne comprends pas ce qu’elles disent. Je me mets malgré tout en marche ; je me rends bien vite compte qu’il s’agit d’âmes. Soudain je comprends que nous sommes en Enfer ! Comment est-ce possible ? A dire vrai je crois que cette question ne devrait même plus se poser, tout ce qu’on vit actuellement est impossible, illogique… Ce voyage n’a ni queue ni tête mais j’espère qu’il prendra vite fin.
Une des personnes de Storybrook s’approche de nous et change soudain d’apparence, enfin ses cheveux changent de couleur. Elle attrape une sorte de fil et tire dessus, ce qui a pour effet de faire avancer une barque. Elle demande ensuite si quelqu’un a une solution pour se débarrasser de Charon. Je n’en ai aucune idée pour ma part…
Je regarde autour de moi pour essayer de trouver une idée. Je vois Hadès, poussé par Hercules, sombrer dans les abimes et je vois des âmes s’échapper de la rivière. Je n’aime pas du tout cette situation, j’en ai la chair de poule… Il faut vraiment partir d’ici et ce à n’importe quel prix. Cet endroit est angoissant et lugubre… J’espère que les autres auront une idée pour qu’on puisse payer le passeur. Ou alors on pourrait peut être juste le menacer ? Ou le jeter dans la rivière ? Je ne sais pas comment cela se passe ici…
- On peut l’acheter avec quoi ce passeur ? On ne peut pas juste le menacer ?
Je sens monter en moi la peur. Cette peur qui grandit à chaque nouveau décor. Les situations sont de pire en pire. Les scènes auxquelles nous assistons sont de plus en plus sombres et inquiétantes. Arriver dans le monde des morts n’est pas quelque chose que j’aurais pu imaginer un jour… Quelle sera la suite de cette pseudo aventure ? Enfin si suite de l’aventure il y a puisque nous sommes piégés parmi les âmes des Enfers. Je ne veux pas rester ici. Je m’avance vers la barque et regarde Charon, me demandant ce qu’il pourrait aimer avoir pour nous laisser passer ; mais à mon avis ce passage aura un coût bien trop élevé pour nous. On pourrait sans doute l’assommer et gérer la barque nous-même. Cela doit être faisable non ?
Vous vous êtes décidés et vous pensiez avoir du répit mais en fait pas du tout. Vous voilà maintenant au beau milieu d’une panique générale et pas n’importe laquelle....
Le cauchemar ne semble pas se dissiper bien au contraire et vous ne savez pas qui sera la prochaine victime de ce jeu.
Vous vous retrouvez dans une ville remplie d’enfants qui se battent aux côtés des gardiens légendaires face à l’affreux Noirceur !
Alors que vous tentez d’être le plus discret possible, vous êtes repérés par le vilain qui souhaitent également vous avoir des ses filets. Vous devez fuir mais devriez-vous prendre le parc ou biens les ruelles sombres ?
Les enfants hurlent tout autour de vous. Il vous faut vous décider….
Tic Tac...
Le temps presse à nouveau.
Rappel des participants :
ANDREAS CARRIE AUDE PITCH ANTONIA
Spoiler:
HORS JEU & CONSIGNES
Le rp va se dérouler en 4 étapes.
Vous êtes sur place et vous avez un choix à faire sur la suite des évènements. La majorité l’emporte mais en cas d’égalité c’est moi qui départagerais.
La personne qui est sous l’influence de sa peur ne peut faire de choix sur la suite de l’aventure mais elle devra faire un jet de dés oui/non pour savoir si elle arrive à se sortir de sa peur ou non. Ici c’est @Pitch Black et @Carrie Zahnequi sont en proie à leurs peurs (disparaitre et perdre l’innocence des enfants).
Il n’y a pas de sens de poste. Je pose la date du mercredi en 8 histoire que tout le monde ait le temps de poster. Un poste par personne est autorisé. Si vous avez tous posté avant le mercredi je ferai une MAJ précoce.
Le reste des informations viendront au fur et à mesure des interventions MJ. Si jamais vous avez une question particulière à poser au MJ envoyez plutôt un mp sous @Charlotte Answer
Soudain le décor change de nouveau et je reconnais immédiatement les lieux. Nous sommes chez moi ! Je vois mes mini fées voler un peu partout, paniquées… Je vois également tous mes amis les légendes. Mais pourquoi n’ai-je pas retrouvé mon apparence ? Où sont mes ailes ? Il faut que je leur vienne en aide ! Noirceur gagne du terrain… Ses ombres attrapent mes fées… Des enfants se battent pour nous soutenir mais je vois bien que la situation est perdue d’avance… Il faut que j’intervienne, il faut que je les aide… Je ne veux pas que les enfants perdent leur innocence, il faut qu’ils continuent de croire en nous et en la magie mais sans pouvoir comment je peux les aider ?
J’oublie les gens qui sont avec moi et je me dirige vers la terrible scène. Je donne des ordres à mes fées mais cela n’a pas l’air efficace… Je sens que nous sommes entrain de perdre… Je me sens tellement impuissante. Cela ne peut pas arriver… Nous avons déjà vaincu une fois Noirceur pourquoi nous n’y arrivons pas là maintenant tout de suite ? Ce n’est pas logique… Ou alors je suis bien trop faible… Je ne suis une légende que lorsque je peux voler… Je ne leur sers à rien… J’ai envie de baisser les bras mais l’avenir des enfants est en jeu… Je n’ai pas le droit de reculer… Je recommence donc à donner des ordres aux fées pour vaincre les ombres de Noirceur mais je les vois se faire capturer de plus en plus… je vis un véritable cauchemar… Le cri de terreur des enfants me donne envie de pleurer, de hurler ma rage et de me jeter contre noirceur mais… Je n’y arrive pas.
Il faut que je trouve une solution, j’examine la situation, je regarde les légendes se battre, tomber, échouer… La situation est désespérée. Je vois même les enfants baisser les bras… Non… J’éclate en sanglot et regarde enfin les gens avec qui je suis.
- Aidez-nous… Aidez les enfants… Ils ne peuvent pas perdre leur innocence… Les légendes vont disparaitre… On existera plus… Il n’y aura que de la noirceur. Au revoir magie si les enfants perdent la partie…
J’espère qu’ils vont venir m’aider à les sauver. Même si nous échouerons sans doute nous nous serons battus jusqu’au bout… Mais quelque chose me dit qu’on ne va pas y arriver… Mais je me trompe peut-être.
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Mer 14 Nov - 21:46
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