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 « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot)

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Message# Sujet: Re: « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot)   « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot) - Page 2 Icon_minitime1Mar 29 Aoû - 13:10


blurred lines - Robin Thicke

Les questions, les paroles, du temps perdu. Et pourtant, il aimait parler et encore plus poser tout un tas de question avec sa grande curiosité. Or ce n’était pas ça qui l’importait. Il était un peu groggy, encore secoué par ce qu’il avait ressentit en l’embrassant. Oui, il y avait bien quelque chose de magique, mais ce genre de petit détail ça pouvait largement attendre. Je voulais encore la sentir. J’en avais tous les poils hérissés. Il restait encore des vagues qui se dissipaient lentement dans tous mon être. J’étais dans un état second, comme ivre d’elle. C’était époustouflant et tout ce que je voulais, c’était encore y gouter. Il soufflait doucement, comme s’il venait de retrouver son souffle après un effort. Il fermait parfois les yeux, balloté par ses émotions. Il lui avait répondu qu’il était magique, sans réfléchir. Il ne le pouvait pas là. Ce n’était quelque chose dans lequel il excellait en temps normal et là son esprit était embrumé par autre chose.

Il était resté légèrement contre elle, les bras autour de sa taille. Elle l’avait laissé approcher et il ne risquait pas de la lâcher tout de suite. Une telle occasion, il fallait en profiter surtout après ce qu’elle lui avait accordé. Gourmand, il en voulait alors plus. Un autre baiser. Il l’implorait presque du bord des lèvres. Tout son corps et son attitude le disait entièrement. Il ne tenait pas. Capricieux, impatient il aurait été capable d’insister aussi longtemps qu’il le faudrait pour qu’elle craque. Elle avait rit. Il vivait un rêve. Il n’y croyait pas. Elle acceptait. Certes, elle disait que tout cela était purement expérimentale, mais c’était pareil pour Charles. Il se mordit la lèvre en riant aussi. « Bah bien sûr que c’est antro-truc » lui répondit-il, le regard pétillant et le sourire mutin. Il débordait de joie et d’envie. D’avoir entendu son rire avait comme boosté l’éclat agréable qui le possédait corps et âme. Oui, le soucis quand t’es aussi petit. Tout. La joie, la colère, la jalousie, la tristesse, … Tout me possède corps et âme. Il se penchait alors pour venir l’embrasser avec lascivité.

Les mains de la si froide et revêche d’Adonis couraient sur le corps finement sculpté de Charles et elle ne fit qu’attiser la passion qui consumait le jeune-homme. Il la serrait un peu plus contre lui, les mains dans le creux de ses reins, ou encore à la taille, juste sous sa poitrine. Ce petit feu d’artifice que provoquait le contact de leurs lèvres le rendait fou. Il avait de la peine à se contenir. Adonis cherchait à se détacher, mais Charles ne l’entendait pas ainsi. Il se penchait toujours plus pour la rattraper quand enfin il trouva la force de la laisser respirer. Il était encore plus enivré que tantôt et avait presque des difficultés à tenir debout. Il secouait la tête pour revenir un peu sur terre. C’était comme renifler des fleurs de Wonderland.

Adonis prit place sur le bord du puit et il ne l’écoutait déjà plus. Il se sentait frileux maintenant qu’elle était un peu plus loin de lui. Ses mains glissèrent quand elle s’était éloignée et reposaient naturellement sur ses cuisses. « Non… » avait-il murmuré quand elle parlait encore de cette étrange sensation. Il s’en moquait bien. C’était agréable et ça lui suffisait. Il pensait peu aux conséquences et était souvent très naïf. Il était aussi trop passionné pour penser qu’un chose délicieuse pouvait être dangereuse. Il s’en rendait souvent trop tard. Il avait ses yeux porté sur sa bouche et il s’était doucement approcher pour l’embrasser encore, mais sa réflexion l’arrêta. Il la dévisagea, admiratif. « Pas mal… Ouais, j’ai une affinité avec les animaux. » sourit-il en coin, impressionné et amusé. « Moi je me demande quelle est ta nature pour être capable de me sentir ça aussi... » dit-il pensif en penchant la tête. Il n’avait jamais encore ressenti ça avec d’autre. Il fallait dire qu’il ne croisait pas d’aussi puissante Fée tout les jours.

Le rêve et la chaleur de leur échange se refroidit un peu quand elle lui fit une remarque cynique. Son sourire s’effaça et il planta un regard mauvais dans celui d’Adonis. Cela ne dura que quelques secondes, mais assez longtemps pour qu’elle voit qu’elle avait réussi à l’atteindre. Il baissa ensuite son regard et commençait à remonter et descendre doucement une main sur sa cuisse. Il l’effleurait du bout des doigts. Il observait son propre geste. « Déjà pour information, je ne fais que livrer les sushis. J’ai pas le droit d’entrer dans la cuisine » la reprit-il. C’était vrai, Zélie l’avait interdit d’y pénétrer pour tout un tas de raison, comme le fait qu’il mangeait tout ou encore qu’en une minute, il était capable de retourner la pièce. « Et… Je sais pas… Ca dépend de ce que tu comptes faire toi… » continua t-il retrouvant son humeur libidineuse. Il se rapprochait un peu plus d’elle et lui susurrait à l’oreille : « Si t’as rien de mieux à faire que regarder le fond d’un puit, on pourrait aller dans un endroit plus approprié pour continuer cette expérimentation magique… J’me dis que vu ce que ça fait avec seulement un baiser… » et il vint délicatement poser un baiser dans le cou. « ... qu’est-ce que ça doit être avec coït. »

Il se redressa légèrement avec son air espiègle. « Et peut-être que je te dirais ce que je suis… » dit-il avec un léger ricanement. Son sourire de tombeur brillait aux coins de ses lèvres et ses mains remontaient jusqu’aux fesses d’Adonis et pressait leur corps l’un contre l’autre. « Alors ? Ça te dis pas ? » lui demandait-il comme s’il lui proposait d’aller goutter la tarte du jour au Granny’s. Elle lui donnait la main et il prenait le bras. Pour lui il l’avait, elle finirait dans son lit.

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Message# Sujet: Re: « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot)   « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot) - Page 2 Icon_minitime1Dim 3 Sep - 16:32


blurred lines - Robin Thicke

Le laisser approcher n’était pas la meilleure idée que j’avais eu. La façon dont il me regardait et dont il me tenait par la taille me prouvait que j’avais eu tord, il n’allait plus me lâcher, qu’importe si je ne parvenais pas à le faire fuir je lui effacerais la mémoire, il aura simplement l’impression d’avoir fait une balade en forêt avec ses chiens et dans son éternelle maladresse il sera tombé sur la tête et c’est ce qui justifiera ses maux de tête. Sans que je ne comprenne réellement pourquoi une partie de moi refusait l’éventualité de jouer sur son esprit, le plus simple était qu’il y concède de lui même et d’ailleurs avant d’en arriver là je voulais savoir ce qu’il était comme créature magique. Le lien qu’on avait ressenti n’était pas anodin, il pouvait l’appeler comme il le voulait mais je savais que cela signifiait quelque chose de plus profond qu’un quelconque attachement sentimental ou d’une attirance physique, d’ailleurs cette enveloppe n’était même pas la mienne donc il ne pouvait clairement pas mettre cela sur ce fait-là. Misant sur le bon cheval dès le premier tour lorsque je misais sur une potentielle affinité avec les animaux je ne pu m’empêcher de sourire quand il misa juste avant que ma question ne se retourne sur moi. J’étais une fée, j’étais la fille de la déesse Nyx et du roi Pendragon, j’étais une bâtarde, une puissante bâtarde certainement la plus puissante de ce monde, j’étais un Dragon et une sorcière à temps perdue. Jamais il ne pourrait deviner tout cela à la fois alors je n’avais nulle crainte à demander :

«  A ton avis qu’est-ce que je suis ? »

Réimplantant le sujet de son travail sur la discussion je lui intimais l’idée de retourner faire des sushis avec sa patronne, et ce dernier s’embraqua dans une explication de son activité tout en caressant mes cuisses avec tendresse pour me pousser à bout et me forcer à accepter plus qu’un simple baiser avec lui. Ainsi donc son job était de livrer des sushis et uniquement de les livrer, décidément rien de ce qu’il faisait ne m’attirait. Rapidement Liot enclencha le mode allumeur et se mit à se demander ce que ça devait faire d’être en moi, après un baiser comme celui que nous avions échanger je pouvais comprendre son interrogation, mais je n’étais clairement pas assez curieuse pour élucider ce mystère. Sans compter qu’il venait de me rappeler la présence du puit et donc les raisons qui m’avaient poussé à venir y jeter un oeil à savoir Morgause, Arthur et Aurore. Ce dernier m’embrassa dans le cou et je me retrouvais à rire avant de répondre le plus sérieusement du monde en susurrant à son oreille :

« Je suis parfaitement en mesure de savoir qui tu es. Il me suffit d’entrer dans ton esprit pour y desceller l’information. »

M’humectant les lèvres je posais mes mains sur le puits avant de répondre légèrement plus sèchement redevenant peut à peut la Adonis qu’il avait connu :

« Je n’ai point envie que tu te retrouve en moi, ni même de sentir ta peau nue contre la mienne, j’ai besoin de finir ce que j’étais venue faire à la base. Pourquoi faut-il que tu en demande toujours plus que ce que ce que je suis disposée à t’offrir en l’instant présent ? Je ne finirais pas dans ton lit et on ne baptisera pas ce puit est-ce assez clair pour toi ? »

Ma question posée, je le repoussais avant de faire le tour du puits pour mettre le trou entre nous tout en regardant ses chiens avec un léger dégout. S’il ne comprenait pas je tuerais un de ses chiens peut-être que ça le fera réfléchir ou tout du moins je commencerais par le menacer.

«  Sans compter que je suis de garde ce soir à l’hôpital, je n’ai pas toute la journée devant moi »

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Message# Sujet: Re: « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot)   « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot) - Page 2 Icon_minitime1Jeu 14 Sep - 13:01


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Face à toutes ces sensations explosives et agréables, Griotte était fou. Il n’avait plus l’esprit à la raison, emportée par toutes cette magie qui lui traversait le corps lorsque leur bouche se rencontrait. Sublime. Ses yeux pétillaient et son sourire était carnassier, égayer d’une curiosité gourmande. Il en voulait plus et se penchait ou se rapprochait d’elle pour lui réclamer d’autre baiser qui picotaient de cette étrange et délicieuse sensation. Il n’était plus lui-même, ou peut-être un peu trop. L’excitation enflammait tout son corps, impossible d’en contenir d’autre. Il n’était en réalité et son soucis de contenir les émotions en étant si petit ne disparaissait pas même en apparence humaine. Il n’y avait que les quantité de nourriture qui changeaient et qui pouvait avaler proportionnellement à la taille de son corps. Il la dévorait du regard, les mains sur ses hanches et se rapprochait d’elle. Il sentait ses jambes autour de lui, assise sur le puit. Ses envies se faisaient plus grandes et passionnée. Il n’avait même pas de crainte que cette femme devinait trop facilement sa nature. Il devrait faire attention pourtant, sachant à quel point les fée pouvaient être convoitée pour x raisons et il était de nature méfiante. Les femmes trop attirantes, il devrait tout aussi être prudent, car c’était les pires. Mais… Il restait une âme avec des envies, des faiblesses et des émotions. Il était si emporté que d’être proche d’elle lui donnait des ailes et se sentait invulnérable. Il était obsédé que par une chose : avoir ses faveurs.

Adonis tenta alors de lui faire deviner ce qu’elle pouvait bien être. Il avait fini par se poser la question, subjugué par ces toutes nouvelles sensations qu’elle provoquait en lui et qu’elle ressentait aussi. Il n’en savait rien. Tant de possibilité. Il retirait l’idée de l’animal simple. C’était plus complexe, donc une créature ou une élémentaire. Il n’en savait rien. En tout cas, ce qui les faisaient pétiller comme les bulles d’un bon millésime, c’était une aura magique. Il se moquait pour l’instant de savoir, il préférait en profiter encore un petit peu avant qu’il ne soit trop tard. On aurait bien tous le temps de parler… Ça pouvait attendre… Même si au fond, j’aimerai savoir… Il se penchait lentement, remontant ses mains en haut de ses cuisses pour venir lui embrasser le cou, de plus en plus suave. Il aurait été prêt à le faire en plein milieu de la clairière, sur ce puit. Il n’avait pas réellement de pudeur et l’habitude d’avoir une compagne qui ne s’encombrait rarement des endroits pour le faire. Quand une sirène veux, elle le fait… C’est comme ça et soit tu subits, soit tu cours mais quand elle t’attrape… Aïe… Après, je dis pas que ça ne me plait pas. Au contraire. Il remontait une main le long de son dos pour venir la ramener toujours plus contre lui, quand la voix de glace d’Adonis susurra à son oreille.

Charles se redressa alors qu’Adonis se détachait de lui, son regard penaud et un rictus déçu. Il voulait jouer et avait essayé d’agacer sa curiosité, en échange de quelques bons moments passé ensemble. Un détail qu’il n’avait pas prévu, c’est qu’elle pouvait très bien se débrouiller sans son accord. Forcément, il ne savait pas ce qu’elle était et même s’il le savait il n’aurait pas pu connaitre toutes les capacités de sa belle du jour. Adonis avançait qu’elle n’avait qu’à entrer dans son esprit et venir soutirer l’information sur son identité. Le féetaud fronça les sourcils un moment, agacé. Ce n’était pas du jeu, mais il était aussi un tricheur. Si finalement c’était du jeu, et il y avait du niveau. J’aimais bien ça. J’espère qu’elle gagnera pas trop vite. Laisse moi le temps de jouer moi aussi, s’il te plait… « Hm, je pensais que t’étais plus forte et maligne que ça… Rentrer dans ma tête et venir voir. C’est un peu facile non ? Puis peut-être que tu bluffes en plus. » s’avançait-il, pas très convaincu lui-même, se posant les mains sur la tête pour réflexe, pensant que ça pouvait arrêter les pouvoirs d’Adonis.

Et tout ce qui avait chauffé son corps et son esprit venaient de s’essouffler rien qu’au regard de la brune. Elle avait un de ces talents pour ça, c’était fou. Le visage de Charles s’était fermé. Il n’aimait pas qu’on lui refusait quelque chose, ou tout simplement de ne pas obtenir ce qu’il voulait. C’était connu qu’il était capricieux, impatient et souvent mauvais. Il l’aurait bien laissé échapper un nom d’oiseau sous la frustration, mais il préféra serrer les dents en lui lançant un regard noir. Le regard noir d’un enfant. Elle le refusait de but en blanc et elle n’était pas douce dans ses paroles. D’un main, elle le repoussa plus loin et Charles se laissa faire, sans bouger. Non pas qu’il coopérait, mais il avait peur que s’il libérait son corps du contrôle qu’il s’imposait, il la giflait et … risquait de la pousser contre ce puit et insister beaucoup plus. Adonis fit le tour du puit, et le blond la suivait du regard sans avoir bouger d’un poil. Il attendait que sa colère s’estompe et qu’il n’y avait plus de risque de réaction trop impulsive.

Il finit par souffler et on sentit son corps se relâcher. Il jeta un regard à ses chiens. « Je te ferais dire que t’es pas mieux placée pour me reprocher de vouloir prendre le bras alors que tu me tends la main. On n’est tous ainsi. La quête du bonheur que ça s’appelle. Tu attends un objectif, c’est cool. Bah maintenant, qu’est-ce qui serait mieux pour compenser ce plaisir atteint. Faut qu’il soit plus grand, n’est-ce pas. Le plaisir dans l’amour c’est de monter les escaliers qu’il disait Casanova. Puis… Genre tu sais pas que je suis filou. J’en voudrais toujours plus » lui confiait-il ses réflexions un sourire carnassier. « Mais bon… Okay ! Tu ne veux pas, je te dégoute… C’est ce que tu dis, mais tu me la fera pas à moi. Rien qu’à ta façon de bouger ton corps et de respirer, je sais que t’as aimé et tu sais pas… Tu sais pas ce que tu rates. Soit ! Tant pis pour toi. ». Il haussa les épaules et fit une pause avec un petit sourire désolé pour elle. Il se tapota alors le bouche de l’index et croisa les bras. Il eut une idée. « On va faire un jeu. Je te lâche… Je vais tenter de réfléchir et deviner ce que t’es. Si je trouve, j’ai le droit à un autre baiser. Ah… C’est non-négociable. Si je trouve, un baiser. Je ne te lâcherais pas aussi facilement. ». Un clin d’oeil, un baiser dans sa main qu’il lui souffla et il siffla. Les trois huskies arrivèrent et suivirent leur maitre qui s’éloigna alors sous le couvert, laissant Adonis à ses occupations.

acidbrain
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Message# Sujet: Re: « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot)   « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot) - Page 2 Icon_minitime1Sam 23 Sep - 11:04


blurred lines - Robin Thicke

Comment est-ce que ça avait pu déraper autant entre Charles et moi ? C’était la grande question. Le pire c’était qu’il ne m’intéressait pas le moins du monde, il était trop blond. Trop lisse et parfait pour faire naitre en moi le moindre désir, pourtant lorsque mes lèvres avaient touché les siennes c’était un feu d’artifice qui s’était produit dans mon être. Comment comprendre cela ? Comment analyser ces sensations ? J’en savais foutre rien, mais je ne comptais pas perdre trop de temps à répondre à ses questions. J’avais d’autres missions à accomplir. Je devais rester concentrer sur ses dernières pour trouver une vie digne de celle que la grande maléfique pouvait avoir. Mais avant d’arriver à cela je devais faire fuir cet homme, et pour se faire quoi de mieux que de lui faire comprendre que je pouvais lui faire plus de mal que ce qu’il pouvait me faire, en commençant que par découvrir quel être magique il était. Entrer dans son esprit serait tellement simple. Trop simple, trop ennuyant d’ailleurs, j’aimais quand mes victimes me résistait, lui n’apporterait pas le moindre résistance et je le savais, c’était ce qui m’apportait le plus de réticence à le faire. En son sens je bluffais, moi buffler ? Riant à sa remarque avant de lui murmurer :

« Il n’y a qu’une seule personne qui peux savoir cela et c’est moi »

J’adorais être capable d’instaurer le doute dans l’esprit de mes victimes. C’était plus simple. C’était plus marrant à voir lorsqu’elles s’apercevaient que toutes leurs petites suppositions étaient avortées. Pour l’heure, je devais le laisser réfléchir. Je devais le laisser croire qu’il pouvait avoir une quelconque emprise sur moi. J’écoutais donc sa théorie sur les hommes et la quête du bonheur. Je ne pouvais pas lui enlever cela. Il avait raison, l’espèce humaine était faite ainsi. Mais je n’étais pas humaine. Je ne l’avais jamais été. Une fois de plus il se vantait d’autre un amant exceptionnelle et je ne pouvais m’empêcher de penser qu’il ne pouvait pas être meilleur qu’Arthur, mais je ne disais rien. Je savais que mon union charnel avec Arthur était contre nature, il était mon demi-frère, dans notre monde ses choses se faisaient, mais dans celui là rien, rien de tout cela ne pouvait être accepté. Laissant un léger sourire sur mes lèvres en guise de réponse j’attendais qu’il termine son laïus pour se congédier. C’était un bavard. Il avait besoin de parler et son orgueil avait besoin ‘avoir le dernier mot, grand bien lui fasse, songeais-je en écoutant ses dernières paroles. Un jeu. C’était ce qu’il me proposait, il devinerait ce que j’étais et s’il trouvait il aurait droit à un baiser. Aucune chance qu’il ne trouve, pensais-je en riant avant de laisser un sourire amusée illuminer mon visage.

«  D’accord, bonne chance alors »

Lançais-je, en le laissant baiser ma main avant qu’il ne ramasse ses chiens pour s’enfuir. Faisant naitre un bouclier magique autour du puit pour empêcher quiconque de me voir ou de venir me perturber je me retournais vers le puits que je transformais en miroir.

«  Alors dit moi tout mon mignon, montre moi Arthur Pendragon ! Je veux savoir où il est et ce qu’il fait par la suite tu me montrera cette garce de Morgause et la niaise Aurore ! »

Les paysage de notre monde défilèrent sous mes yeux, avant que le visage de mon demi-frère et sa femme paisiblement endormi ne me parvienne. J’allais pouvoir commencer !
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Message# Sujet: Re: « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot)   « Et le vent s’est levé, au moment de s’y croire » (adonis&liot) - Page 2 Icon_minitime1

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