- Freya Nightmare - Katelyn Dunkey - James P. Esquire -
On ne vous a jamais dit de regarder où vous marchiez ? Non, ben maintenant vous allez retenir la leçon car en traversant cette arche dans la forêt de la ville vous voilà transporter à plusieurs centaines de kilomètre dans le pays de la soie. La porte par laquelle vous êtes arrivée a disparu mais n'ayez crainte une autre se trouve un peu plus loin il vous suffit de la trouver, mais prenez garde aux briguants...
Règles : - Toutes les règles relatives aux Rps restent les mêmes. - Si vous avez besoin d'un peu de relance ou de l'intervention du MJ vous pouvez envoyer un MP à Juliette White-Queen - Vous pouvez lancer les dés autant que vous voulez mais contrairement aux intrigues c'est vous qui choisissez le resultat.
Freya Nightmare, Katelyn Dunkey, James P. Esquire.
Freya faisait sa ballade habituelle dans la forêt, en humaine cette fois-ci. Elle marchait, en quête d’animaux égarés, blessés, ou quelque autre problème dans la forêt. Cependant, elle était silencieuse : bizarre, étant donné le fait que la forêt avait toujours un petit fond de bruit, des insectes, des bruits de pas, des craquements d’arbres. Un bruit de forêt quoi. Mais aujourd’hui, tout était silencieux, s’en était même pesant. La reine rouge savait que quelque-chose n’allait pas, mais elle était loin de se douter du fait qu’elle allait se retrouver à des dizaines de milliers de lieues d’ici.
En effet, en marchant dans un endroit bizarrement plat, sans terre, ni mousse ou autre, Freya eut l’horreur de tomber dans un trou, un trou ! En pleine forêt. Cette ville était vraiment bizarre. Elle se retrouva alors dans un désert aride : une chose était sûre, elle n’était pas à Storybrooke. Elle enleva alors son gilet, la chaleur environnante étant insupportable. Elle inspecta les alentours : c’était un vrai désert. Il y en avait un aussi au Wonderland, sauf qu’à la place du sable c’était du verre pur, alors lorsqu’il y avait du vent, aucune chance de s’en sortir : le verre traverse la peau et déchire toutes les parties du corps, la seule chance possible était d’en sortir vivant, paralysé et toussant du verre jusqu’à la fin de sa vie. Par réflexe, Freya toucha le sable :
« Ouf… Nous ne sommes pas au Wonderland chérie, c’est déjà une bonne chose. »
Même si Freya voulait retourner au pays des merveilles, se retrouver en plein milieu du désert, ce n’était pas une excellente idée. Elle se releva alors et inspecta les alentours, derrière elle se trouvait deux personnes, le sang de Freya ne fit qu’un tour, et elle sortit les griffes et pointa les dents, ses yeux se changeant en couleur rouge, elle dit, froidement :
Freya & James & Katelyn Toto, je crois qu'on est plus au Texas!
D
epuis quand étais je en route ? Des jours ? Des semaines ? Des mois ? J'allais de village en village, souvent repoussée, moquée, pour mon apparence et mon odeur. Mais qu'y pouvais je ? La peau de l'âne sentais l'âne en effet, les jours de marches sans possibilité de prendre un bain n'aidaient pas forcément à garder une odeur de jasmin et de lilas. De princesse j'étais passé à souillon, mendiante, vagabonde ! Mes pieds nus étaient blessés et abîmé. J'avais eu des sabots que l'on m'avait volé par méchanceté. Des enfants m'avaient jetés des pierre et je les avaient perdu. Mais qu'avais je donc fait pour subir telle injustice ? Attiré l'amour de mon père ? Est on responsable de l'amour que l'on suscite ? De la folie d'un homme qui cherche à prendre sa fille en épousailles, oubliant que cela ne pourra offrir qu'une progéniture altérée, rendu folle, malade par le sang lié. J'avais fuis par la forêt, me perdant entre les arbres, me cachant au creux de l'un d'eux pour dormir, mangeant des baies et des noisettes trouvaient dans les arbres. J'étais bien peu apte à chasser ou a pêcher. Voyez vous, le problème lorsque l'on est éduquée comme une princesse, c'est qu'on n'apprend pas à faire ce genre de choses. Alors je survis avec le peu que l'on me donne. Je prie pour que la pitié et la gentillesse humaine me garde en vie. J'implore parfois les fées de me venir en aide. Je sais que là bas, au delà de cette foret et des collines environnantes, un royaume s'élève ou je pourrais me cacher et tenter de reprendre vie, de ne plus être qu'une vagabonde.
Cet espoir un peu fou m'aider à marcher, malgré mes pieds endoloris et mes jambes mal assurée ? Je passais bien plus de temps à les regarder qu'autre chose d'ailleurs et puis, il y a eu ce malaise, cette sensation de flottement, de vide, le monde m'a semblé flou, tourbillonnant un instant, puis mes pieds se sont trouvés là, dans ce sable brûlant, la chaleur était monté de bien des degrés. Je relevais les yeux, observant autour de moi pour ne voir qu'une large étendue de sable. Comment étais je arrivée ici ? N'étais je pas dans la foret il y a un instant ? Étais ce un rêve éveillé ?
Je me trouvais accompagnée de deux personnes qui m'étais inconnue, dont une femme qui semblait tout aussi surprise que moi de se retrouver en ce lieu, me faisant sursauter et reculer de quelques pas à sa question.
« Je...je ne suis qu'une pauvre mendiante, ma dame...on..on me nomme Peau d'Âne... »