Il demeure obligatoire. Cependant, si vous n'avez pas rp pour le mois en cours il vous est possible de recenser une absence.
Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
Il est désormais terminé. Rendez-vous par ici pour découvrir les résultats et récompenses
Durnik était en train de parler au téléphone tandis que de mon côté j’essayais de comprendre tout ce qu’il m’avait appris. Ça faisait beaucoup. Je commençais même à fatiguer. Assise en tailleur sur le lit de ma chambre je regardais les objets qui m’entouraient, je ne connaissais qu’une toute petite partie d’entre eux. C’était tellement déconcertant. Ce monde était tellement déconcertant et l’air marin commençait à me manquer. C’était donc ça la malédiction des pirates ? Privés de l’océan ils étaient perdus ? Face à ce questionnement, je me demandais ce que faisait Anne en ce moment ? Est-ce que je lui manquais autant qu’elle me manquait ? Était-elle avec Killian ? J’espérais qu’elle soit en sécurité, loin de cette sorcière des glaces. Cette mégère j’en aurais bien fait des sashimis, mais elle était trop puissante. Je regrettais qu’Anne n’ait pas suivi cette blonde qui portait le même nom qu’elle et qu’elle prenait pour sa sœur, peut-être que tout aurait été plus simple si elle avait été là. J’aurais sans doute plus apprécié l’étrangeté de ces terres.
Le bruit de la sonnette sonna et je sursautais. Passant devant le bureau je voyais Durnik au téléphone et je lui faisais signe que j’allais ouvrir. Ce dernier hocha la tête et je vérifiais que mon poignard était toujours dissimulé dans l’élastique de mon jogging. Ma main libre jouant avec ma tresse rousse je déverrouillais la porte te l’ouvrit pour laisser apparaitre un homme de mon passé. Mon souffle se coupa l’espace d’un instant tandis que mon cœur s’agitait dans ma poitrine. Automatiquement, je sentais ma main saisir le manche de mon poignard. Dracula. Mon esprit me forçait à revoir encore et encore des épisodes de ma vie que je pensais mort.
« Vous ? Qu’est-ce que vous faites là ? »
J’essayais de rester calme. J’étais censée être morte. Il m’avait tué. Est-ce le fait d’avoir parcourus l’histoire de sa vie quelques heures auparavant qui l’avait poussé à venir ? Non. Non Dracula n’avait pas cette capacité. J’essayais de me maintenir au calme. Mon visage ne transperçait aucune émotion, mais mon esprit lui bouillonnait. Il n’avait pas changé d’un iota. Je ressentais encore son magnétisme. Les sensations, l’attirance que j’avais eu pour lui et qui m’avait poussé à trahir mon fiancé, tout était indemne, pour mon plus grand dégout. Mon regard se posant sur la valise qu’il transportait je demandais ;
J'avais été appelé par un homme qui avait visiblement besoin de points de suture. J'avais été courtois au téléphone mais j'avais surtout levé beaucoup les yeux au ciel le temps de cette conversation. Cet homme avait visiblement pris un mauvais coup mais il allait assez bien pour me parler. Enfin j'avais quand même accepté d'aller le voir malgré les regards désapprobateur de Zelena. Elle aurait préféré que je reste chez elle mais bon il fallait bien que j'arrive à me faire une petite place dans cette ville du coup je n'avais pas pu refuser. Même si ma rousse avait boudé, j'avais pris ma trousse de médecin et je m'étais rendu à l'adresse que m'avait donné cette homme. Je ne m'attendais pas du tout à retrouver une autre rousse qui avait partagé une partie de ma vie mais surtout ma couche.
« Miss Westenra... Quel plaisir... »
Je souriais en coin. Elle semblait surprise et j'aimais le pouvoir que j'avais sur elle. Elle me demanda ce que je faisais ici.
« Et bien il s'agit de ma trousse de médecin. Monsieur De Sendarie m'attend pour des points de suture visiblement. »
Je plongeais mon regard dans le sien et j'entendais la voix de Hyde en ma tête jubiler. Il avait envie de reprendre le dessus mais ce n'était pas à l'ordre du jour. Je voulais contrôler la situation de a à z.
« C'est plaisant de constater que tu n'es pas morte... »
Je souriais en coin. Je connaissais toute l'histoire de mon double et je savais très bien qu'elle avait été un jouet pour lui enfin pour nous et qu'on avait fait en sorte de la tuer. Du moins on pensait avoir réussi à faire cela mais ce n'était visiblement pas le cas. Je ne voulais pas me montrer désobligeant mais j'avais quand même un patient à m'occuper.
« Excuse moi mais j'ai un patient à m'occuper. »
Je souriais en coin mauvais avant de lui passer devant pour m'introduire une nouvelle fois dans sa vie. Bien sur cette fois-ci je me fichais qu'elle finisse dans mon lit mais j'avouais que j'aimais bien quand même garder un œil sur mes proies qu'elles soient anciennes ou non. Une fois dans la maison je tournais mon visage vers elle. Je savais que je pouvais encore avoir du pouvoir sur elle.
« Alors ? Où se trouve mon patient ? »
Je me tournais vers elle et je croisais mes bras sur mon torse en lui souriant et en posant mon regard clair perçant sur elle. Je m'amusais à essayer de la déstabiliser. J'étais comme un gosse à qui on avait offert un super jouet et qui n'attendait qu'à s'amuser avec.
Sa voix me faisait frissonner d’effroi et de peur. Désormais quand je le regardais je n’avais plus du tout envie de coucher avec lui d’être sienne. Non, maintenant cet homme m’inspirait que du dégout et de la peur. Il m’avait tué sans la moindre hésitation. Il m’avait fait l’amour et m’avait vidé de mon sang. Ce n’était pas tellement une façon de faire. C’était même carrément déplacé et mesquin de faire une chose pareille.
« Plaisir non partagé »
Lâchais-je en serrant ma dague dans ma main sans pour autant le lâcher des yeux. Je savais qu’elle ne me serait d’aucune utilité contre lui. Il était immortel c’était en tout cas ce qu’il y avait de marqué dans son ouvrage qui avait été écrit en son honneur. Même si je ne devais pas prendre pour acquis tout ce qui était écrit je savais que c’était vrai. Tout s’expliquait. Il ne pouvait pas mourir parce qu’il était déjà mort, c’était la malédiction du vampire. Pour tenter de penser à autre chose que mon angoisse grandissante je lui demandais ce qu’il transportait et la raison pour laquelle il était là. J’étais bien loin de me douter que c’était le fameux médecin qui devait recoudre mes bêtises. Aussi quand j’entendais ses mots sortir de sa bouche perfide j’ouvrais de grand yeux surpris avant d’être horrifié à l’idée que c’était à cause de moi qu’il était venu.
« Ce qui n’est pas grâce à toi ! »
Lâchais-je acide en oubliant même le vouvoiement, on s’était vu nu mutuellement il n’avait plus lieu d’être. Je reculais quand il força le passage. Il n’allait pas tarder à découvrir que j’étais un phénix. Peut-être qu’il ne ferait pas le raccord ce soir, mais il finirait par le faire, Dracula était un monstre mais il était intelligent.
« Depuis quand est-ce que tu soignes les gens qui en ont besoin ? Tu ne sais que voler ce qui n’est pas à toi ! »
Déclarais-je d’une voix faible en gardant une distance de sécurité entre lui et moi. Je ne voulais pas être trop proche de lui. La peur, le dégout, ou cette part de moi qui avait toujours eu du mal à accepter qu’il fût l’unique homme pendant toutes ses années qui avait su me donner autant de plaisir au lit. Mon esprit était tiraillé par de milliers d’émotions toutes contradictoire, des émotions qui allaient de pair avec ses souvenirs de la faible et vulnérable Lucy Westenra, cette femme qui n’était jamais vraiment morte.
« Arrête de me regarder comme si j’étais ton jouer Dracula »
Ajoutais-je en serrant encore plus la dague dans ma main en la gardant toujours dissimuler dans la ceinture du jogging de Durnik, dans le creux de mes reins.
Lucy n'était pas heureuse de me voir. Ce que je pouvais totalement comprendre. Notre vie passée à deux avait été plutôt tumultueuse. J'avais aimé Lucy comme j'avais pu aimer Elizabeth mais je n'étais pas destinée à vivre heureux. Voilà pourquoi je comprenais que ma belle rousse puisse beaucoup trop m'en vouloir pour m'accueillir les bras ouverts. En même temps si elle avait été gentille ça n'aurait pas été Ma Lucy.
« Quel dommage... Pourtant nous avons passé pas mal de... bon temps tous les deux non ? »
Je souriais en coin. Je me souvenais de chacune de nos rencontres avec tous les détails. Je me souvenais de ses sourires, de son regard, du grain de sa peau, de son souffle dans mon cou. Je l'informais des raisons de ma présence ici. Je devais soigner un homme du nom de Durnik De Sendarie, ce qui était pompeux comme non au final. C'était tout. Après je pouvais bien prendre quelques minutes de mon temps pour embêter un peu ma douce et délicate Lucy...
« Et qu'ai-je volé très chère ? J'ai hâte de le savoir. »
Je n'avais jamais rien volé.... Bon quelques vies par ci par là mais ce n'était pas que ma faute. La nature humaine est mauvaise et il n'y a plus rien à attendre d'elle. Elle me redemanda pourquoi je soignais les gens. Bah c'était comme ça je ne mettais jamais demandé pourquoi au final je soignais les gens.
« Je soigne les gens parce que je suis un médecin. Tu sais tout le monde peut changer de carrière... Et puis être roi c'est tellement surfait de nos jours. »
Oui c'était surfait. Qui voudrait d'un royaume ? Surement pas moi. J'avais assez donné avec ces histoires à la con. Maintenant j'aspirais à une vie tranquille calme et sans problème.
« Tout d'abord très chère, j'attends une réponse à ma question. Où se trouve mon patient ? Quant à te regarder... »
Je lui lançais un regard éloquent. Le monstre en moi était soulagé de la voir en vie. Elle semblait vraiment en bonne santé et un sentiment de culpabilité s'envola du côté de Hyde. Je savais ce qu'il avait fait à Lucy et je savais qu'il n'avait au fond jamais voulu tout cela. C'était pour quoi je me sentais quand même heureux pour une fois qu'il puisse avoir un peu d'apaisement.
« Je me rappelle juste chacune des courbes de ton corps si... appétissant. »
Je lui faisais un clin d'oeil avant de me mettre en marche dans le couloir lui tournant le dos. De toutes les façons Lucy m'aimait toujours donc elle ne me ferait pas de mal. J'en étais persuadé alors pourquoi devrais-je me tenir sur mes gardes après tout ?
A cause des mots qu’il prononçait mon esprit me renvoyait des images de nos moment passés ensemble. Des papillons que je pensais mort naissant dans le creux de mon ventre et je les réprimais. Il n’avait pas le droit de me faire ça. Il n’avait pas le droit de revenir et de me regarder comme il me regardait. Il n’avait pas le droit de parler des moments charnels qu’on avait passé ensemble, ni même de ceux où on avait seulement conversé. Sa Lucy était morte. Je prenais une profonde inspiration avant de décréter consciente que mes mots allaient blesser sa fierté :
« Une succession d’erreur purement et simplement »
Et surtout les plus beaux jours de mon existence. C’était pour ça que je le haïssais autant. Il m’avait volé mon cœur. J’aurais tout fait pour lui et il m’avait trahi. Et maintenant il joutait les sauveurs ? La bonne blague ! Ce n’était qu’un voleur et un imposteur.
« Tu sais très bien ce que tu m’as volé ! Tu m’as tout pris. »
Il m’avait tout pris et uniquement pour jouer à son jeu perfide : attirer l’attention de Mina et la subtiliser aux bras d’Harker. Voilà ce qu’il avait en tête depuis le début, rien de plus, rien de moins. Secouant la tête avec un air dégouté sur le visage je me mordais la langue.
« Il est au téléphone ! »
Répondais-je le plus simplement du monde avant qu’il ne me passe devant comme si de rien n’était et qu’il prononce la phrase qui me fit vriller littéralement. Des larmes aux yeux je dégainais mon poignard et le rattrapais en deux foulées avant de le plaquer contre le mur pour placer son arme sur sa trachée. L’espace d’un cours instant j’eus envie de l’embrasser d’ailleurs mon visage s’était dangereusement approché du sien, mes lèvres à quelques centimètres des siennes avant que je ne reprenne le contrôle de la situation en me rappelant ce qu’il m’avait fait. Malgré tout je me retrouvais incapable de me reculer aussi je murmurais pour éviter que Durnik nous entende :
« Ne parle plus de mon corps ! T’as perdu ce droit le jour où tu m’as vidé de mon sang ! Je te déteste Vlad purement et simplement. Je maudis le jour où nos chemins se sont croisés, mais j’espère que toi tu t’es bien amusé. »
C’était vrai j’espérais qu’il avait bien pris son pied à faire de moi son pion dans son échiquier géant, parce qu’en mon sens ce jeu avait été le plus douloureux de tous. Je ne pouvais pas nier je l'aimais encore. Je l'aimais autant que je pouvais le détester.
Elle me mettait en colère et pourtant elle devrait savoir que ce n’était pas une bonne chose. J’étais en colère après elle. Elle venait de me mettre à mal. Elle était en vie alors que je l’avais toujours pensé morte de mes mains. Elle se tenait devant moi et je ne savais pas comment calmer la bête en moi qui ne demandait qu’à reprendre le dessus. J’étais moi aussi en colère et je ne savais pas vraiment pourquoi. Je savais que je l’avais vidé de son sang. Mais était-ce parce qu’elle m’accusait de l’avoir tué de sang froid que j’étais si en colère ?
« Je ne t’ai pas tout pris vu que tu es encore en vie. »
J’avais sifflé cette phrase à la place de Hyde parce que je lui en voulais moi aussi. C’était à cause d’elle que j’étais comme cela entre le bien et le mal, entre la noirceur et la blancheur, entre la vie et la mort. J’aurai pu mourir pour elle mais elle s’en fichait elle ne faisait que m’accuser. Je sentais mes poings se serraient sous la colère pure et simple.
« Je ne t’ai pas vidé de ton sang ! »
J’avais de nouveau siffler cette phrase. J’avais quand même quelques règles de bien séance surtout quand je n’étais pas dans ma demeure. J’étais chez Lucy et cet homme qui avait pris ma place dans le coeur de la jolie rousse. Nous allions le tuer. Nous ne voulions que le tuer en fait. Cette idée était le plus en présente dans ma tête à mesure que j’imaginais toutes les choses qu’il lui faisait et que je ne pouvais plus lui faire.
« J’ai voulu te sauver ! Te transformer, te garder avec moi ! Mais non toi tu es morte et j’ai tout perdu ce jour là ! Tout ! Je t’aimais et tu m’as abandonné ! »
Je sentais la colère se faire trop présente, trop oppressante. Je devais fuir avant de faire quelque chose que je regretterais. Je venais de lui balancer mes quatre vérités. Je tournais les talons et je sortais rapidement de la demeure. Je me sentais étouffer. J’avais envie d’étrangler quelqu’un mais je ne devais pas laisser encore de cadavre en ville.
« Je repasserai plus tard voir mon patient. »
Je claquais la porte et je pris une longue inspiration. Elle ne devait pas me suivre. Je devenais incontrôlable. Je le sentais. Cette soif de sang. Je ne l’avais plus ressenti depuis que j’étais devenu Jekyll. Elle avait réveillé quelque chose en moi, quelque chose de mal.
Je voyais la colère brillait dans ses grands yeux bleus et je savais que je jouais avec le feu mais j’étais incapable de m’arrêter. J’avais mal. J’étais perdue entre des sentiments amoureux que je croyais éteins et que je détestais, et la profonde rancune qu’il m’ait abandonnée et tué alors que j’aurais tout donné pour lui. En tout temps j’avais été une femme impulsive et sanguine, je répondais à mes pulsions et à mon instinct et en cet instant balancer ma haine et ma méchanceté à la figure du seul homme que j’avais aimé me semblait être l’unique chose à faire. Ce dernier osait même souligner le fait que j’étais encore en vie et ça eu comme effet d’accentuer ma colère encore plus. Ça l’aurait tué d’éprouver un brin de remord ? Je le détestais. Je le détestais pour tout ce qu’il représentait. Je le détestais encore plus quand je sentais la douleur serrer mon cœur face à ce constat et son manque de compassion. Connaissait-il au moins la souffrance que j’avais ressenti pendant ma première résurrection ? En avait-il quelque chose à faire ? Je retenais mes larmes en me raccrochant de toute mes forces à mon orgueil et mes talents d’actrice, mais quand il me fit reculer pour me dire, qu’il avait voulu me sauver et que je l’avais abandonné alors qu’il m’aimait je laissais tomber mon poignard à terre.
« Tu mens »
C’était la seule chose que j’avais pu murmurer. Mes souvenirs de cette soirée était clair il m’avait tué et les avait laisser m’enterrer alors que mon processus de résurrection était en train de battre à plein régime.
« Si tu m’aimais tu ne les aurais pas laissé m’enterrer »
Décrétais-je à voix basse alors que ce dernier m’annonçait qu’il reviendrait voir son patient plus tard. Traduction il reviendrait quand il serait calmé. L’espace d’un instant je ne pensais pas qu’il partirait en me laissant interdite au beau milieu du couloir mais c’est ce qu’il a fait. Ce n’est qu’en entendant la porte claquer, que je m’élançais vers lui pour le rattraper. Je n’en avais pas fini. Alors que j’ouvrais la porte, je sentais un froid glacial prendre possession de mon corps et entendant les voix de mes ancêtres qui m’ordonnait d’arrêter. Celle que ma mère les surplomber de quelques décibels :
« Ne l’écoute pas, il ment il t’a tué Lucy, il en déclenché tes pouvoirs tout ce que tu détestes c’est à cause de lui »
Les larmes ruisselantes sur mes joues, je tentais de lutter contre l’état de pétrification dans lesquels les esprits des sorciers de Salem m’avaient infligé et je m’effondrais à terre en un cri de frustration.
« Lâchez-moi !!! »
J’essayais de les faire partir, j’essayais de rompre l’emprise qu’ils avaient sur moi. Je mettais toute mon énergie là-dedans, du sang s’écoula sur mes lèvres et je comprenais que je saignais du nez abondamment, si j’en jugeais la tache de sang qui commençait à teindre le carrelage du couloir.
« Non pas tant que tu n’auras pas compris »
Déclara ma mère d’une voix dure avant que je ne cris une nouvelle fois et que je perde connaissance tandis que mes ancêtres dans leur extrême bonté m’obligeaient à revivre ma première mort, afin que je comprenne la leçon.
Accueil
Dim 20 Mai - 13:39
