| # Sujet: I guess the loneliness came knocking - Durnik & Lucy Sam 2 Fév - 23:07 | |
| I guess the loneliness came knocking Lucy Westenra & Durnik de Sendarie & Henry Mills
Le soleil brûlant qui disparaît à présent a fait fondre les dernières traces de la neige d’été aperçue ce matin, le phénomène à peine relevé par Henry après les événements successifs de cette journée mouvementée. Il a besoin de réfléchir, de comprendre, car tout va trop vite ces derniers temps : la ténébreuse, la neige, la disparition du Père Noël, le voyage, Frollo. Curieusement le nouveau maire n’a pas paru surpris de le voir, pas plus qu’il n’a tenté quelque action à son encontre mais, après tout, aurait-il pu faire quoi que ce soit en présence de gardiens de l’enfance ? Ils avaient d’autres préoccupations alors mais l’adolescent ne doute pas que le juge tentera de le retrouver dès lors qu’il aura repris ses esprit.
C’est pour cette raison qu’il se dirige sans hésiter vers la maison de Durnik, chez qui il rechignait pourtant à se réfugier encore hier, ne voulant pas imposer sa présence à son psychologue alors qu’il était protégé par le bouclier magique d’Emma. La solitude lui pèse pourtant, mais est-ce une excuse suffisante alors qu’il a lui-même choisi son exil ? Il frappe quelques coups à sa porte, découvrant sa capuche pour que l’homme puisse le reconnaître facilement.
Durnik ? C’est Henry !
Il prend garde de ne pas trop crier, mouvant sa tête de droite à gauche pour s’assurer qu’il est bien seul dans la rue, ne désirant pas alerter plus d’habitants que nécessaire de sa présence, le dirigeant de la ville comptant déjà pour un de trop.
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| # Sujet: Re: I guess the loneliness came knocking - Durnik & Lucy Dim 3 Fév - 14:40 | |
| I guess the loneliness came knocking Lucy Westenra & Durnik de Sendarie & Henry Mills
Encore une journée que j’allais passer à essayer de contacter l’esprit de cette reine qui avait brisé le cœur de deux hommes en moins d’une seconde. Juliette White-Queen n’était plus qu’une enveloppe charnelle qui était dépourvue d’âme. Ou du moins son esprit était quelque part entre deux mondes où je n’arrivais pas à l’atteindre. J’avais pourtant essayé de toucher à main nu le visage de la demoiselle en vint, ça avait été le néant le plus parfait. Aucun de ses souvenirs passés ne m’avaient envahi, pas la moindre image, pas la moindre émotion. Un acte totalement inédit si bien que j’en étais venue à douter de mes performances. Mais les esprits présents dans l’hôpital m’avaient quant à eux rassuré. Je ne savais pas quoi faire pour aider cette femme. J’étais complètement dépourvue de la moindre solution. Jouer à l’apprentie sorcière ne m’avait jamais amusé. D’ailleurs j’étais particulièrement nulle, ce qui avait le don de me mettre de mauvaise humeur. Entendant une personne frapper à la porte, j’allais ouvrir. Henry ? Durnik ne m’avait pas dit qu’il attendait la venue de quelqu’un. Ouvrant la porte, je regardais l’adolescent avant de le reconnaitre comme étant le fils d’Emma et Regina.
« Bonjour »
Lâchais-je en étant partagée entre l’envie de lui fermer la porte aux nez ou le faire entrer. Je craignais que ce soit un piège d’Emma ou bien de Regina.
« Je peux vous aider ? »
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