“L’imagination est plus importante que le savoir.” A. Einstein
▻ Conte d'origine : Le sien et l’univers de Peter Pan. ▻ Nom du personnage de conte : Griotte est son nom de fée, avant d’avoir été vulgairement rebaptisé Charles. Quelle horreur. Il trouve ce pseudonyme infect. S’il s’appelle Griotte, c’est tout simplement parce que quand il est né, il est arrivé dans un petit buisson de baies sauvages, des griottes. Et en même pas quelques minutes, quand on l’a enfin trouvé, il en avait déjà mangé la moitié et en avait partout sur le visage, si bien qu’il ressemblait à une griotte. ▻ Lieu de naissance : Neverland ▻ Âge : 22 ans ▻ Localisation actuelle : Storybrooke. ▻ Occupation/métier : à SB, il co-dirige un tout petit bui-bui de sushi. ▻ Orientation sexuelle : Il répondrait sûrement par comment ça une orientation sexuelle ? Et ajouterait qu’il n’a jamais fait attention s’il consommait l’amour plus tourné vers le nord ou l’ouest. ▻ Statut matrimonial : c’est compliqué. ▻ Caractère : Tête-brûlée, insolent, idiot, passionné, susceptible, espiègle, mauvais, rieur, hyperactif, insouciant, ardent, séducteur, puérile, jaloux, sportif, coquin, irresponsable, prétentieux, primitif, narcissique, égocentrique, excessif, émerveillé, ... Et vraiment bête. Oui, on sait on l’a déjà dit. ▻ Groupe : Storybrookians ▻ Feat. de l'avatar : Neels Visser
Comment tu vis ?
▻ Que penses-tu de la situation de la contrée dans laquelle tu te trouves ? Il en pense que pour l’instant il y est bien. Il y a vécu des années en sécurité, et au moins il a pas fini dans ce désert blanc qui occupent une grande partie des terres de l’autre-côté. On ne sait pas ce qui aurait pu lui arriver s’il était resté là-bas. Ici au moins, il n’avait pas trop à se plaindre de sa situation. C’est différent, c’est étrange mais c’est vivable et s’il a toujours de la place pour faire ce qu’il veut, tant mieux. Il s’en ira quand il sera temps de fuir et se faire oublier.
▻ En quoi la situation actuelle affecte-t-elle ton existence ? Il en est que peu affecté. Il y a juste un peu trop de gens qui pop-up ici et là, de l’autre-côté ou de ce côté, le réel. Les être humains ici ou là-bas, les fées s’en méfient toujours, peu importe d’où ils viennent. Après, il n’a pas trop peur, il est beaucoup plus malin que les autres (ou presque) mais les je-te-la-fais-à-l’envers c’est plutôt son dada. En fait, il s’en fou, tant qu’on n’atteint pas à la vie de sa belle. Ni à son beau visage. Il reste là où on veut bien de lui. Là où on peut lui offrir des aventures.
▻ As-tu choisi un camp ? Lequel et pourquoi ? Il n’est pour aucun camp et ça depuis sa naissance. Il ne pense bêtement qu’à lui et au mieux ce qui l’entoure ou compose sa bulle, son univers. Il veut simplement survivre. Il ne dit pas plus tard, si au pied du mur il devait faire un choix, bah il le ferait. Lequel ? Ça, lui-même ne pourrait vous le dire. Ce serait un choix fait à un moment t, tel endroit avec tel environnement et humeur du moment.
▻ Est-ce que tu sais utiliser la magie ? Si oui, quels sont ses pouvoirs ? Sait-il les utiliser ? Que pense-t-il de la magie ? Si non, que pense-t-il de la magie ? Il sait utiliser la magie à son niveau, c’est à dire qu’il maitrise ses pouvoirs de fées. Cela commence par son affinité pour les animaux ou créatures plus ou moins primaires. Il les comprends et se fait comprendre par eux. C’est une question de ressenti. Il lit en eux, par ce qu’il dégage ou simplement leur attitude. Il a aussi le pouvoir de les apaiser et les calmer. Comme une continuation de ce don, il a les sens aussi développés qu’un animal. Il a réussi à débloqué en lui, la faculté de prendre une forme humaine. Il n’a plus d’aile, son sixième sens avec les animaux est beaucoup moins fine. Puis, il n’est pas bon pour lui de ne pas reprendre assez souvent sa forme originelle. Il peut voler grâce à la poudre de fée et elle conserve la jeunesse.
Toi derrière l'écran.
▻ Pseudo : Kiwi ou Vael (a) ▻ Code du règlement : Juju est passer par la ▻ A quelle fréquence penses-tu mettre ton nez dans le livre de contes ? Autant que mon esprit le voudra ! ▻ Comment as-tu connu le forum? Qu'en penses-tu? Une idée pour l'améliorer ? On m’a demandé d’y venir entre deux sushi ! J’ai pas tenu longtemps. ▻ Souhaites-tu un parrain/une marraine ? Nop, merci :)
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<a class="imginfo"><a class="imginfo">[color=indianred]✘[/color] NEELS VISSER<span><table border="0" cellpadding="1" cellspacing="1" width="110"><tbody><tr><td align="center"><div class="titre3"> Charles L. Sjörgen</div></td></tr></tbody></table></span></a>
Dernière édition par Charles G. Sjörgen le Jeu 14 Sep - 12:08, édité 19 fois
Heeey une sirène ! _ Non, elle a juste une tête de poisson !
Il était une fois, le premier rire d’un enfant et une fée naquit. Griotte. Rien de particulier, elles naissaient toutes ainsi pour la plus part. Il a grandit sur l’îlee auprès de tous ses confrères et consoeurs, puis la poudre de fée aux grands pouvoirs. Il s’est vite découvert une affinité pour les animaux. Veillant sur l’équilibre de Neverland, les pixies avaient un peu chacune leur rôle, leurs aspirations pour certaines occupations ou responsabilités. Griotte c’était de veiller sur les animaux et autres créatures. Son truc à Griotte, c’était les bêtes bien sûr, mais plus encore c’était d’être un enfant-perdu. Il passait tellement de temps à les regarder, les envier et vouloir vivre lui aussi de grandes aventures avec les pirates et les indiens. Puis Peter Pan… Un jour, il l’avait voulu si fort qu’il fut aussi grand qu’un humain et sans ailes. Les fées en étaient capable, mais n’en avaient pas forcément conscience. C’était difficile d’être autre chose que soit.Griotte, il y était arrivé. Il avait là enfin l’occasion de vivre son rêve et jouer avec les enfants-perdus. Et Peter Pan…
Griotte se baladait tranquillement sur l’île de Neverland. Il marchait avec Newt, un des nombreux enfants perdus de l’île. Il marchait oui, à côté du jeune-homme et à son échelle. Une chose qui n’avait pas l’air de plaire à Peter Pan. Il lui disait toujours que d’être un humain plus qu’une fée, il finirait par y perdre définitivement ses ailes et ce qui faisait de lui un être unique en ce monde. Griotte pensait juste qu’il était jaloux et agacé. Il aimait beaucoup Newt. Ils passaient beaucoup de temps ensemble à explorer l’île et Griotte en profitait pour faire le tour de l’endroit. Histoire de faire un peu le travail pour lequel il est né. C’est alors que Newt l’arrêta brusquement. « Hey mec ! Une sirène ! _Mais non, elle a juste une tête de poisson. » s’exclama la fée en l’enjambant pour continuer son chemin. Newt n’avait pas bougé, regardant la créature allongée en plein milieu du couvert, immobile. « Bah oui… c’est une sirène quoi » dit l’enfant-perdu ce qui arrêta Griotte. « C’est pas normal qu’elle soit là. _Bah non ». Griotte s’était rapproché et l’observa un moment d’un air totalement détaché, alors que Newt essayait de comprendre ce qu’était une fille. La fée l’attrapa subitement et la sirène se débattit avec hargne. Il échappa à ses griffes acérés d’un simple « shhhht » léger et serein. Elle s’était aussitôt calmée et il fit quelques pas. Il la jeta comme un vulgaire rocher dans le petit point d’eau où venait mourir une cascade. Et voilà, on en parlait plus.
Deux jours plus tard, il tournait dans la même coin, histoire de faire une petite patrouille de routine. Elle était encore là cette sirène à la beauté envoutante. Enfin, ce n’était pas ce qui avait sauté aux yeux de Griotte. Il se serait plus émerveillé devant un lapereau. Il volait tranquillement de branche en branche, mais il réussit à capter l’attention de la sirène, accroupis devant un buisson, à farfouiller entre les branches. Elle s’était arrêtée, méfiante, voyant la luciole virevolter autour d’elle. Il se boucha le nez et souffla, la bouche fermée comme pour se gonfler. Soudainement, il apparut à sa taille juste devant elle. La sirène tenta de le gifler et il l’esquiva de peu. Elle s’enfuit et Griotte s’était baissé pour voir ce qu’elle venait de lâcher. C’était un lambeau de mousse de pleine-lune avec sa teinte émeraude. Très rare. Il se posait des questions et reprit sa forme de fée pour la rattraper. Elle plongea dans le point d’eau où il l’avait jeté quelques jours auparavant. Autour de cette cascade était disposé plusieurs petit tas de plantes, d’écorces et de racines. Il y avait même quelques feuilles d’arbres communes. Bourdonnant d’un petit tas à l’autre, reniflant certaines plantes, il en écarta des toxiques d’un coup de pied.
La sirène était sous la surface de l’eau et ne quittait pas des yeux la luciole qui devint de nouveau un jeune-homme. « T’es blessée c’est ça ? Sors de là. Je ne te veux aucun mal. Je suis une fée et t’es à moitié un animal. » et rien. Il soupira et regardait la cascade, puis la surface de l’eau imperturbable, si ce n’est le mouvement que provoquait l’écoulement. « Je vais entrer dans le bassin, s’il te plait ne me fait pas de mal… ». Il entra et elle tourna autour de lui tel un requin. Il n’était pas à l’aise du tout. Il avait peur et elle bondit juste devant lui, entourant ses bras autour de ses épaules. Griotte lui sourit. Il avait finalement réussi par la soigner, en utilisant les bonnes plantes. Une belle coupure à la queue à cause de coraux et la plaie s’était infectée. Ils avaient échangés quelques mots et des sourires puis le charme avait opéré. Ils avaient finis par éprouvé l’un pour l’autre de fort sentiment. Le problème chez une sirène, c’est les sentiments amoureux et chez une fée c’est simplement les émotions qu’elles vivent à l’excès. Leur amour était puissant et toxique, puis parfois dangereux. Incontrôlable. Griotte passait de moins en moins de temps en fée et leurs disputes finissaient par toucher les autres. La sirène s’en était pris à des fées et le jeune-homme était allé une fois jusqu’à se retourner contre les siens. Peter Pan a préféré les arrêter avant que cela ne provoque la zizanie . Une fée et une sirène, jamais. Leur coeur finirait par exploser. C’était l’adéquation la plus instable qui pouvait exister sur cette île.
Alors Peter leur a demandé de partir ou d’arrêter. Ils sont partis. Ils ont erré, vagabondé ici et là pour un jour finir par s’arrêter dans un petit village de la Forêt Enchanté. Il leur avait bâtit une petite maison qui n’a cessé de s’agrandir un petit peu plus au fil du temps avant que cela ne devienne un petit-nid-douillet. De bois, de pierre et de chaume, elle fleurissait de lierre à la belle saison. Proche de la mer, le bois était tout patiné par le sable et le vent plein de sel. Ils ne pensaient pas y rester longtemps, se voyant déjà repartir sur les routes pour trouver un autre petit-nid-douillet, mieux et ailleurs. Ils avaient tant de chose à voir. Mais de prendre un peu de racine ne leur faisait pas de mal non plus. Ils ont vécus grâce à des petits services rendus dans le village, de leur propre production, mais surtout de larcin. Ils étaient doués à ça tout les deux, et en équipe ils étaient de vrais bandits organisés. Enfin, si seulement Griotte pouvait-être moins idiot.
Dernière édition par Charles G. Sjörgen le Jeu 14 Sep - 12:05, édité 8 fois
“La bêtise est infiniment plus fascinante que l'intelligence, infiniment plus profonde. L'intelligence a des limites, la bêtise n'en a pas.”
En pleine après-midi à Storybrooke, dans le tout petit et triste restaurant du nom de Sushi Hou-ha-ha.
La jeune gérante était assise à l’une des six tables de l’échoppe, se maquillant à l’aide de l’écran de son téléphone comme miroir. Charles était derrière le petit comptoir où se trouvait la caisse, le téléphone et d’où ils accueillaient les rares clients. Il jouait avec une paire de baguette tout en faisant son occupation favorite : se plaindre et râler. Son père voulait qu’il trouve un appartement. « Je comprends pas ce qui lui prends. Il dit que ça m’aidera à grandir. Mais j’ai besoin de grandir ? Puis c’est fatiguant non ? Je ne vois pas en quoi quitter la super baraque de mes parents m’aidera tu vois… » et il continuait son flot de parole. La jeune-femme levait les yeux au ciel parfois. « Je lui donne la main, il prend le bras ! Déjà le coup de mon stage à la Mairie… _Ouais enfin ça t’as pas fait de mal » soupira la demoiselle. Cela ne l’arrêta pas. Il reprit de plus belle : « Je t’ai pas demandé ton avis et la question n’est pas là, j’ai un travail maintenant, avec toi. C’quoi la prochaine étape hein ! Me marier… Et je ferais comment pour profiter de mon beau visage et mon corps parfait pour me faire les plus beaux spécimens de ce monde hein ? »
Il lâcha un soupir déchirant et se remit à jongler avec ses baguettes. La patronne soupira encore plus fort que lui et finissait de se mettre son rouge-à-lèvre. Le téléphone se mit à sonner. Charles continuait de jongler avec ses baguettes entre ses doigts. La gérante le dévisagea, dépitée. C’était un sacré phénomène celui-là. Mignon à croquer, riche, mais alors… d’une insolence et d’une bêtises sans nom. Il était le fils unique – malheureusement – d’une famille d’origine suédoise très aisée financièrement. Il avait tout pour lui, mais il faisait rien pour nourrir cette chance que la vie lui avait donné. Après tout sa place comparé aux autres, il ne l’avait eu qu’au hasard. Et le pire dans tout ça c’est qu’il se pensait assez beau pour qu’on lui pardonne tout et que tout lui soit dû.
Ça sonnait toujours. Il ne réagissait pas. Plus de sonnerie et une minute après ça reprenait. Les bras croisés la jeune-femme continuait de le fixer. Il finirait bien par sentir son aura de colère qui commençait à bouillonner en elle. « Charlie… » et le jeune-homme releva la tête avec un sourire si craquant. Or, ça ne marchait plus avec elle. « Le téléphone. _Oui et ? _Bah… il sonne ! Ton travail consiste à répondre quand le téléphone sonne. _Ah oui, j’avais oublié ça ! Sushi Hou-ha-ha-, bonjouuur ! » fit le blond après avoir répondu au téléphone de sa pure voix mécanique de standardiste. La jeune-femme se frappa le visage exaspérée. Elle pensait au pauvre père de Charles qui avait tout fait pour essayer de rendre son fils plus mature, intelligent et responsable. Il avait commencé par le faire travailler. C’était peine perdue. Après, ça faisait aussi son charme.
Et cette journée se répétait sans cesse. Jusqu’au jour où il répondit au téléphone et que le sort fut levé. Il avait lentement reposé le téléphone en fixant la brune assise plus loin sur la table. Elle avait la tête baissée. Son portable était sur la table et le rouge-à-lèvre sur le carrelage du restaurant. Elle leva enfin ses grands yeux de biche vers lui et il bondit de son siège. Il traversa la salle en quelques enjambées. Elle s’était levée de sa chaise et il se jeta sur elle pour lui donner le baiser d’un amour étouffé depuis presque trois longues décennies. Il avait retrouvé sa sirène.
Bien sûr, ils étaient heureux de se retrouver et tout et tout, mais… Tout n’était pas aussi simple. Ils étaient coincés. Après, ils l’avaient assez bien pris. Ils pensaient à partir ailleurs et ils étaient ailleurs. Ils prirent leur mal en patience. Le vrai soucis, c’était que Charlie, enfin Griotte a pris beaucoup de temps avant de pouvoir devenir une fée à nouveau. C’est qu’il est resté longtemps dans sa peau d’homme. Il n’y arrivait plus et une angoisse venait lentement le ronger de l’intérieur et le nécroser comme la gangrène. Il avait perdu ses ailes. Il ne voulait pas y croire. Il ne pouvait s’y résoudre. Il s’était battu chaque jour. Il ne baisserait pas les bras. Or, à bout de force, il a faillit. Une petite période dépressive et agressive, il a recommencé. Et il y était arrivé.
Qu’as-t-il fait une fois en fée ? Oui, il est allé droit sur la deuxième étoile à droite. Il est arrivé sur place et c’était simplement blanc et morne. Tout était figé par la glace, il ne restait rien, ou presque. Une grande partie du monde des contes avait été envahi par une force qui mettait juste de la neige partout. C’était étrange pour l’être un peu primaire que pouvait être Griotte assez souvent. Il était revenu à Storybrooke exténué. C’est que c’était beaucoup plus éprouvant. Il n’avait pas toutes ses forces ni ses capacités. Et encore, il fallait courir chercher la poudre de fée. Il dit tout à sa copine pour le meilleur et pour le pire, mais surtout pour-le-pire. « Donc on y retourne pas ? » et il lui répondit en secouant la tête. « Je peux pas t’y amener de toutes les façons. Du moins pas maintenant. Je suis pas au top et j’ai bouffé trop de fairy-dust. Il me reste pas grand chose.». La sirène baissa la tête pensive et lui fit un petit sourire. « Donc on reste là ? » et Griotte opina du chef avec un petit sourire. Il vint se placer derrière elle pour l’enlacer, la tête dans son cou. « On n’est bien là non ? » et la jeune-femme haussa les épaules. « Tu sais de quoi j’ai envie moi. Vu qu’on est coincé là et qu’on s’emmerde. On pourrait s’amuser comment on le faisait avant… _Tu veux dire embêter le monde et être éternels ? _Hm oui. J’ai envie d’être éternel. _Entrainement ! _Je t’écoute. _A celui qui vole le plus de bonbon chez l’épicier ! On n’a jusqu’à… 16 heures ! On compte le butin ici. » dit-elle après un petit silence, le doigt sur la bouche perdue dans ses pensées. Elle embrassa à la volée le blond et s’en alla en courant. Elle trichait, elle gagnait du temps. Griotte eut un rire enjoué et lui emboita le pas. C’était juste histoire de se mettre dans le bain et d’avoir plein de sucrerie. Rien de mieux pour trouver des idées d’enfantillage.
cit. Claude Chabrol.
Dernière édition par Charles G. Sjörgen le Jeu 14 Sep - 12:07, édité 12 fois
Bienvenue parmi nous ! J'ai hâte de voir ce que tu vas nous pondre et d'ailleurs ta de que j'y pense je vais te faire le bla bla du staff : tu as une semaine pour clore cette fiche après si tu as besoin d'un délai nous somme la il suffit de demander
Mais comment t’as su, je suis venue en ninja ! Tu vs être obligée de m’aider maintenant Et va falloir qu’on discute du nombre de mot... Je tiendrais jamais avec 2000 en tout ! J’ai droit à 10% ? (a)
Dernière édition par Charles L. Sjörgen le Dim 7 Mai - 9:34, édité 2 fois
Haha c'est pas comme si mon perso était pas TOUJOURS obligé d'être sympa avec les tiens alors qu'elle rêve de les et étripper Ouais les 2000 mots c'est une moyenne pour l'histoire, après si tu dépasses un peu on va pas être psychorigides, 10% de marge ça passe. Tant que c'est pas 2000 par partie