But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Cora était de retour dans ma vie, elle était arrivée en ville par dieu sait quel stratagème maléfique, et d’ailleurs je me fichais complètement de savoir comment cela était arrivée. La seule chose qui m’obsédait c’était qu’elle était apparue comme par enchantement dans mon salon pour me demander d’accepter une trêve de paix entre elle et moi. Si elle voulait la paix elle n’aurait jamais dû ordonner la mort de ma cadette. Sans compter que cette dernière n’avait même pas essayé de s’excuser. Pas le moindre instant je n’avais décelé une étincelle de remord dans le visage beaucoup trop gonflé de cette sorcière.
Me retrouvant face au refuge de Freya, je m’efforçais de respirer calmement. Depuis que nous avions été dans le monde des contes ensemble dans le but d’affaiblir le règne glacial d’Ingrid, je n’avais plus adressé la parole à cette dernière. Je n’avais même pas voulu revenir sur le faite qu’elle avait essayé de croquer mon cœur, valait clairement mieux pas y revenir dessus. Je n’avais pas digéré la moitié de ce qu’il s’était passé sur les terres glacées, mais nous avions des problèmes plus grands que nos différents presque inconciliables. Face à Cora nous nous étions mises d’accord pour s’allier contre la mère de Regina, entrant dans le refuge je poussais un autre soupir avant d’apercevoir Freya de dos en train de s’occuper un petit chien qui était adorable soit dit en passant, me dirigeant vers elle me manifestait en raclant légèrement ma gorge :
« Bonsoir Freya, est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accordez ? »
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.
Freya continuait sa petite vie assez paisible à Storybrooke. Elle réfléchissait de plus en plus à se construire une meute, peut-être pour assurer ses arrières et être plus puissante, ou simplement un désir de devenir influente ? En effet, pour le moment, Freya avait cette réputation de la blonde, des fois brune, froide et assez hautaine, généralement « la meilleure amie bizarre de Ruby » ou la copine hautaine de Regina. Enfin concrètement, la louve en avait presque rien à faire de ce que les gens pouvaient penser, mais prendre un peu plus de place dans le fonctionnement de la ville n’était pas de refus… Elle y réfléchissait donc de plus en plus.
Freya partit alors pour le travail, elle ferma sa villa à clé et prit sa nouvelle voiture achetée par les soins de son faux héritage qui lui avait été fait par la malédiction. Concrètement, Freya roulait sur l’or sur quatre générations et c’était pas de refus d’être une des personnes les plus riches de la ville. Elle prit donc cette magnifique maserati noir mate et se dirigea au refuge. Là-bas, elle y vit Charles l’attendant avec ses trois chiens. Ils rirent un peu ensemble avant qu’il reparte pour son job à la mairie. Elle prit les trois chiennes et se dirigea dans le bureau, checkant ses mails, ouvrant et allumant le refuge avant d’aller dans le jardin avec les trois magnifiques Huskys pour les observer. Elle passa alors toute la journée au refuge et était sûre sur le fait qu’une des chiennes de Charles éprouvait de la jalousie et l’autre devenait petit à petit l’oméga du groupe : concrètement, c’était pas bon signe du tout, et il valait mieux en parler au jeune excentrique.
Elle alla dehors, s’asseyant avec une bière à la main pour finir une énième excellente journée de bonheur : elle était simplement heureuse. Elle était accompagnée d’un magnifique chio né dans la semaine, c’était un bébé sptiz nain : une peluche. Cependant, elle entendit des pas arriver. Elle fit marcher ses sens et reconnut à l’odeur une vieille connaissance : Juliette… Elle fronça les sourcils, ne comprenant pas pourquoi Juliette était là. Son instinct lui disait qu’elle n’était pas là pour lui faire du mal mais elle n’apportait rien de bon non plus. Freya se retourna alors que Juliette commençait à parler. La reine rouge s’efforça d’esquisser un sourcil par politesse : de base, elle n’aimait pas sourire aux gens, alors en plus à Juliette… Mais bon, les politesses de la reine blanche firent, quelque-part, assez plaisir à la reine rouge, il fallait l’avouer. Elle dit alors à Juliette sur un ton ni agréable, ni agressif, plutôt limpide :
« Bonsoir Juliette, évidemment, je vous écoute. »
Freya ne savait que dire d’autre : peut-être aurait-du proposer quelque-chose à boire à Juliette ? Ou de rentrer à l’intérieur ? La louve ne savait pas comment réagir et n’avait aucune idée de la nature de la visite de Juliette, une chose était certaine : ce n’était pas par pure courtoisie.
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Au vue du regard de Freya et des émotions qu’elle dégageait, elle se méfiait de ma requête et crevait d’envie de refuser mon invitation, mais elle avait encore un peu de savoir vivre pour me laisser la chance d’exprimer la raison de ma venue en un ton légèrement impassible. Laissant apparaitre un faible sourire sur mes lèvre, consciente que cette fois c’était à moi de faire un effort en me montrant cordiale, qu’importe les conflits qui nous animait depuis plusieurs années.
« Vous pouvez vous détendre Freya, je ne suis pas venue vous accabler de quoi que ce soit. »
Commençais-je avant d’inspirer profondément avant de détourner mon regard pour le reporter sur les chatons qui miaulaient derrière leur vitre tout en grattant contre la paroi qui les séparaient du monde extérieur :
« Je suis venue vous prévenir que Cora est arrivée en ville. Elle est apparue dans son mythique nuage de magie au beau milieu de mon salon ce matin. Elle m’a assuré qu’elle ne me voulait aucun mal, mais j’ai un peu de mal à y croire. Vous avez été son esclave pendant des années, je trouvais cela normal de vous prévenir moi-même avant qu’elle ne croise votre route… »
Ma bombe lancée je m’humectais les lèvres attendant sa réaction avant de lui en révéler davantage. Une partie de moi pensait qu’elle m’aurait mise au courant de sa venue si la reine de cœur avait été lui rendre visite avant moi. En faisant cela je testais aussi sa bonne fois, de mon côté je réfléchissais à la suite, j’avais découvert que Cora était la mère de Regina, soit la mère d’une amie de la louve. Le savait-elle ? Non, c’était impossible sinon elle n’aurait jamais supporter d’être en présence de Regina, soupçonnais-je.
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Contre toute attente, Juliette laissa apparaître un mince sourire sur ses lèvres. Freya ne put s’empêcher d’être surprise : que lui arrivait-il, elle avait mangé un arc en ciel de bonne humeur le matin même ? Quoi qu’il en soit, elle rassura la reine rouge sur le fait qu’elle n’était pas venue l’accabler, quel qu’en soit le problème. Freya fronça légèrement les sourcils, en signe d’étonnement : qu’avait donc-t-elle bien à lui dire ?
La louve détendit alors légèrement son visage, et commença à écouter la reine blanche. Mais qu’elle fut sa surprise lorsqu’elle apprit que le diable en personne était arrivée en ville ? Une colère noir lui monta à la tête et ses yeux rouges d’alpha apparurent. La louve reprit ses yeux normaux et écouta à moitié Juliette jusqu’à la fin. La rage se réveilla en elle, littéralement : cette diablesse était en ville ! Elle allait morfler comme pas deux… Elle souffla un bon coup, essayant d’écarter de sa tête toutes les images de la mort de Cora : par pendaison, par empoissonements, par déchictement. Enfin, tout était bien trop sympathique pour une telle sorcière. Elle reprit son souffle, et s’accroupit, elle dit :
« Cette s*lope est en ville… Et en plus elle ose venir te larguer dans ton appartement… J’ai pas les mots. »
Freya n’en avait plus rien à faire de vouvoyer ou tutoyer Juliette, elle ne voyait que Cora en ce moment même. Elle se releva, essayant de garder son calme, et dit :
« M-merci d’être venue me le dire. Mais bon, j’imagine que c’est le moment que l’on attendait non ? »
Elle faisait allusion à son meurtre, il était temps d’abattre la reine de cœur et de la faire descendre de son trône. Elle était pour le moment la reine des reines, la matriarche des sorcières, il fallait l’abattre.
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Freya se détendait et parvenait même à me sourire. Si une personne nous observait nous aurions presque pu passer pour des amies, enfin des amies qui se vouvoyaient, enfin quoi qu’il en soit on n’aurait jamais pu imaginer que nous étions ennemies. Encore moins que nous avions tenté de nous tuer à plusieurs reprises autant l’une que l’autre, la preuve en est nous parvenions même à avoir une discussion civilisé. Certes, cette dernière tournait autour de notre ennemie commune, comme quoi la haine pouvait réunir deux personnes d’origine ennemie. A cette pensée, je songeais à ma famille et à sa haine contre les Capulet, si j’avais su cela plus tôt j’aurais pu essayer de trouver un ennemi commun à ma belle famille et ma famille avant de me vendre corps et âme à une pseudo-sorcière. Une slave de colère me frappa brusquement dès que j’évoquais le nom de Cora et je dû me faire violence pour ne pas me laisser y succomber, nous ne devions pas foncer tête baisser, si nous voulions détruire Cora Mills nous devions avant toute chose avoir un plan bien ficelé et sans faille.
Les remarques de Freya me firent hocher les sourcils en signe de compréhension avant que je ne lâche :
« Je ne les avais pas non plus, heureusement Louise n’était pas là... »
Je remerciais dieu si toutefois il existait d’avoir épargné ma colocataire de l’arrivée de cette sorcière. Elle avait assez souffert de la magie, son esprit avait gardé le cap face à une première potion d’oubli mais combien de temps allait-elle réussir à rester dans l’ignorance comme le voulait Régina ? Et plus important encore quand Régina comprendra que la tenir à l’écart ne servira plus à rien comment réagira-t-elle ? La voix de Freya me fit revenir à l’instant présent et quand elle me demanda si c’était bel et bien le moment qu’on attendait j’hochais la tête en signe d’accord :
« En effet, c’est le moment que nous attendions, mais on aura droit qu’à un seul coup. Cette sorcière machiavélique est maline et nous ne devons pas la rater sans quoi toutes les personnes que nous aimons seront à sa merci. »
Expliquais-je consciente que Freya pourrait aisément comprendre où je voulais en venir après tout elle avait tué pour le compte de Cora, elle savait mieux que quiconque, même mieux que moi jusqu’où cette femme était capable d’aller. L’anecdote concernant sa parentalité avec la maire de la ville me revenant à l’esprit je me tâtais à lui en faire part. Connaitre cette information pouvait tout changer pour Freya, elle était une amie proche de Regina, or la partie la plus compréhensive de mon être voulait qu’elle sache dans quoi elle s’embarquait si elle allait jusqu’au bout. Les relations entre la maire de la ville et sa mère semblaient compliquées, mais elle restait sa mère et la tuer aurait forcément des conséquences. Laissant échapper un soupir je me passais la main dans les cheveux avant d’ajouter :
« Il y a autre chose que vous devez savoir … »
M’arrêtant un cours instant je fermais les yeux un cours instant avant de les rouvrir et de lâcher d’une traite :
« Cora est la mère de Regina. »
Ma bombe annoncée, je m’humectais les lèvres avant de faire les cents pas stressé par ce rebondissement pour poursuivre :
« Elle m’a dit qu’elle était venue pour renouer avec sa fille. Tu es une amie proche de Regina et Regina est la femme que mon meilleur ami à choisi. Je ne veux pas que cette pourriture s’approche de Robin ou même de Roland, mais si on la tue ça aura forcément des conséquences… »
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Juliette dit qu’heureusement que Louise n’était pas là, de son côté, la louve n’aimait pas le personnage que Louise dégageait : elle était bizarre, enfin bref, ce n’était pas la question. La louve était raidit et ne savait même plus comment réagir. Elle dit :
« Je suis certaine qu’elle va tout faire pour faire venir son armée et décimer tout Storybrooke. Si elle parvient à amener son armée, on a aucune chance, je les ai vu Juliette, et je vous promets, rien ne m’a jamais fais autant froid dans le dos que cette armée de soldats sans cœurs. On doit la tuer. »
Lorsque Freya parlait de l’armée de la reine de cœur, elle ne pesait pas ses mots, elle en avait vu des horreurs, mais des comme celles-ci, c’était au-delà de l’imaginable. Ses soldats étaient des robots prêts à tuer leur propre famille, en plus d’être inarretables. Freya divaguait dans ses pensées alors que Juliette dit qu’il fallait agir vite… Elle dit :
« Pensez-vous réellement que nous pouvons y arriver à nous deux… Nous allons devoir la faire fine, parce que comme tu dis, un seul coup nous sera permis. »
La louve n’avait aucune idée de comment agir, Cora était d’une puissance inégalable, s’en était presque insolent. C’était bien simple, Cora était la reine de l’échiquier et possédait des pions, des tours, des cavaliers et des fous absolument inégalables. Freya et Juliette n’avaient presque aucune chance. Elles ne possédaient que le coup de surprise.
« Tu as une idée de comment procéder ? »
Juliette semblait après avoir quelque-chose à dire à sa surprenante alliée. Et la reine rouge était loin de s’imaginer que sa confession était la suivante : Regina était nul autre que la fille de Cora. Freya s’effondra, littéralement, son visage se décomposa pendant que Juliette faisait les 100 pas. Elle n’en revenait pas et pourtant c’était si clair : les mimiques, la façon de parler à certains moments, le fait que Regina soit au début qu’une simple cavalière puis devienne reine. Freya se mit à penser haut en faisant elle aussi les 100 pas :
« Comment je ne m’en suis pas doutée ? Regina a été martyrisée par sa mère étant plus jeune, elle a tué son premier amour, qui d’autre que Cora pourrait faire une telle chose ? Mais Regina n’acceptera jamais de nous aider à tuer sa propre mère, et peut-être même le contraire… »
Freya s’assit par terre, se tenant la tête, elle ne savait pas quoi faire : il fallait tuer Cora, mais comment, quand, et qui étaient les alliés de Juliette et Freya, parce qu’au final, la garce possédait plus d’atouts que l’on pouvait l’imaginer, est-ce qu’il fallait parler à Regina ? Comment ? Elle ne savait plus quoi faire… Elle dit à Juliette :
« Si on la tue, il y aura des conséquences, mais si on la laisse vivre, dans un mois, ou un an, peu importe, tu peux être certaine que nous serons aux funérailles de Robin et son fils. Crois-tu réellement que Cora acceptera quelqu’un comme Robin dans sa famille ? Aussi beau, gentil et aimant soit-il. Cora et Robin sont aux antipodes et elle l’éliminera, tu la connais Juliette… »
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JE partageais les mêmes craintes que Freya, ce qui annonçait rien de bon. Tout comme moi elle craignait que Cora ne fasse entrer son armée à Storybrooke pour détruire la ville et la prendre pour acquise mettant ainsi si fille en mauvaise posture. La mine sombre je me contentais d’hocher la tête, elle avait parfaitement raison cette pourriture devait mourir. Je lui avais juré une trêve, mais même Cora ne croyait qu’à moitié à ma sincérité, j’étais la reine la plus clémente du monde des contes, la plus loyale et certainement la moins conquérante, cependant pour détruire Cora j’étais prête à sacrifier cette réputation. Elle m’avait volé ma vie, elle avait volé la vie de Freya et détruit celle de nombreuses personnes, à qui manquerait-elle ? Personne, même sa fille ne la pleurerait pas longtemps, quoi que ça j’en étais pas certaine, l’unique variable dont j’étais sûr c’était que Freya ne pouvais pas rester dans l’ignorance sur ce sujet.
« Uniquement à nous deux ? Non elle nous verra venir, elle sait que nous la haïssons et même si elle sait que je suis de nature à respecter mes engagements elle se toute que la trêve que je lui ai accordée est terriblement bancale. Il nous faudra des alliés et un plan en béton. »
Mordillant ma lèvre inférieure, je secouais la tête, j’avais peur, pas pour ma vie, pour celle des personnes que j’aimais. Cora ne s’en prendrait pas à moi directement, avant elle fera tout ce qu’il y a dans son pouvoir pour me détruire morceau par morceau en m’arrachant tous ceux auxquels je tiens avant de me dépouiller de mes biens et de mon royaume. Je n’étais même pas certaine qu’elle aurait l’amabilité de me tuer. Quoi que peut-être que si dans la peur que ma folie ne se retourne contre elle, mais j’avais beaucoup à perdre dans ce combat et Cora possédait une variable importante : Robin. Elle tenait Robin entre ses griffes étant donné qu’elle était la mère de Regina et que cette dernière avait choisi sa fille comme femme. Freya mit fin à mes pensées en me demandant si je savais comment procéder et au lieu de lui donner une réponse je lui lâchais ma bombe en plein face. Telle deux louve en cage nous nous retrouvions toutes les deux à faire les cents pas pour une raison similaire, Freya s’étonnait de n’y avoir jamais pensé et je cessais mes pas pour l’observer et l’écouter pleinement, attendant sa décision finale.
« Personne ne tuerait sa mère, même si elle est minable dans ce rôle un enfant ne peux tuer sa mère…Pas volontairement, enfin je pense »
Murmurais-je pendant que mon esprit pensait à ma propre mère, avant que je ne me concentre à nouveau sur l’instant présent, pendant que Freya s’asseyait par terre, pour se tenir la tête. M’adossant à une colonne je gardais le silence attendant qu’elle encaisse l’infirmation. Après quelques minutes de silence elle releva la tête pour me dire ce que je craignais déjà. L4entendre parler de la mort de Robin et Roland me serra le cœur et je me laissais à mon tour glisser à terre mes jambes se réunissant sous mes fesses tandis qu’un rire sombre s’échappait de mes lèvres :
« Elle l’acceptera jamais, elle veux remettre Regina dans le droit chemin sauf qu’elle ne possède pas la même notion de droit chemin que nous… Cora doit mourir et nous devons avoir des alliés pour cette bataille…. J’ignore comment procéder, une idée ? Vous avez passé clairement plus de temps en sa compagnie, vous savez comment elle procède mieux que personne. J’ai peine à penser qu’elle n’a aucun point faible, mais elle reste humaine elle en a forcément un, … Pendant vos années de captivité vous n’avez jamais rien soupçonné ? »
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Freya acquiesa aux dires de Juliette : il leur fallait un plan en béton, mais pour le moment, aucune piste n’était visible… C’était triste à dire, mais elles n’avaient pas d’alliés : ils étaient soit du côté de Cora, soit ils ne voudraient jamais se mêler d’une histoire pareille…
« Elle est sûrement la femme la plus détestée du monde entier, et pourtant, nous n’avons aucun allié, du moins je n’en vois pas… Ses ennemis sont sous ses ordres, et les autres espèrent rester loin d’elle, je ne sais vraiment pas comment nous allons faire… »
Juliette avait tort sur les parricides : Freya était le preuve vivante que l’on pouvait tuer ses parents, elle avait assassinée son père. Cependant, elle ne connaissait pas les relations entre Regina et Cora, et au vu de comment Regina evoluait, jamais elle ne serait capable de tuer sa mère…
« Tu as peut-être raison, et je ne serais jamais capable de demander une telle chose à Regina… Mais je ne sais pas comment nos relations vont évoluer, jamais je ne lacherai cette guerre contre sa mère. »
La louve réfléchit longuement aux dires de Juliette, avant de finalement s’exprimer :
« Son seul point faible visible, c’est Regina, sa fille. Après, je ne vois pas vraiment… Elle a l’esprit tordu cette femme, elle est diabolique et maléfique, tu l’aurais vu tuer certains de ses ennemis, je ne l’aurais jamais imaginé dans mes rêves les plus fous. Elle a même réussi à inventer un feu spécial ayant la capacité de brûler la peau, mais pas de te tuer, elle l’a testé sur une ville entière. » Ses mots étaient glacés d’horreur, elle revoyait ces pauvres gens souffrant le martyr, devant le sourire satisfait de la reine de cœur.
« Mais comme tu l’as dis, elle reste humaine, et je soupçonne le fait que Regina soit l’une de ses seules faiblesses. Cependant, je pense qu’il y a autre chose qui se cache derrière, elle fut très proche de Mr Gold passé un temps, et l’a pour haine. Je me rappelle un jour avoir écouter une conversation de Cora avec un certain Crochet, elle lui disait qu’elle pouvait l’aider à détruire le ténébreux, mais je pense que cela lui a passé, car ses préoccupations ne se sont plus jamais rapportées à Rumpel… »
Freya détestait le ténébreux, il l’avait livré à Cruella D’Enfer. Cependant, elle serait prête à s’allier avec lui pour détruire Cora.
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Je partageais la frustration de Freya à l’encontre de Cora et de notre incapacité à trouver main forte pour mener le combat avec nous. Pourtant j’étais appréciée, j’avais plus d’un allié dans le monde des contes, mais jamais je ne demanderais à un seul d’entre eux de prendre els armes contre cette sorcière. C’était une vengeance personnelle, qu’importe comment Freya se plaisait à l’appeler c’était une vengeance personnelle autant pour l’une que pour l’autre. Elle nous avait gâché une bonne partie de nos existences autant à l’une qu’à l’autre, adossée au mur je l’écoutais parler tout en tapotant mes doigts de la main gauche contre mes lèvres en signe de réflexion, un vieux réflexe qui avait toujours exaspéré mon père.
Face aux récits de la louve je sentais des frissons me glacer d’effroi, un feu qui brûle mais ne tue pas j’avais déjà entendu cette histoire mais la sorcière qui le manier répondait au nom de Maléfique. Cora en était donc capable. Fermant les yeux un instant je finissais par ouvrir la bouche quand j’eus compris que la louve avait cessé de parler.
« Nous n’utiliserons pas Regina contre Cora en usant de la force, c’est certain. J’irais bien parler à cette dernière mais elle ne m’écoutera pas, par contre toi tu es son amie et Regina a bien des défauts mais le peu d’ami qu’elle possède elle les écoute. De mon côté j’en parlerais à Robin en espérant que ce dernier puisse lui faire entendre raison dans le cas contraire on ne pourra pas la forcer et nous devrons aller d’autant plus vite »
Déposant ma tête contre le mur j’ajoutais à contre cœur ;
« Ceci dit avant d’en parler à Regina nous pourrions demander l’aide du Ténébreux. C’est l’un des seuls sorciers au monde capable de mettre Cora or d’état de nuire. En plus si tu dis qu’il fut un temps où elle avait de l’affection pour lui cela peut jouer en notre faveur. »
Détachant mon corps du mur je me mettais à faire les cents pas tandis que dehors le ciel grondiat d’effroi signe du combat intérieur que je tentais de mener correctement. Je haïssais cette situation, m’allier avec la femme qui avait tué ma sœur et qui avait tenté de se nourrir de mon cœur, trahir une parole donnée, mettre la vie de ceux que j’aimais en danger et de surcroit n’avoir qu’un seul espoir celui de s’allier à une pourriture empli de magie noire :
« Arrgg pourquoi devrions nous choisir entre la peste et le choléra ! Il y a forcément une solution ! »
Faisant les cents pas tout en jouant avec le collier qu’Ariel m’avait offert lorsque ma vie ne représentait rien d’autre que de simple plume et de la servitude je proposais :
« Nous ne sommes pas obligé de la tuer ! Un jour un ami venu d’une autre contrée m’a parlé d’une lampe capable de détenir de puissant pouvoir en son sein. Toute personne prisonnière de cette lampe devient son esclave et dépend d’un maitre. Si nous parvenons à obtenir une lampe de se genre nous pourrons emprisonner Cora et nous la gardons sous contrôle. Elle vivra certes, mais une vie enchainé est-ce réellement une vie ? »
Demandais-je consciente que s’il y avait bien une personne capable de comprendre cette notion encore mieux que moi c’était Freya, cette façon de se venger était sans nul doute la plus cruelle mais c’était tout ce que la reine de cœur méritait.
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Freya écoutait Juliette, toutes les deux étaient frustrées à souhait. Elles ne savaient absolument pas quoi faire… Ni Juliette ni Freya ne demanderaient de l’aide à leurs amis : la reine rouge pensait que c’était bien trop dangereux, Cora était capable d’absolument tout…
« Oui je pourrais parler à Regina… Cependant elle ne lèverait jamais les armes contre sa mère, enfin je pense… Personne ne pourrait se lancer dans un combat contre sa famille, aussi horrible soit-elle… Et quant aux alliés, j’avais bien au Wonderland Cheshire, Marla et Absolem. Mais les deux premiers se sont enfuis sous mes conseils le jour où je me suis fait capturée et j’ai juré de couper la tête à Absolem à la minute où je le reverrai, il est devenu un grand allié à Cora et n’hésites pas à se salir les mains… »
Freya grimaça à l’évocation du ténébreux, elle en avait très mauvais souvenir… Ce dernier l’ayant mené vers Cruella, la sorcière tueuse et contrôleuse d’animaux.
« C’est vrai que nous pouvons demander son aide, mais à quel prix ? Cependant, je dois avouer que on rattraperait grandement notre retard face à elle, le ténébreux à lui tout seul vaut bien plus qu’une armée entière. »
Juliette fit gronder le ciel, preuve qu’elle était travaillée face à cette situation, elles l’étaient toutes les deux. Cependant, elles ne pouvaient pas baisser les armes face à la reine de cœur en plus d’une vengeance personnelle, Cora était une femme à éliminer de la surface terrestre. Ecoutant les paroles de Juliette, Freya dit :
« Tu as raison… Mais bon il y a toujours ce pourcentage de risque qu’elle se sorte de cette fameuse lampe, elle est très maligne… »
Freya était partisante de la bonne vieille méthode : le régicide, tuer la reine était la meilleur solution, elle ne serait plus en état de nuir.