Il demeure obligatoire. Cependant, si vous n'avez pas rp pour le mois en cours il vous est possible de recenser une absence.
Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
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Et cette stupide fée qui tente de le narguer. Elle a ouvert la porte, certes. Mais croit-elle réellement l'atteindre ainsi? La sotte. « Que faute de talent, dearie, il te fallait un peu de motivation. » Ils sortent de la cellule, Robin le premier. Tous trop occupés à s'extirper de ce sombre trou à rat, toutefois fort douillet si on le compare à l'ancienne demeure du sorcier. Coup d’œil discret vers le groupe. Personne ne porte attention à lui. Rumple retient un soupir soulagé. Sans magie et sans canne, il ne peut marcher. Se tenant sur les parois humides de la cellule, il se lève et se dirige vers la porte. Il entend vaguement l'archer décréter que le temps manque, et qu'il serait inutile de s'attarder à libéré un inconnu. Il doit l'admettre, il est plutôt d'accord. Le Ténébreux aurait bien aimé appâter le prisonnier et l'assommer d'un coup de pierre à travers les barreaux, mais lenteur d'une jambe invalide oblige, les deux fées se portent déjà à son secours. Dans sa lente progression, ses yeux se sont arrêtés sur ce qui ressemble à une branche, à l'air un peu courte, mais plutôt solide. Accessible à travers les barreaux de la cellule. Il se penche donc, en arrivant à la hauteur du bout de bois, alors que se trame une libération qui n'a pas lieu d'être. Attrape le bois du bout des doigts. Le tire vers lui, le glisse entre les barreaux. Le pose sur le sol, et, soulagé, se redresse tant bien que mal et s'y appuie. Caché dans l'ombre, loin des regards. Puis, ayant enfin une béquille sur laquelle se fier, il s'approche de l'action. Du tumulte, plutôt. Garde endormi à présent réveillé, n'ayant pu profiter de sa crème de nuit. La faute de ces idiots qui ont été trop bruyants. Rumple n'a pas de magie, et malheureusement, les petites fées non plus. Sans oublier Zelena, qui aurait pu être d'un plus grand secours, si elle n'avait pas elle aussi été dépouillée de ses pouvoirs en été jetée ici.
Le prisonnier se fait empaler, ayant finalement une utilité: leur servir de bouclier. Puis, la jeune femme se rue sur le garde pour l'assommer, échouant magnifiquement. Entre-temps, le Ténébreux s'est rapproché. Voyant Sélène échouer, il tend sa jambe, celle qu'il a, il y a plusieurs années, brisée. S'il a une branche pour s'appuyer, alors nul besoin de préserver son membre invalide. Dans l'ombre de la jeune femme, il espère le faire trébucher, cet idiot à la lance affûtée. Dents serrées, visage amoché. La tortue fût psychologique, mais quelques coups se sont perdus dans l'échange. Il souhaite donc plus que sincèrement que ce garde, en tombant, s'écorche le visage comme on a écorché le sien.
Je ne sais pas par quel miracle mais la porte de ma cellule finit par céder à force que je m’acharne contre cette dernière tout en essayant de ne pas faire trop de bruit. Je me dépêchais de sortir sans demander mon reste, me fichant bien de savoir si tous les autres prisonniers me suivaient ou non. Pendant un instant, j’avais hésité à aider Rumple. Car je savais très bien que sans magie, il n’était qu’une loque incapable de marcher. Mais je décidais de sauver ma peau. Je levais les yeux au ciel quand j’entendais que Eve et Clochette voulaient sauver le prisonnier. Elles étaient sérieuses ? Lui tordre le cou serait largement plus efficace pourtant. Nous faisions bien trop de bruit et j’étais persuadée que nous allions tous nous faire repérer avec leur idée ridicule de vouloir jouer les héros. « On a pas le temps pour ça enfin ! Il va nous ralentir ! » Mais personne ne m’écoutait. Le garde endormit fini par se réveiller et fonça sur nous sans ménagement avec une lance pourvue d’une lame dans le but de tous nous embrocher.
Le prisonnier fut le premier à mourir sous l’asseau de cette lance redoutable. Sans magie, je me sentais vulnérable. Je regardais alors autour de moi et je vis une gamelle en fer devant une des cellules. Peut-être que si je lançais cette dernière suffisamment fort sur le garde, je pourrais peut-être le toucher et faire en sorte qu’il se fasse assommer. Mais je n’allais pas avoir droit à l’erreur et il fallait que je réussisse du premier coup. Dans mon cas, il était absolument hors de question que je me retrouve à brûler sur un buché tel un rôti. Je ne voulais pas finir comme ça et j’avais encore bien trop de choses à accomplir d’ailleurs. C’est drôle, mais c’est quand on sent qu’une catastrophe va nous arriver que l’on constate que la vie est précieuse. Il fallait absolument que l’on mette se gare hors d’état de nuire et que l’on prie très fort pour que les autres gardes ne viennent pas lui porter secours. Je jetais un regard à Rumple qui, malgré la douleur qu’il avait à sa jambe, faisait son possible lui aussi pour faire tomber le garde. On avait plus qu’espérer que ça fonctionne. Bon sang, j’avais vraiment hâte de savoir qui pouvait bien être l’idiot ou l’idiote qui avait volé cette fichue épée et surtout pour quelle raison ? Est-ce qu’il s’agissait de ma mère ? Je ne sais pas pourquoi, mais ça ne m’étonnerait pas du tout à bien y réfléchir. Car ce n‘était ni Rumple, ni ma sœur étant donné que Robin était avec nous. D’ailleurs, pourquoi n’était-elle pas là ? Trop de questions qui, pour le moment en tout cas, n’avaient pas de réponse. Je devais bien avouer que pour le moment, ma principale motivation, était de sortir de cet horrible endroit et le plus rapidement possible. J’espérai que je n’aurai pas besoin de faire équipe avec les autres pour ça.
La colère et la peur cohabitaient insidieusement dans la tête de Robin. La vie de ses amis, mais plus encore celle de sa femme et de ses enfants étaient en danger, un danger qui les menaçait tous. Arthur ne ferait aucun quartier, plus encore à celui qu'il considérait comme un ennemi, au même titre que Lancelot le traître. L'ancien Robin se serait formalisé de cette situation tout en cherchant une solution pour épargner le plus de personnes possibles. Il n'était pas un tueur né cependant cet homme, ce héros au grand cœur, avait été mis à mal lors de son séjour en Enfer et avait compris, bien malgré lui que parfois, la survie prime sur le reste. C'était tué ou être tué et de toute évidence, à la surface, il en était de même. Mais plus encore, il bafoua l'un de ses propres codes en choisissant délibérément d'abandonner le prisonnier. Un choix en entrainant un autre, le captif acquit à la cause des fées, jouit à peine de sa liberté et pour cause, il eut à peine le temps de dire « ouf » qu'il se retrouva empaler sur l'arme du garde au fait de leur évasion. Robin serra la mâchoire, coupable bien malgré lui de ne pas avoir agis pour empêcher ça. Chacun y alla de sa petite participation, même celui que nous nommions Mr Gold à Storybrooke, mais qui en ces lieux, était affublé d'un tout autre titre. Le Ténébreux aurait été d'une grande aide il est vrai, même Zelena, cependant délestés de leur pouvoir, ils n'étaient rien de plus que des êtres d'une banalité effarante comme la plupart des êtres pourvus de magie. Si Regina était en ces lieux, il était évident qu'elle aussi était dépourvue de magie, rendant sa survie et celle des enfants encore plus difficile. Sentant la colère monter en lui, Robin au fait des précédents échecs de ses comparses (excepté Rumpel qui était parvenu à légèrement déséquilibré le garde) se précipita sans réfléchir sur l'homme jouant les béliers et espérant de ce fait dégager la voie pour mieux progresser.
Je n'arrivais pas à y croire... Ce pauvre homme massacré devant nous. Je sais combien mes "compagnons de route" allaient m'en vouloir d'avoir eut une idée aussi stupide que d'aller au secours de cet homme. Ce n'était pas possible pour moi de le laisser, cela aurait été inhumain! Depuis ce qu'il s'était passé à Neverland, je ne pouvais plus fermer les yeux sur l'injustice. L'attaque du garde avait été prévisible mais en rien nous ne voulions nous avouer vaincu! La jeune fille blonde (qui étrangement à l'air de me connaître bien me mieux que moi je ne la connaissais) s'élança sur le garde mais sa tentative échoua. Puis se fut au tour de Rumple, de Zelena et de Robin d'attaquer. D'ailleurs il réussi à faire reculer le garde de quelques bon mètres ce qui nous avance beaucoup!
N'ayant pas envie de risquer que le garde n'appelle des renforts, je lance rapidement des coups d’œil parmi les cellules afin de trouver de quoi le faire taire un moment. Je trouve dans un recoin dont la propreté douteuse n'était plus à démontrer un grand bout de bois servant sûrement autrefois de poutre.
Je l'attrape mais peine à le soulever car il était bien plus lourd que je ne le pensais! Me rappelant de mes précédentes rencontres avec ces vauriens de pirates, je me concentre afin de ne pas louper ma cible. Je prends mon élan et balance mes bras au bout desquels s'élançait le bout de bois.
Il valait mieux que cela réussisse afin que nous soyons tranquilles un moment! Jusqu'à ce que l'on puisse s'échapper de ce dédale de cachots, j'avais encore fort à faire pour mon retour à Neverland.
Le prisonnier. Tué. Devant nos yeux. Comment dire que ça, je l’avais pas réellement sentie venir. Dénuée de magie, j’étais aussi utile que Rumple pouvait l’être accoudé à sa canne bien qu’il ait tout de même réussi à le faire tomber, plus ou moins à la faire trébucher. Mais allions nous réellement pouvoir faire quelque chose pour le faire chuter, le faire taire afin que nous puissions sortir d’ici sans rameuter tout le royaume de Camelot. Quoi que ça m’embêterait de prendre la tête d’Arthur pour taper sur ses sbires.
Je vins à observer la tentative de Clochette. Ce n’était pas bête ! Mais hélas, futile. Ça ne fonctionna pas. Il fallait espérer que je trouve une solution pour nous sortir de ce pétrin. Réfléchissant à une solution, je m’empare d’une torche enflammée. non n’allais pas croire que je vais m’amuser à faire de lui une torche vivante. Frappant la torche sur le sol, je l’éteins avant de m’approcher du garde.
« Eh gros mammouth ! »
Et je lève la torche avant de le frapper en plein dans la mâchoire, espérant ne pas avoir raté mon coup.
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Mer 3 Oct - 8:43
