Bibliothèque - Groupe des Puissants et Groupe des autres (XD)

Régina est tout simplement stupéfiante, je ne savais vraiment pas comment évaluer son niveau d’incompréhension et de stupidité, même en lui ayant donné toute les cartes en mains dès le début de notre rencontre, elle arrivait encore à se surprendre elle-même en « découvrant » que ma nièce était Rozen. Je regardais alors ma chère Cora, et malgré tout ce qu’elle avait pu dire pour « défendre » sa fille et surtout son choix de mener un combat pour elle, je ne pu qu’ajouter : « Ta fille Cora n'est ni une flèche ni très perspicace, même avec le nom de la personne que je recherche et le fait que tu ais dit le mot ‘’nièce’’ à plusieurs reprises, elle ne comprend que maintenant... » lui dis-je clairement dépité. Sérieusement là, c’était difficile à aider, même si c’était sa fille.

M’enfin, le gentil monsieur de Milady fut au moins d’une très grande aide, et même s’il m’inquiétait à sa façon de parler, je le remerciais grandement avant de le laisser avec Milady pour des adieux. Elle avait bien travaillé et donc méritait un peu d’intimité, je suivais alors mon alliée qui tenait toujours en ses mains la lyre du musicien.

Après un ultime passage dans la voiture du shérif, nous arrivèrent à la fameuse bibliothèque où un attroupement était rassemblé, mais finalement nous passâmes rapidement puis une voix assez familière s’occupa de faire rentrer la presque méchante reine. Je soupirais, entrant également dans le bâtiment avec mon associée et amie qui retrouva la jeune fille recherchée par le groupe, tandis que, pour ma part je recherchais Rozen des yeux. Elle était toujours pas là, et j’étais déçu, je regardais l’ascenseur qui s’actionna, et me demandais si quelqu’un allait venir et si cette personne pouvait être ma nièce triomphante, toutefois je restais sur mes gardes, regardant un à un les membres de notre nouveau groupe.

La voix familière n’était personne d’autre que Charles, qui restait une fée très séduisante, la petite fille de Cora qui semblait maligne pour son âge, quoiqu’un peu sans défense, j’espérais que mon amie avait une idée pour remédier à cela, puis ce fut au tour de deux autres demoiselles inconnues, normalement qui disait inconnues disaient que je n’avais pas de griefs contre elles, et inversement, c’était plutôt rassurant, au premier abord seulement, la preuve, entre Régina et moi, c’était de l’ordre du physique, je ne pouvais pas l’accepter et apparemment elle me trouvait insupportable. Regardant, la jeune femme grande et blonde inconnue (Hilda), je lui demandais gentiment : « Excusez-moi, votre groupe n’aurait par hasard pas croisé Rozen March ? La jeune fille à la chevelure bicolore... ». J’étais inquiet, très inquiet mais seule ma comparse de longue haleine pouvait deviner à quel point, je me demandais si Rozen pouvait survivre à cet Enfer...

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Ville 2 - 13 blocks

Vicky répondit à la voix inconnue d'un ton rassurant. Et Hilda l'approuva. Il fallait qu'elles continuent leurs efforts afin que l'horloge arrive à 12h30 et que la barrière magique se dissipe entièrement. L'ambulancière mit ses mains dans celles de ses compagnes. Elle se félicitait d'être tombée dans cette situation avec Vicky et CJ. Les trois femmes étaient à peu près sur la même longueur d'ondes.

- On va y arriver c'est juste une question de temps.

Aucun doute là dessus puisqu'elles étaient tenaces. Pour Charles c'était regrettable. Il fallait toujours qu'il fasse bande à part et son aide leur aurait permis d'atteindre leur objectif plus rapidement. Et tant pis...il y avait toujours une bonne raison à tout. Se reconcentrant elles reformèrent leur cercle et prononcèrent les allégations du sort qu'elles commençaient à connaître par coeur. Et le miracle se produisit ! 12h30 sonnèrent !

- Ca y est on a réussit !

La fée serra lègérement les mains de ses compagnes sous le coup de l'émotion. Et comme elles s'en étaient doutés des choses se produisirent d'un coup ! D'abord ce fut CJ qui se plaignit de la perte d'un bracelet. Puis surgirent Neïlna, Régina, Charles, Cora et deux hommes qu'Hilda ne connaissait pas.

- Ca alors ! Vous êtes ici aussi ? Est ce que vous allez bien ? Qu'est ce qui s'est passé ?

Mais ce fut le visage inquiet d'un Storybrookien  (Absolem) qui lui répondit par une question. Il avait perdu quelqu'un qui semblait être cher à son coeur. La fée des Etoiles en était désolée.

- Nous ne l'avons pas encore croisée. Mais il y a une voix féminine qui nous parle depuis le sous-sol mais que nous ne parvenons pas à atteindre. Vous devriez peut être essayer de voir si c'est elle.

Il était hors de question que la personne coincée en dessous reste. Et puis peut être que tant que le groupe ne serait pas au complet ils ne pourraient peut-être pas rentrer chez eux. Elle s'approcha de la lyre que Cora tenait en main. Ca sentait le fourbis magique à plein nez.

- Laissez moi deviner...Elle oblige les gens à exécuter des chorégraphies endiablées quand on en joue ? Ou elle fait chanter horriblement faux ?

Il y avait toujours un tas de possibilités avec les objets enchantés.

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CJ - Absolem - Hilda - Cora - La surprise dans l'ascenseur (pnj géré par le mj) - Vicky - Musicien (pnj géré par le mj) - Regina - Charles - Neïlina

La reine de cœur écoutait les paroles d’Absolem avant de lâcher un soupir, agacée de la situation : entre eux, cela ne collait pas, soit, mais ce n’était pas une raison pour se chamailler dans un endroit tel que celui-ci. Elle se tourna alors vers lui en disant :

« C’est ni l’endroit, ni le moment pour s’engueuler. Nous avons une mission bien plus importante. »

Cora n’avait pas que ça à faire que de répondre à telles futilités alors que sa petite fille était coincée aux enfers, qu’elle n’avait aucun moyen de remonter à Storybrooke à part cette stupide lyre.

Cora s’avança alors à la bibliothèque avant d’apercevoir CJ. Elle fut soulagée avant de s’avancer vers la jeune fille, un sourire soulagé aux lèvres. Elle lui répondit alors :

« Trésor j’étais, nous étions si inquiètes pour toi… Tu as été sûrement des plus courageuses. Quant à ton bracelet, ne t’en fais pas Regina l’a récupéré à la mairie. »

Elle se recula légèrement, toujours avec la lyre à la main et le musicien aux pattes, en regardant Absolem des nouvelles de sa nièce. Enfin il se remettait dans le bain et ne souciait plus de stupidités et de chamailleries pour recentrer son objectif sur le réel problème : où était sa nièce. La jeune femme, semblant être encore une des innombrables fille cucul en fut terriblement désolée de ne pas savoir. Cora ne put s’empêcher de lâcher un petit roulement d’œil sur le côté.

La jeune blonde s’avança vers elle, Cora en fut surprise : les gens ne lui parlaient pas en règle général, ou avant de le faire, ils pliaient le genou, ou baissaient les yeux, enfin quelque-chose montrant clairement leur soumission. Cora fut intriguée par cette femme, peut-être pas aussi futile qu’en apparence. Elle eut un sourire en coin en disant :

« Cette lyre est magique en effet. Mais je n’ai aucune idée de comment elle marche. » Elle jeta un regard dédaigneux au musicien avant de continuer : « A l’origine, elle lui appartient. Il sait sûrement en jouer. » Elle s’approcha alors de la jeune femme avant de dire : « Oh, et détail important, il est vivant. »

Elle passa alors une main dans ses cheveux, et entendit un bruit d’ascenseur. Qui était-ce ? Elle ouvrit alors sa fiole d’aveuglement, se préparant également à lancer quelques sorts simples mais efficace et s’approcha de l’ascenseur pour voir qui était cet inconnu. Elle se retourna vers le groupe, s’adressant en particulier à Absolem, Regina et la fée en cas de force majeur avant de dire :

« Préparez-vous, on ne sait pas qui est derrière cette porte. »

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Ville 2 - 13 blocks

Tout s’était très vite ensuivi. Au final, nous avions été rejoints par Regina, une femme que je ne connaissais que de vue à Storybrooke et d’autre personnes que je ne connaissais pas. Puis après cela, l’ascenseur avait fini par s’ouvrir. Mon regard s’était porté sur ce dernier pour au final me rendre compte que la jeune femme était toujours là. Ouf. D’après la femme avec la lyre, le musicien présent avec nous était vivant, chose étrange, chose encore plus étrange, c’est que la jeune femme en haillons. Oui elle était clairement en haillons se jeta dans ses bras.

Comment pouvait-elle être dans cet état ? C’était quelque chose de très étrange. Un grand silence s’installa alors que mon regard allait de toutes les personnes présentes avant que je ne pose ma main sur mon médaillon et pris soin de le cacher sous mon vêtement et repris enfin la parole.

« Dites, s’il y a encore d’autres vivants, il faudrait peut-être qu’on aille les chercher ? Après tout, mieux vaut être tous ensembles non ? »

Nouveau moment de silence avant que je ne m’avance vers la porte.

« Je ne sais pas pourquoi mais je sens que la suite ne va pas être si tranquille qu’on le pense. Il nous faut de l’aide, et même si Regina vous êtes avec nous ainsi que la dame à la lyre et Hilda, nous ne serons sûrement pas assez forts. Ma grand-mère m’a prévenue du danger et étant donné qu’elle était là depuis longtemps, je pense qu’elle n’avait pas tort, il y a quelque chose de dangereux en ses lieux… » énonçais-je finalement alors que je balayais la rue du regard avant de finalement re-rentrer dans la bibliothèque. « En tout cas, il n’y a pas âme qui vivent…enfin vous m’avez comprise. »

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CJ - Absolem - Hilda - Cora - La surprise dans l'ascenseur (pnj géré par le mj) - Vicky - Musicien (pnj géré par le mj) - Regina - Charles - Neïlina

Regina était impulsive, ce n’était pas un secret, et puis leur « arrivée » dans cet Enfer, elle avait fait des efforts pour rester calme et ne pas céder aux différentes piques lancées par Absolem. Mais là, c’en était trop. Elle était à bout de nerf, inquiète pour ceux qu’elle aimait, venant d’apprendre que CJ et Robin étaient là. Alors la remarque de cet homme qu’elle ne connaissait pas, fut-il ami avec sa mère, était la goutte d’eau. Elle se retourna vers lui, le regard noir tel qu’on le lui avait connu du temps de la méchante reine et avança vers lui en l’étranglant à distance, tâchant de lui faire le plus mal possible et l’obligeant à s’agenouiller. Personne ne pouvait résister à ça, surtout en étant pris par surprise.

-Vous allez m’écouter attentivement, espèce de raclure de bidet. Je commence à en avoir plus qu’assez de vos foutues remarques. Vos paroles insultantes, vous allez vous les garder ou c’est moi qui vous les fais avaler. A AUCUN moment vous n’avez prononcé le nom de Rozen, je suis sorcière mais pas devin, alors je vous prierai d’observer désormais la plus grande courtoisie à mon égard, sinon je vous arrache la langue et vous la fais avaler, c’est clair ?!

Ne lui laissant pas le temps de répliquer, elle se rendit dans la voiture du shérif. Arrivés à la bibliothèque, il y avait encore du monde à l’extérieur, les morts semblaient observer ce qui se passait dedans.  Neïlina passa devant pour frayer un chemin, et Regina fut happée par quelqu’un qu’elle dévisagea et reconnut aussitôt. Charles !

-Vous, ici ? Est-ce que vous allez bien ?

Mais elle n’eut pas le temps  de continuer la conversation, elle l’attrapa par le bras et suivit Neïli. Enfin dans la bibliothèque, elle aperçut CJ et lui tendit les bras. La jeune fille courut vers elle et vint s’y blottir, et Regina sentit son cœur s’apaiser un peu. Elle n’était pas blessée, elle allait bien, du moins autant que cet endroit le permettait. Lui caressant les cheveux pour la rassurer, elle essayait de se calmer elle-même. L’adolescente s’inquiéta alors de son bracelet, ce qui fit sourire la maire de Storybrooke étant donné la gravité de la situation. Cora s’empressa de lui répondre pour la rassurer sur ce point. Se détachant doucement d’elle, Regina sortit le bijou de sa poche et le lui montra avant de le lui mettre dans la main.

-C’est grâce à cela que nous avons su que tu étais là.

Elle observa le reste des personnes présentes. Hilda et Vicky. Pas de trace de Robin.

-Est-ce que vous avez croisé d’autres vivants ? Robin et Rozen sont ici aussi.

Vicki souligna le fait qu’il valait mieux les trouver pour être tous ensemble. Cela semblait évident et madame le maire ne prit pas la peine de relever. Elle assista aux retrouvailles entre Orphée et Eurydice et se surprit à les jalouser quelques secondes. Où donc était Robin ? La réflexion du musicien la sortit de ses pensées. Il voulait récupérer sa lyre. Cet instrument semblait être le sésame de sortie.

-Je vous préviens, Mozart, personne ne bouge tant que nous n’avons pas trouvé les autres vivants. Nous rentrons tous ensemble ou personne ne rentre ! Mère, tu lui rendras sa lyre lorsque nous serons avec les derniers vivants manquants.

Ne quittant plus la main de CJ, Regina s’approcha d’une fenêtre pour essayer de voir ce qui se passait dehors. Vicki disait que les lieux étaient dangereux et que sa grand-mère l’avait mise en garde.

-Ce sont les Enfers, pas un club de vacances… marmonna-t-elle.

Elle se tourna vers Eurydice.

-Puisque vous venez du sous-sol, vous allez peut-être pouvoir nous en dire plus. Qu’est-ce qu’il y a précisément là-dessous ? Qu’est-ce que vous avez vu ?

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Drop That - Jacob Plant

C’est qu’il s’en passa des choses en peu de temps. Charles était tombé sur Régina qui ne lui répondit même pas ou à peine, trop occupée à suivre une plantureuse femme après s’être pris le nez avec un homme. Homme que Liot ne reconnut pas de suite, mais la mémoire l’avait subitement frappé et il se figea. Finalement, il était bien heureux que la Maire le traine ainsi comme s’il n’était que son petit chien de salon oubliée. Il n’avait pas envie de rester trop longtemps près d’Absolem mais de Régina non plus et se détacha vite de la sorcière une fois dans la pièce. Il fit la girouette pour voir tout le beau monde qui accompagnait la brune. « Et sinon tu vas nous sortir de là ? » dit-il légèrement absent, occupé à juger chaque visage présent. Il n’avait même pas vu que la femme était allée retrouvée la jeune fille à qui il avait demandé de se sacrifier. Et à qui j’aurais redemander sans hésiter.

On demandait après des gens, on se consolait et patati et patata… Et sinon on rentre comment ? Hein ! C’pas comme si c’était une urgence… Puis il soupira pour ponctuer ses pensées. Il finit par se frapper les deux mains sur le visages et les laissèrent dégouliner sur son visage pour mimer son exaspération. Or cela faisait deux fois qu’il entendit qu’on demandait Rozen. Il leva haut les sourcils ce qui lui donnait un air hautain. « J'suis sûûûr qu’elle est tranquille, devant Walking Dead à se finir le saladier de bonbon oui… et rien me laisser. » avait-il râlé, ne pensant pas qu’elle était là. Et pourquoi elle y serait ? Ouais après, et pourquoi moi ? C’est possible au final. Mais comment ils savaient eux ? Ou tous Storybrooke était là aussi ? « Mais elle est ici aussi ? Elle vous a passer un coup de fil pour venir la chercher aux Enfers ? » essayait-il de comprendre et gratter des informations. Si Rozen était là, il aurait bien aimé la retrouver aussi. Parce que je l’aimais et que je sais qu’elle se défend bien aussi.

Soudain l’ascenseur fit du bruit. Charles fit un demi-tour en un bond rapide. Il paniquait. La meuf, elle parlait du truc qui devait pas l’entendre et tout. Sa petite voix, sa peur… On va tous mourir !!! Bon au moins on paiera pas le voyage… Les femmes étaient au taquet, prêtes à agir et Charles qui se trouvait sur le chemin, se glissa entre elles, puis rétrécit pour venir se poser sur l’épaule d’Hilda, caché dans ses cheveux. « M’éclate pas, c’est Charles pas un stique-mou ! » préférait-il toujours prévenir. Finalement ce n’était qu’une femme dans un sale état qui sauta dans les bras de son amant. Charles soupira, presque déçu du manque d’action. Mais il resta en petit féetaud, bien assis. Ne crions pas victoire trop vite. Puis t’être qu’on m’oubliera et qu’on pourra rentrer sans que je fasse le moindre effort. Et l’homme demanda sa lyre pour sortir. C’est ce que compris Charles. « Mais donnez lui sa lyre !!! Comment ça se fait qu’il l'a toujours pas ! » avait-il beuglé de sa petite voix nasillarde et fluette de créature ailée. « Je veux rentrer chez moi… » se mit-il à geindre.

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CJ - Absolem - Hilda - Cora - La surprise dans l'ascenseur (pnj géré par le mj) - Vicky - Musicien (pnj géré par le mj) - Regina - Charles - Neïlina

J’étais entrée, ouvrant la porte de cette bibliothèque en menaçant tous les passant de me défier du regard. Je devais avouer que j’étais légèrement suicidaire, ces personnes étaient déjà mortes alors les pousser à se battre contre moi était légèrement excessif. J'étais une humaine dans le monde des morts et donc contrairement à eux j'étais mortelle. Parle pour toi, moi je suis tout ce qu’il y a de plus immortelle, fanfaronna la Méduse, tandis que j’avançais suivi de prêt par Regina qui me passa devant en voyant Cj au loin. Laissant mère et fille se retrouver je finissais par m’approcher pour entendre l’adolescente parler de son bracelet perdu. Caressant le sommet de sa tête je lui souriais avec amour tandis que Regina lui rendait son bracelet et le raccrochait à son poignet.

« Je suis heureuse que tu n’aille bien Cj, dit moi est-ce que quelqu’un t’as fait du mal ? »

Demandais-je avec tendresse avant de relever les yeux pour fusiller toutes les personnes qui l’accompagnait du regard, morte ou vivante si sa réponse se révélait affirmative le crime ne resterait pas impuni. J’en avais strictement rien à faire de ce qu’il était légal ou non, et pour une fois même la Regina en mode rédemption serait de mon avis. Seulement, rapidement la question du bien être du gamin de ma meilleure amie que je préférais laissa place à des retrouvailles larmoyante qui furent suivi d’un ordre donné par le ménestrel que nous avions sauvé, relevant mon arbalète en me posant devant Cj j’ajoutais :

« Dois-je te rappeler que tu me dois la vie ? On a dit que l’on ne partirait qu’une fois les autres êtres-vivants avec nous. Ce n’est qu'à cet instant précis que tu récupèreras ta Lyre jusque-là merci de ne pas trop la ramener ! »

Détournant mon regard du chien galeux que nous avions récupéré, je reportais mon attention sur la jeune fille, qui avait surgit de l’ascenseur qui menait au sous-sol de la ville  

« Quand à vous, on vous a poser une question, qu’est-ce qu’il se trouve dans ses sous-sol ? »

Marquant une pause, je m’humectais les lèvres avant d’ajouter avec un sourire machiavélique sur les lèvres tout en visant la jambe du bien aimé de la demoiselle :

« Je précise juste que si on a pas une réponse dans les dix secondes je tirerais ma première flèche dans sa jambe, une fois cela fait vous aurez un second délai de dix secondes au bout duquel votre cher et tendre prendra une seconde flèche et vise-versa. Ô et ne me défiez pas je suis une très bonne tireuse ! »

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