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Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
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Il en voulait au monde entier ou peut-être était-ce le monde entier qui lui en voulait. À ce stade, Robin était tout bonnement incapable de savoir comment réagir et comment faire. Il était perdu totalement désorienté. Privait de son cœur et alourdit par ces nouvelles révélations, l'archer était au bout du bout et fixait les trois pierres tombales qui lui faisaient face, avec douleur. La gorge serrée et les yeux brillaient, il fut délesté de son trouble par une voix au combien familière. « -Marianne ! » lança-t-il en se redressant progressivement pour lui faire face. Sans trop savoir pourquoi et sans réfléchir, il se rua sur elle pour la serrer dans ses bras. « -Je ne comprends pas ! » lâcha-t-il dans un murmure. Puis il se décolla d'elle, les deux anciens amants se retrouvèrent donc tout deux, face aux pierres tombales. La belle Marianne sembla arborer un tout autre regard en découvrant sa pierre tombale puis elle délivra quelques mots qui étayèrent la curiosité de son époux. « -Je suppose que si elles sont encore debout, c'est parce que la personne est…coincée ici » Elle acquiesça tristement, Robin lui prit alors la main et la serra dans la sienne. « -Et qu'en est-il de celles qui sont abîmées comme celle de ma mère ? » osa-t-il demander, craignant déjà la réponse de son premier amour qui arbora une gravité encore plus profonde. « -Ces âmes ne sont pas en paix Robin ! » L'archer serra la mâchoire et posa à nouveau son regard d'acier sur la tombe de son père. « -Je l'ai sauvé, c'est ça ?! » dit-il avant que Marianne acquiesce. « -Tant pis pour celle qui m'a donné le jour. J'imagine qu'elle la cherchée » Marianne fut outré par les propose de Robin et n'hésita pas à le faire savoir, se demandant ce qui était arrivé à son archer pour qu'il soit aussi dur.
« -Je ne contrôle plus mes émotions, plus rien d'ailleurs» La réplique à peine commencée s'achève brusquement avec l'arrivée de Rozen est de Mushu toujours jonché sur son épaule. La demoiselle ne prend aucune pincette en s'adressant à l'épouse de Robin, ce qui sembla l'agacer sur le moment « -C'est Marianne Rozen. Je sais que tu t'en fous, mais fais au moins un effort ! » Mais il en fallait bien plus pour désarçonner « la vraie » Marianne qui le sourire aux lèvres consentit à délivrer d'autres informations au trio. « -Marianne, ce n'est pas Hadès, c'est juste un faux. Tu n'as pas à t'en faire. Quant au pourquoi du comment, nous n'en savons trop rien. Ca a commencé par une musique et nous voilà ici. Sommes-nous les seuls ? Aurais-tu par hasard croisé d'autres personnes dans notre situation ? » L'hésitation était palpable trop pour que cela n'interroge point l'archer. « -J'ai croisé un autre groupe. Elle y était ! »
« -Qui ça ? »
« -Celle qui prétend vouloir sauver les autres. Est-ce que c'est vrai ? Tu l'aimes ? »
« -Regina ? »
« -La méchante reine oui ! » Robin se sentit mal à l'aise face à cette vraie Marianne, mais le temps des explications n'étaient pas pour maintenant, il fallait avancer à présent, et ce, malgré les difficultés à venir. « -Où sont-ils ? »
« -Je crois que le petit groupe a rejoint la bibliothèque à l'heure qu'il est ! » Robin posa alors son regard sur Rozen et Mushu. « -Je ne sais pas ce que vous comptez faire, mais moi, je ne vais pas rester ici. Je vais à la bibliothèque ! » Et sans attendre, l'archer tourna les talons pour prendre la direction de la bibliothèque espérant toutefois que Rozen et Mushu se décident à le suivre.
De retour dans la rue, Robin entend le bruit de l'horloge qui se met à sonner deux fois, la deuxième fois est un son forcé et dissonant. La métamorphose des rues continue, effaçant petit à petit les différences entre la copie et la ville d'origine. Les rues sont désertes, ce qui rend visible qu'au loin, la foule s'amasse autour de l'horloge et de la bibliothèque que l'archer cherche à atteindre.
vos choix :
lancer un dé 6 pour fouiller les lieux, ou continuer votre route. lancer un dé oui-non pour parler à Marianne (pour Mushu et Rozen) ou à John (pour James et Hayden).
Vous pouvez lancer les deux types de dés si vous souhaitez combiner les deux actions.
L'heure était grave. Rozen n'avait réagi à aucune de ces tentatives de piquer sa curiosité. Elle qui, d'ordinaire, réagissait au quart de tour. Pire, elle s'était mise à parler toute seule et une fumée s'était échappée de ces lèvres. Il n'en fallut pas plus pour que son inquiétude ne se transforme en panique. Le simulacre de procès qu'ils avaient subis avait souligné son incompétence en tant que gardien, s'il arrivait quelque chose à Rozen... Heureusement, elle ouvrit les yeux (qui n'était plus entièrement noir) avant qu'il ne termine cette sombre pensée. Le petit dragon poussa un soupir de soulagement, même si la déclaration qui suivit était loin de le rassurer complètement. S'y habituer ? Rien d'affolant ? Mouais. "Il y a une grosse différence entre vaguement évoquer le sujet et une démonstration." Bougonna-t-il. Il se rendit compte que sa phrase pouvait être perçue de deux façons différentes. "J'ai eu peur pour toi, pas de toi." Précisa-t-il en lui touchant le mollet (avec sa taille, il ne pouvait pas espérer toucher autre chose), appuyant sur le 'pour' afin de faire comprendre la nuance.
Il lui avait semblé voir au loin la silhouette de son ancien protégé. Toutefois, Mushu ne fit rien, ne voulant pas laisser son amie toute seule. Ce n'était certainement que sa culpabilité qui lui jouait des tours ! Il avait eu sa chance avec Zhen, et s'était foiré en beaucoup. Inutile de remuer le couteau dans la plaie alors que l'attitude de Rozen continuait de l'inquiéter.
La pauvre, elle avait reçu une grosse information à digérer. Tout ça à cause de ce stupide juge, de ce stupide cimetière. Il essaya de trouver une explication. Plusieurs lui vinrent à l'esprit. Son amie lui déclara sèchement qu'elle ne voulait pas en parler. En d'autres circonstances, il aurait insisté. Ce n'était pas bon de ruminer ce genre de choses. Il aurait dit qu'il était bien placé pour parler d'abandon de parents, elle devait le savoir. Rozen était la seule personne a qui il avait avoué pour ces parents qui l'avaient chassé lorsqu'il était devenu un dragon. Cependant, il garda ces remarques pour lui. Ils n'étaient pas chez eux, en sécurité. Ils étaient aux Enfers, en territoire potentiellement hostile et sans un début d'idée pour rentrer. L'idée de redevenir humain lui frôla l'esprit. C'était curieux d'avoir cherché à retrouver sa forme actuelle durant des mois et, maintenant qu'il y était enfin arrivé, chercher à redevenir comme avant. Le plus bizarre, c'est qu'il avait secrètement la trouille d'être de nouveau bloqué en mini-dragon.
Avant qu'il ne puisse faire une tentative, Rozen le prit pour le serrer contre elle, comme s'il était une peluche. Mushu ne fit aucun geste, ne dit aucun mot pour protester. Il lui tapota doucement le bras, pour lui signaler qu'il serait là si jamais elle veut en parler. Bien que la pression menaçait de le gêner à respirer, il ne fit aucun commentaire et continua de jouer son rôle de doudou, ne sachant pas quoi faire plus pour aider son amie.
Du moins jusqu'à ce que Robin se montre un peu trop sec avec sa Rozie. "Hey, tu descends d'un ton avec elle ! On traverse tous un moment difficile, alors ce n'est pas l'heure de se bouffer mutuellement le nez !" Protesta-t-il, sous l'étonnement de la dénommer Marianne qui avait certainement cru qu'il était un jouet (ce qui était vexant même si compréhensible).
S'en suivit un échange entre les deux tourtereaux durant lequel ils découvrirent ne pas être le seul groupe de vivant ici. Robin déclara aller à la bibliothèque. Presque après, il entendit deux sons provenant de l'horloge de la ville. Le premier sonnait presque comme une confirmation que l'archer avait vu juste concernant leur prochaine destination, mais la deuxième faisait froid dans le dos. Mushu leva la tête vers Rozen pour voir l'effet de la nouvelle sur son amie. "Ça me tu... Ça me fait mal de le dire, mais Robin a raison. Si les autres sont là-bas, ils ont peut-être trouvé un moyen de partir d'ici." Avoua-t-il à contrecœur après avoir corrigé sa tournure de phrase, afin de ne pas dire 'ça me tue de le dire' dans un endroit pareil. "Mais je ne ferais rien sans toi." Conclut-il, au cas où Rozen avait une autre idée en tête.
Marianne regarda s'éloigner son mari, le regard lourd d'inquiétude. Elle faillit glissée un mot à l'intention de Rozen et Mushu, mais réalisa qu'elle était mal placé pour faire une demande auprès de deux étrangers.
Au même moment, l'horloge de la ville sonne de nouveau, de manière bien plus forte que les autres fois, suivit d'une nouvelle onde de choc semblable à celle marquant la fin de la malédiction, mais en beaucoup plus puissant.
vos choix :
lancer un dé 6 pour fouiller les lieux, ou continuer votre route. lancer un dé oui-non pour parler à Marianne (pour Mushu et Rozen) ou à John (pour James et Hayden).
Vous pouvez lancer les deux types de dés si vous souhaitez combiner les deux actions.
Tu soupires, il n’a pas tord, pas du tout. Mais t'a pas vraiment l’esprit pour discutailler du pourquoi du comment de ton nouveau visage. En attendant il se contentera de ce que tu lui réponds, tu espères juste qu’il ne le prendra pas trop mal. Cette fois c’est lui qui s’inquiète pour toi ta réchauffe le cœur, même si ce n’est pas la première fois qu’il t’avoue -sans pour autant le dire- ce genre de choses, comme chez Cly par exemple. Une fois dans tes bras, tu ne le lâches plus le sentir contre toi-même sous cette forme, te rassures et compense ton mal aise. Pourtant malgré toi, tu ne te sens pas étrangère à ce monde, contrairement aux autres qui se sentent loin de chez eux, tu as un sentiment de confort et de nostalgie. Tu te figes alors que Robin s’emporte pour une broutille de prénom, tu ne prends même pas la peine de lui répondre. À quoi bon il est inutile de se chamailler tu voudrais dire qu’il n’en valait pas la peine mais tu ne fais que serrer Mushu contre toi le laissant prendre la parole pour te défendre. Avec tout ça cette Marina ne ta toujours pas dit comment sortir d’ici. La bibliothèque, pourquoi la bibliothèque ? En plus Régina se trouve aussi ici. La barbe, à tous les coups le groupe de super-héros de la ville s'est engouffré dans cette histoire pour « sauver » les pauvres désespérés que vous êtes.
Rien qu’en y pensant ça t’agaces déjà, tu entends déjà les grands discours de la reine de Storybrooke et sa clique de chevalier servant. Avançant tu décides malgré tout de suivre l’archer pour la bibliothèque « on a que ça à faire de toute façon » tu remontes ton shushu contre ton visage pour poser ton menton sur son crâne « Je ne veux pas qu’on sépare non plus, j’ai des impressions bizarre ici… » Tu entends aussi l’horloge sonné, mais pourquoi ça serait étrange pour une horloge de sonner ? Et en plus en enfer donc évidemment que ce doit avoir un bruit bizarre….non ? Bref, cpas le moment de faire des réflexions casse-tête. Suivant le mouvement tu repars en ville plus ca va plus tu ne fais pas la différence avec le vrai Storybrooke. Tu dévisages les gens que tu vois. « Tu vas sûrement trouver ça bizarre …. Mais …. Ce n’est pas si moche ici en fait » vos pas vous amènes rapidement devant l’établissement qui semble attirer tout le monde en ce moment. Tu suis le roi des voleurs et entres dans la bibliothèque « c’est une blague… » Tu restes figée comme une moule à son rocher *c’est marrant tout ce monde* levant les yeux au ciel tu t’attendais pas à voir autant de Storibrookiens ici.
Lors de ma discussion avec John, je lui confiais qu’une musique étrange s’était élevée au loin avant que nous ne nous réveillions au tribunal. A cette annonce, mon ami semblait un peu attristé. Il ne savait pas d’où cette musique pouvait bien provenir ou ce qu’elle pouvait bien signifier. Cependant à force de réflexion, il se souvint d’une histoire qu’il avait entendu à propos d’une jeune femme et de son musicien qui venait à son secours. Et si c’était cela l’explication de cette étrange mélodie ?
John portait à présent son attention vers le faux Hadès. Il lui annonça humblement que la jeune femme avait été emportée par Cerbère, le fameux chien à trois têtes des Enfers. A cette annonce, je vis la mine de mon ami se transformer. Tout semblait indiquer qu’il savait de quoi l’homme voulait parler. Se tournant dans ma direction, il m’annonça que ces enfantillages devaient cesser. Il était à présent temps de rejoindre sa fameuse salle de condamnation. Une dernière fois, je me tournais vers John, posant une main rassurante sur son épaule. « Je vous remercie pour tout ce que vous avez fait pour moi, mon ami ! Je sais que vous avez tout fait pour m’aider et je vous assure que vous n’avez rien à vous reprocher ! ». Puis, m’abaissant un peu vers lui, je murmurais à son oreille. « Je vous assure que tout se passera bien pour moi. Faites-moi confiance ! ».
Puis, sans un mot, je suivis James qui marchait d’un bon pas jusqu’à la bibliothèque. C’était là que se situerait notre dernière destination. En arrivant, nous nous retrouvions aux côtés de cette fameuse horloge qui selon les dires des habitants des Enfers se comportait de manière si étrange. Entendre les deux coups me donna littéralement froid dans le dos. Une foule immense s’était alors rassemblée devant le bâtiment. Cependant, la métamorphose de James faisant toujours effet, nous permis de nous frayer un chemin très facilement parmi ces personnes. C’est alors que nous retrouvions nos anciens camarades condamnés et nous pénétrions ensemble dans la bibliothèque où je fus extrêmement surpris de voir tant de visages connus originaire tout comme nous de Storybrooke.
Je n’eus cependant pas le temps de me concentrer sur ces derniers car je sentis une nouvelle fois un coup puissant donné dans mon estomac. C’était le sérum qui agissait encore et je vacillais encore une fois entre Jekyll et Hyde.
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Mer 6 Sep - 15:05
Lors de ma discussion avec John, je lui confiais qu’une musique étrange s’était élevée au loin avant que nous ne nous réveillions au tribunal. A cette annonce, mon ami semblait un peu attristé. Il ne savait pas d’où cette musique pouvait bien provenir ou ce qu’elle pouvait bien signifier. Cependant à force de réflexion, il se souvint d’une histoire qu’il avait entendu à propos d’une jeune femme et de son musicien qui venait à son secours. Et si c’était cela l’explication de cette étrange mélodie ?
