Il demeure obligatoire. Cependant, si vous n'avez pas rp pour le mois en cours il vous est possible de recenser une absence.
Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
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L'étonnement passé, l'amertume revient en force auprès du premier protégé de Mushu. "Tes excuses viennent trop tard, Mushu. Un siècle, trop tard." Cracha-t-il. "J'ai eu la tête coupé pour avoir cru à tes jolies paroles. Je ne referais pas la même erreur."
La balance s'affaisse encore d'avantage pour la plus grande satisfaction du public.
Vos choix : Vous pouvez essayer de calmer la rancune de ces témoins, imposer votre point de vue ou bien essayer de fuir (la force sera nécessaire dans ce dernier cas).
Changement de dés : Vous devez lancer un dé oui-non. Un oui fera pencher la balance en votre faveur, un non alourdira le verdict. Au bout de dix oui, le procès se terminera et le juge rendra son verdict.
Tu suis attentivement l’intervention de chacun, avec plus ou moins d’importance selon la personne. Tu regardes Hayden froidement, aujourd’hui tu ne l’as dit à personne. Mais tu comptes bien faire payer ce qu’il a fait à Juliette au centuple, quitte à le détruire sur place. Tu sors de tes pensées lorsque James s’incruste dans ta bulle. Il enfonce le couteau sur le fait qu’ici point d’avocat pour faire vos éloges, on doit s’en charger seul. Et tu comptes bien mettre le paquet, par ce qu’ici tu es loin d’être la plus criminelle des personnes. En attendant ton tour de parole tu regardes discrètement ton Shushu totalement bousculé par cette personne revenant l’accuser de tous ses maux. Te pinçant les lèvres tu veux lui prendre la main discrètement pour le soutenir et pour lui montrer que tu es là pour lui, mais il se lève à ce moment précis, tu détournes le regard comme si de rien n’était espérant que personne n’est vue le vent que tu t’es pris. Le procès n’est pas du tout en votre faveur, et ce n’est pas les arguments de Robin qui penche en votre faveur. Tu souris en le voyant prendre ta défense mais tu sais très bien ce qu’il s’est passé, tu t’es largement amusée à faire souffrir ses soldats, mais pas pour le plaisir mais pour leur faire payer leurs crimes. En ce qui concerne charlotte … C’est ce que l’on peu appeler un dommage collatéral. Tu inspires et mets en forme ton argument choc, qui à ce moment précis est totalement flou et en bazar. Pendant que Mushu et Robin s’appliquent à faire peser la balance dans votre sens tu la vois descendre petit à petit. Ce n’est pas bon, pas bon du tout !
Mushu se rassoit et tu écoutes les paroles tranchantes de Se chinois dont tu n’as pas retenu le nom, tu vois l’attitude de Mushu changer, tu comprends qu’il n’est pas dans son assiette et cette fois tu te fiche des regards possible et viens lui saisir la main fermement sans dire un mot, tu ne veux pas qu’il se pose de question alors tu ne croises pas son regard tout de suite levant la main aussi rapide qu’un ressort tu enchaînes sur les paroles de l’autre Asiat. « Je veux parler moi aussi, je ne sais pas ce qu’il s’est passé entre toi es Sh…Mushu, mais je sais une chose, c’est la personne qui met en avant son rôle de gardien autant qu’un mannequin sur sa maigreur je veux dire par là que c’est sa plus grande fierté et si t’es mort, paix a ton âme, ce n’est sûrement pas de sa faute, mais de la tienne, parfois faut assumer ses travers, et ses erreurs en face, c’est ce que je vais faire. » Regardant Robin tu lui envoi un clin d’œil tu espères ne pas le décevoir en avouant tes fautes après son intervention en ta faveur. « J’ai en effet causé la mort à des gens, Mireille était présente, mais ce n’était qu’un dommage à l’écart, je n’avais rien contre elle en particulier. En plus …. » La fixant comme une vraie tueuse
« Tu parles beaucoup mais tu devrais t’écraser Josiane, n’oublies pas que même si je suis sur le banc des accusés tu n’es pas si blanche que ça, dois je mettre en avant tes torts ? OUI évidemment, alors attend, d'un, tu as alimenté les jeux de morts et de prostitution du Prince de cet Oasis en assistant avec le plus grand des plaisirs à chacune de ses représentations de ce qu’il appelle « spectacle » ou des innocents choisie dans la rue ou pour la joie de les voir souffrir s’affrontent jusqu'à la mort. De deux, tu es complice de la mort de pauvre gens, femme, enfants pour affaiblir certaines vendettas de ses même personne qui m’ont aidées à renverser cette dictature. Ensuite parlons de ce monstre que tu juges horrible, n’oublier pas que ce sont des gens comme toi Suzette qui les à rendu aussi monstrueux sans cœur et sans âmes à pouvoir user de sadisme sur des personnes faibles pour s’amuser. J’ai juste permis à ces « monstres » de se repentir dans une nouvelle forme et une nouvelle vie, quand j’ai quitté la ville il a été formaté pour veiller sur les habitants et protéger la ville de gens sans cœur comme Gorgette ici présente, et pour finir techniquement je n’ai tué personne, ils sont toujours vivants ! Mais sous une autre forme. Elle ….Elle avait qu’à courir plus vite, elle était au mauvais endroit au mauvais moment. Voilà, j’ai fini. »
Difficile de dire qui est le plus outré entre Zhen et 'chantal/josianne/suzette/etc' par l'intervention de Rozen.
"Tu n'as donc rien écouté et tu oses donner ton avis." Rétorqua Zhen sur un ton dédaigneux. "Tu devrais pourtant, ce 'gardien' a porté malheur à tout ses protégés, tu seras peut-être la prochaine."
Il n'eut pas le temps de développer, car 'Mireille' s'extasia face à la déclaration de Rozen. "Elle avoue ! Plus besoin de la balance, Monsieur Le Juge." Elle déchanta vite lorsque Rozen fit la liste de ces torts. 'Mireille' joua à la diva angélique au courant de rien, jusqu'au moment où la balance s’affaissa de nouveau. À ce moment-là, elle arrêta de jouer les saintes-nitouches. "Sauf que ce n'est pas mon procès, petite cruche. La balance a parlé, vos pathétiques tentatives ne tromperont personne." Déclara-t-elle avec une joie mauvaise. Elle se tourna vers le Juge pour obtenir son appui, mais ce dernier ne quittait pas des yeux la balance. Le Juge se frottait le menton en plissant les yeux, comme s'il soupçonnait que quelque chose n'allait pas.
"Prochain accusé, la parole est à vous." déclara-t-il tout de même en reportant son attention sur James.
Vos choix : Vous pouvez essayer de calmer la rancune de ces témoins, imposer votre point de vue ou bien essayer de fuir (la force sera nécessaire dans ce dernier cas).
Changement de dés : Vous devez lancer un dé oui-non. Un oui fera pencher la balance en votre faveur, un non alourdira le verdict. Au bout de dix oui, le procès se terminera et le juge rendra son verdict.
La balance penche de nouveau en défaveur des coupables. Le Juge pousse un soupir las. "N'y a-t-il personne qui puisse témoigner en votre faveur ?" Demanda-t-il, ce qui éveilla des protestations dans les rangs des victimes. "Monsieur le Juge ! De quel côté êtes-vous ?" S'offusqua un des témoins. "Un juge se doit d'être neutre et s'assurer que le procès soit équitable, or ce procès prend des allures de lynchage public." Répliqua-t-il sans hésitation avec un regard qui laissait clairement comprendre qu'il ne tolérera plus aucune remarque sur sa matière de traité cette affaire. "Poursuivons." Fit-il avec un geste d'invitation en direction d'Hayden.
Vos choix : Vous pouvez essayer de calmer la rancune de ces témoins, appelez des témoins qui pourront témoigner en votre faveur (du moment qu'il reste plausible qu'ils soient à underbrooke), imposer votre point de vue ou bien essayer de fuir (la force sera nécessaire dans ce dernier cas).
Changement de dés : Vous devez lancer un dé oui-non. Un oui fera pencher la balance en votre faveur, un non alourdira le verdict. Au bout de dix oui, le procès se terminera et le juge rendra son verdict.
Durant les premières minutes de ma confrontation avec ce cher William, je n’avais cessé de laisser mon regard plongé dans le sien. Sans broncher, j’avais déclaré la Vérité et me sentais prêt à en subir les conséquences. Plaider ma culpabilité sans chercher à me défendre n’était pas dans ma nature, cependant c’était peut-être dans celle de Henry Ravenswood qui avait pensé ces mots avec la plus pure sincérité à chaque fois qu’il s’était plié à la volonté de Belzébuth avec un profond regret. Arrêtant de soutenir le regard de mon ami après ces propos, je portais mon attention vers le juge qui bien sûr refusa de se plier ma requête ! Faire venir un démon dans cette Cour aurait été une absurdité sans nom. A ces paroles, je ne pus m’empêcher de jeter un regard vers James. Pas de démons au tribunal, vraiment ? Le roi Richard affirma que la véracité de mes propos serait prouvée très rapidement…. Oh oui et elle le serait plus vite qu’il ne le pensait !
Je m’étais alors rassi sur le banc des accusés alors que l’on amenait la balance des âmes dans la Cour. Cette arrivée provoqua une vague d’honnêteté parmi les accusés. Des sermons qui malheureusement ne pesèrent pas bien lourd dans la balance. Lorsque cela fut enfin à mon tour de parler, je me relevais de mon banc et m’adressais une dernière fois à mon ami. Soupirant légèrement, je relevais mon regard vers lui. « Crois-tu vraiment que je n’aie pas eu le temps de le regretter en un siècle de malédiction ? Penses-tu que les images de vos corps sans vie ne me hantent pas toutes les nuits ? Je suis déjà mort William… je me suis auto-détruit à chaque nouvelle victime ! Ce que tu as devant tes yeux n’est plus qu’un fantôme, l’ombre de lui-même… et si aujourd’hui je plaide coupable, c’est peut-être dans l’espoir fou que vous pourrez enfin obtenir justice ! ».
Je me tournais à nouveau vers le juge avec détermination. « Mais je ne serais pas condamné sans avoir fait entendre ma voix auparavant... au moins une dernière fois ! Je ne pourrais pas laver le sang que j'ai sur les mains, votre honneur, mais je peux vous prouver que j'ai été le jouet de forces obscures. Je demande à ce que Madame Leota soit appelée à la barre des témoins. » Madame Leota était la sorcière de la ville de Thunder Mesa, la diablesse qui m’avait fait tombé dans un piège en invoquant le démon Belzébuth pour qu’il vienne me débarrasser de mon envahissant futur beau-fils. Si j’étais pleinement responsable de la volonté de voir disparaître le jeune homme, en revanche je n’étais pas le seul responsable de mes 999 crimes, dont celui de mon cher William !
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Dernière édition par Hayden L. Ravenswood le Ven 11 Aoû - 13:56, édité 8 fois
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Jeu 10 Aoû - 16:52
Durant les premières minutes de ma confrontation avec ce cher William, je n’avais cessé de laisser mon regard plongé dans le sien. Sans broncher, j’avais déclaré la Vérité et me sentais prêt à en subir les conséquences. Plaider ma culpabilité sans chercher à me défendre n’était pas dans ma nature, cependant c’était peut-être dans celle de Henry Ravenswood qui avait pensé ces mots avec la plus pure sincérité à chaque fois qu’il s’était plié à la volonté de Belzébuth avec un profond regret. Arrêtant de soutenir le regard de mon ami après ces propos, je portais mon attention vers le juge qui bien sûr refusa de se plier ma requête ! Faire venir un démon dans cette Cour aurait été une absurdité sans nom. A ces paroles, je ne pus m’empêcher de jeter un regard vers James. Pas de démons au tribunal, vraiment ? Le roi Richard affirma que la véracité de mes propos serait prouvée très rapidement…. Oh oui et elle le serait plus vite qu’il ne le pensait !
