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Nouvelles têtes
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Le calendrier de l'avent
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Depuis sa traversée d’un monde à l’autre, pour atterrir à Storybrooke, Elizabeth avait fini par se faire à sa nouvelle vie. Du moins, le plus possible. Le plus dur pour elle restait la technologie. Les relations entre les gens avaient évolué, la façon de parler sans parler ces couples ensemble sans forcément être mariés. Mais tout ce qui trait de la technologie restait parfois nébuleux à ses yeux. Macaria lui avait refilait un portable en plus de son boulot de serveuse. Un portable dont Lizzie ne se servait jamais. Elle savait juste accepter un appel en faisant glisser son doigt sur l’écran. Et déverrouiller bien entendu tout comme le mettre en charge. Le reste était encore un mystère. Il fallait dire qu’elle n’avait pas non plus chercher à en savoir plus. Elle qui aimait tant écrire, les lettres lui manquaient. Ecrire sur du beau papier c’était son truc ça. Elle avait entendu dire au détour d’une conversation chez Granny, son lieu de travail, que les jeunes avaient tendance à de plus en plus mal écrire. La faute aux messages envoyés sur les portables, les messages étant écrit en espèce de code… Pauvre jeunesse. Actuellement en plein service chez Granny, Lizzie allait et venait entre les différentes tables pour servir les clients. On ne pouvait pas dire qu’elle aimait ce job mais, au moins, ça lui faisait de l’argent pour payer son loyer et les factures qui arrivaient doucement dans la boite aux lettres. Aujourd’hui, elle n’avait pu s’empêcher de remarquer qu’une ambiance particulière régnait chez les habitants. Surtout chez les demoiselles. Ca parlait d’amour, de lettres. Lizzie, elle, n’était au courant de rien à l’habitude. Si une quelconque information avait été donnée à la télévision, il était évident qu’elle ne l’avait pas entendue. La télévision, elle ne regardait pas. Ca non plus, c’était pas son fort. Pour en revenir à la petite agitation, Lizzie eut bien vite sa réponse. Et cela lui vint du journal posé sur le comptoir. Page spéciale Courier du cœur. Elle le parcouru rapidement du regard et finit par tomber sur deux mots qui attirèrent encore plus son attention. Miss Bennet Jusqu’à preuve du contraire, c’était elle la seule Bennet en ville. C’était pour elle alors, non ? Ayant servis tous les clients, la jeune femme prit le journal en main et commença à lire le passage qui semblait lui être destiné. Et au fil de sa lecture, effectivement, le destinataire n’était autre qu’elle-même. Et l’auteur de ce mot devait être Darcy ? Fitz Darcy. Sur le coup, elle ne sut vraiment comment réagir. Il était clair qu’à la lecture de ce mot, son cœur avait eut des petits ratés. La lettre était joliment rédigée et il y avait des sentiments. Ca se sentait. Les sentiments de Darcy à son égard n’avaient pas changé à croire et quant aux siens à elle… Elle n’avait pas envie de le perdre une nouvelle fois, c’était clair. Elle n’avait pas envie qu’il s’en aille encore loin d’elle. Le savoir auprès d’elle, c’était une source de joie au fond. L’orgueil un temps soit peu ravalé, miss Bennet se décida de lui répondre à la fin de son service. Cependant, une fois son job terminé, elle se rendit compte qu’elle ne pouvait lui répondre de la même manière. Il n’aurait pas la réponse de suite et, qui plus est, elle avait envie de le surprendre. Avec un peu de chance, il sera encore chez lui, il ne sera pas encore parti. Par chance, elle savait où Darcy résidait. Elle avait mené sa petite enquête et ce fut d’un pas rapide qu’elle se rendit jusque chez lui où elle toqua à la porte. Comme dans l’autre monde. Une vieille habitude. La sonnette, au diable. Ce fut les secondes les plus longues qu’elle eut à attendre depuis bien longtemps. Tant et si bien que lorsque la porte s’ouvrit, laissant apparaître Darcy, elle poussa un léger soupir de soulagement. Elle ne lui laissa nullement le temps de dire quoique ce soit. Prenant son courage à deux mains – les femmes faire le premier pas en matière de baiser, cela semblait être devenu commun maintenant -, elle réduit l’espace entre elle et lui et posa ses lèvres sur les siennes pour un rapide baiser. Elle allait quand même pas y aller franco quand même… «Vous répondre avec du papier aurait pris plus de temps je crois. » se contenta-elle de dire, attendant une réaction du principal intéressé.
La matinée avait été aussi tranquille au cabinet. J'avais travaillé sur une demande de divorce de la part d'un couple qui visiblement n'avait plus grand chose à se dire. C'était le plus triste dans mon métier. Voir des histoires se terminer. Cela me serrait toujours un peu le cœur. Ensuite j'avais eu un rendez-vous pour un héritage. Là aussi c'était difficile. Les frères et sœurs se déchiraient pour une demeure qui ne valait pas grand chose mais qui leur tenait visiblement à cœur. C'était difficile. Je me demandais si nous ferions pareil mes frères et sœurs si jamais mon père mourrait. Enfin, il faudrait surtout que mon père puisse mourir et ça ce n'était pas gagné du tout. Enfin ça me faisait de la peine de repenser à ma famille. Personne n'avait pris de mes nouvelles depuis mon bannissement. Je ne pouvais pas prendre de nouvelles d'eux mais aucun d'entre eux n'avait fait la démarche de venir me demander ou même vérifier si j'étais encore en vie.
L'après midi avait été plus calme émotionnellement parlant. Je n'avais pas quitté mon travail pour aller manger. J'avais préféré me faire livrer une pizza pour le midi afin de finir un dossier d'adoption important à mes yeux. Je continuais à bosser comme ça jusqu'à ce que mon téléphone me rappelle qu'il était déjà dix sept heures et qu'il était temps de rentrer chez moi. J'appelais un taxi afin qu'il me ramène chez moi. J'attendais devant la porte de mon cabinet puis je grimpais dans le taxi. Je n'en descendais que lorsque le chauffeur me dit que nous étions arrivés. Je le payais et je rentrais dans ma demeure.
Une fois à l'intérieur de ma maison, je me dirigeais vers ma chambre afin de prendre des affaires pour me changer. C'était un rituel depuis mon arrivée à Storybrooke. Dès que je rentrais chez moi j'allais prendre de nouvelles affaires et je prenais une douche. C'est ce que je fis d'ailleurs. Je me détendais sous l'eau chaude puis je sortais de la douche, je me séchais et j'enfilais juste un pantalon de costume noir et une chemise blanche. Quelque chose de très sobre mais qui me ressemblait quand même énormément.
Je prenais un livre en brail et je m'installais dans mon canapé mais je n'eus pas le temps de lire une seule phrase de mon bouquin que quelqu'un toqua à ma porte. Je me levais, prenais ma cane blanche et je m'avançais vers la porte. Je l'ouvrais et j'allais parler mais j'entendis tout de suite la voix de Elizabeth et je sentis d'un coup ses lèvres sur les miennes. Mon cerveau comprit que ma Lizzie réagissait comme cela à mon mot dans le journal. J'avais eu une bonne idée quand même. Je souriais un peu bêtement tandis que je m'humectais mes lèvres comme pour me rappeler encore plus le goût des lèvres de la demoiselle.
« En effet ça aurait été plus long. »
Je ne m'étais clairement pas attendu à une visite surprise de la part de Elizabeth Bennet. Enfin je m'étais attendu à une réaction de sa part mais pas une comme ça. Je ne dis pas que cela ne m'a pas plut je devais même me retenir de ne pas lui sauter dessus mais je m'étais attendu à ce qu'elle me crie dessus ou à ce qu'elle ne rabroue comme la dernière fois. Au lieu de cela elle m'avait embrassé. Un baiser fugace mais un baiser quand même. Je passais mes doigts sur mes lèvres et je souriais bêtement. Je ne pus m'empêcher de lui demander :
« Dois-je en conclure que vous voulez bien... Sortir avec moi ? »
J'avais toujours mes mains sur mon visage puis je me décidais à l’entraîner à l'intérieur de ma demeure afin d'être à l'abri des regards indiscrets. Une fois à l'intérieur, je m'approchais d'elle et je prenais son visage entre mes mains et je l'embrassais tendrement. Je n'avais pas attendu sa réponse c'est juste que j'en avais envie et puis je voulais en profiter un peu si jamais c'était un adieu. De plus l'embrasser réveillait de vieux pouvoirs en moi... Et c'était grisant.
Si son père ou sa sœur la voyaient en cet instant, ils en seraient bien surpris. Elle, Elizabeth Bennet à faire le premier pas envers un homme. Elle, l’orgueilleuse à embrasser Monsieur Darcy de son plein grès à peine avait-il ouvert la porte. Quant à sa belle-mère… Ah, celle-là, Elizabeth n’avait jamais réussi à la porter dans son cœur totalement. Il fallait dire que cette femme, c’était un spécimen à elle toute seule. Une femme qui n’avait qu’une seule ambition dans la vie : trouver un bon parti pour chacune des filles. Lizzie se souvenait parfaitement de cette fois où sa belle-mère l’avait ordonner d’épouser Monsieur Collins. Un homme totalement …. Totalement quoi d’abord ? La jeune femme n’avait pas trouvé de qualificatif négatif adéquat pour lui en plus. Lizzie s’était refusée à accepter la demande en mariage de ce type et Madame Bennet en avait été assez mauvaise. Heureusement, le père de Lizzie était resté du côté de sa fille bien aimée. Au moins dans l’époqe actuelle dans laquelle elle vivait, il ne semblait plus y avoir de mariages arrangés, de mariages uniquement pour de l’argent. Ca lui ferait bien étrange à sa belle-mère… Pour en revenir à ce Monsieur Darcy, il avait bien fallu du temps à Elizabeth pour réaliser la véritable nature de ses sentiments pour cet homme. Et également du temps pour lui pardonner – quasi rien du tout en fait – et ravaler son orgueil tout au fond d’elle. Quand Darcy ouvrit la porte, elle ne prononça qu’une simple phrase pour justifier sa présence chez lui ainsi que le geste qu’elle venait de faire, le baiser qu’elle venait de lui donner. Elle n’avait guère besoin d’en dire plus, elle n’avait plus qu’à attendre sa réaction. Tout en attendant, elle se permit de le regarder un peu plus le Fitz Darcy. Toujours bien habillé, comme en toutes occasions. Le pantalon noir, la chemise blanche… C’était bien lui, ça le reflétait sa personnalité. Au début, Fitz ne dit rien, s’humectant les lèvres, c’était facile à voir. Et puis, il parla enfin, soulageant un peu Elizabeth. « En effet ça aurait été plus long » Nullement mauvais de ce baiser, c’était un très bon point pour la jeune femme. Elle ne semblait pas se prendre un vent, un râteau comme elle avait pu lui mettre à lui à une autre époque. Son air surpris ne l’avait toujours pas quitté, et Lizzie jouait avec ses mains, ne sachant pas vraiment quoi faire en cet instant. C’était à lui de parler non ? De dire quelque chose ? Ou devait-elle se justifier ? Devait-elle encore l’embrasser ? Lui dire qu’elle était désolée pour toute l’histoire qu’elle avait pu causer ? « Dois-je en conclure que vous voulez bien…Sortir avec moi ? » la bouche de la Bennet s’entrouvrit comme pour commencer à répondre mais les mains de Darcy quittèrent ses lèvres à lui et elle se retrouva entrainée à l’intérieur de la demeure du jeune homme. Elle n’avait toujours pas répondu à la question de Fitz et ce dernier n’allait pas lui en donner encore l’occasion. Elle sentit les mains de Darcy se poser sur son visage et, l’instant d’après, il l’embrassait. Un tendre baiser. Un baiser un peu comme elle en avait rêvait dans ses rêves de petite fille. Elle le lui rendit timidement son baiser avant de rompre le contact, prenant la parole. « Je ne me laisse pas embrasser par n’importe quoi vous savez… Donc oui, je veux bien sortir avec vous. J’accepte d’être … comment dit-on déjà… votre petite amie. » Elle sourit, ravie également de s’être souvenue du terme utilisé à cette époque. « Et quelle chance vous avez ! Vous n’avez nullement besoin de demander l’accord à mon père pour me courtiser, sortir avec moi. Monsieur Darcy, vous avez vraiment choisi une bien belle époque. Du moins, au niveau des romances. »
Elizabeth me dit que j’avais de la chance d’être à Storybrooke, que je n’aurais pour le coup pas besoin d’affronter son père… Pensait-elle que j’aurai fuis si j’avais dû voir Monsieur Bennett ? C’était bien mal me connaître. Je ne lui en voulais cependant pas. Elle ne me connaissait pas encore très bien. Le temps renforcerait notre couple j’en étais certain.
« Une chance ce n'est pas certain. Je suis certain que j'aurai réussi à convaincre votre père. »
Je souriais. Je suis certain que Monsieur Bennett aurait accepté ma requête mais qu’il se serait assuré avant des sentiments de Lizzie à mon égard. Je posais mes doigts sur son visage comme je le faisais depuis ma cécité afin de garder un souvenir du moment présent. Il était important pour moi de garder ce moment en mémoire.
« Que me vaut ce retournement de situation ? Qu'est-ce que j'ai fait pour que vous me pardonniez ? »
Je ne m’en plaignais pas bien entendu mais ce retournement de situation avait le don de me rendre assez perplexe. Je me demandais au fond de moi si elle n’allait pas revenir sur sa décision. Non, j’étais idiot. Elizabeth n’était pas le genre de femme à revenir sur une décision. Sauf qu’elle venait de le faire pour moi. Mais peut être qu’elle m’aimait alors. Alors que je sentais mes yeux me piquer, je retirais mes lunettes pour les frotter un peu avant de me rendre compte que je recommençais par y voir. C’était encore flou mais ça semblait être sur la bonne voie. Je posais mes yeux sur la silhouette qui se dessinait sous mes yeux.
« Vous feriez de moi l’homme le plus heureux du monde si vous acceptiez d’être ma promise. »
C’était purement vieux jeu mais j’avais été tout d’abord un dieu puis un chevalier et pour finir un dandy du XVIIIème siècle. Il ne fallait pas s’attendre à ce que je la prenne juste pour une petite amie comme on le faisait visiblement souvent dans ce monde. Non elle était déjà bien plus à mes yeux.
La voici donc devenue la petite amie de Fitz Darcy. Comme quoi les choses pouvaient changer en un rien de temps. Ses sentiments avaient évolué sans qu’elle ne s’en rende bien compte. Sans doute cela s’était-il fait petit à petit, comme pour faire passer l’acceptation plus facilement. Dans tous les cas, la voilà officiellement en couple. Est-ce que cela aller changer quelque chose à sa vie ? Non. Elle comptait toujours rester fidèle à elle-même bien que Darcy avait tout de même réussi à la changer un peu. Mais lui avouer ? Ah ça… De toute manière, il devait très bien l’avoir remar-qué de lui-même. Elle était venue d’elle-même après tout jusque chez lui. Elle roula gentiment les yeux face à la certitude dont Darcy fit preuve en annonça qu’il aurait réussi à convaincre Mon-sieur Bennet. « Du moment que je suis heureuse, c’est tout ce qui compte aux yeux de mon père. Il n’a jamais fait attention au rang social des gens…. C’est une bonne per-sonne. » Son père lui manquait, ça oui. Elle eut un petit pincement au cœur mais qui dispa-rut très vite, se concentrant sur l’homme qui se tenait en face d’elle. Son petit ami. Son mec. Oui, elle avait aussi retenu ça aussi. Les doigts de Darcy passèrent doucement sur son visage et le cœur de Miss Bennet eut un raté. Bon sang, comment pouvait-il lui faire ressentir de telles choses par un simple geste ? elle se mordit la lèvre à la question qu’il lui posa. Elle n’était pas douée pour expliquer le pourquoi, justifier sa façon d’agir… Elle haussa tout d’abord les épaules. « J’ai pris sur moi, j’ai réfléchi, j’ai… disons que oui, j’ai ressenti un manque. Au plus profond de moi. Et j’ai compris que seul toi pouvait le combler. » elle avait essayer d’être la plus claire possible, mettant des mots les plus justes possibles pour expliquer ce qu’elle avait ressenti. En voyant Darcy enlever ses lunettes et se frotter les yeux, elle se demanda alors ce qu’il pouvait bien se passer. Surtout qu’il ne remit pas ses lunettes. Les yeux un peu froncés, il semblait l’observer elle. Un peu comme si… Oui bon, impossible. Elle n’était pas médecin ni ma-gicienne. N’empêche que sa bouche s’ouvrit lorsqu’il lui demanda d’être sa promise. Comme dans le temps. Comme à leur époque où ils s’étaient rencontrés. Elle fut flattée. Et de petite amie, elle passait à promise en quelques minutes seulement… Non, elle n’avait pas encore répondu. Son esprit lui criait de dire oui. C’était un cran largement au-dessus que le statut de petite amie. En-core plus officiel, encore plus… « Oui…. » murmura-t-elle soudaine-ment dans un souffle. Cet homme méritait d’être heureux et, oui, allez, être sa promise, c’était… ca sonnait tellement bien à ses oreilles. Elle l’aimait son Darcy alors oui, elle succombait à cette pulsion amoureuse. « Par contre, pour la dot, il va y avoir un petit sou-cis… » dit-elle en rigolant.
Elizabeth dans ma demeure. Elizabeth qui me promettait d’être ma petite amie. C’était inattendu et parfait. Le timing était parfait. J’étais sûr de moi et de mes sentiments pour elle. Je voulais que ça en soit de même de son côté. Je ne supporterai pas qu’elle me rejette. Pas encore.
« J’ai toujours pensé que votre père était le plus sage de tous les Bennet. »
Je souriais. Il était vrai que les Bennet avaient une réputation étrange. En effet, c’était bien connu de tous, la mère Benett voulait marier à tout prix ses filles… D’ailleurs elle perdit Lydia comme cela mais c’était autre chose. J’avais fait mon maximum pour cette histoire je ne pouvais pas faire mieux. Je lui demandais alors pourquoi se revirement de situation.
« Moi aussi vous m’avez manqué Elizabeth. »
Ce n’était que la pure vérité. J’avais toujours eu une part de mon cœur tournée vers elle. Je l’avais toujours su. Elle était mon âme sœur mais j’avais douté pendant longtemps. J’avais déjà perdu Morgane avant alors que je pensais qu’elle était mon âme sœur. Je n’avais pas pu me résoudre à lui faire confiance totalement mais son retour à mes côtés me conforter dans l’idée qu’elle était la femme de ma vie. Visiblement une humaine était parfaite pour un dieu.
« Je n’ai pas besoin de dot, vous m’êtes largement suffisante. »
C’était le gros lot que j’avais décroché. Je lui souriais et je prenais sa main pour la conduire dans ma maison. Je sentais mes yeux me picoter et j’enlevais mes lunettes pour me frotter les yeux. Je passais ma main libre sur les murs de ma demeure afin de la conduire au salon.
« Où vives-vous actuellement ? »
C’était une question que je m’étais posé depuis que je savais qu’elle était en ville. J’aurai voulu lui proposer de venir chez moi mais je savais qu’elle avait des mœurs à respecter et du coup je savais que sans promesse de ma part elle ne viendrait pas à la maison. Il allait falloir que j’aille acheter une bague pour lui faire l’ultime promesse. Encore une galère à choisir pour un aveugle.
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Jeu 5 Avr - 17:56
