James Pacifico Esquire Vieux ϟ Célibataire ϟ Est Panique le démon esclave d'Hadès mais surtout Guerre l'un des 4 cavaliers de l'Apocalypse ϟ featuring Andrew Scott
▻ que penses-tu de la situation de la contrée dans laquelle tu te trouves ? Techniquement parlant je m'en fous, du moment que je ne suis pas concerné de près ou de loin. Et puis entre nous, plus il y a de grabuge et plus j'aime ça. Je regarde le spectacle, assis dans ma loge VIP et je peux vous assurer que c'est la meilleure chose que j'ai à faire en ce moment. Plus sérieusement vous dites ? Et bien je vois juste que certains ont envie de s'amuser et qu'on ne m'invite même pas, ce qui est assez désagréable. Mais soyez certains que dans le chaos ambiant je me sens comme un poisson dans l'eau, un sentiment de plénitude m'envahie, chose qui n'était pas arrivés depuis des siècles, voir des millénaires.
▻ as-tu choisi un camp ? lequel et pourquoi ? Celui du plus fort bien entendu ! J'aime le pouvoir, l'argent et les belles personnes ! Quoi ce n'est pas le sujet ? Bon et bien on va dire que pour le moment je regardes, un peu en spectateur celui qui me sera le plus profitable. Je cherche Hadès parce qu'après tout, il reste mon Maître, même si j'ai une sensation bizarre le concernant et surtout il reste un Dieu, ne l'oubliez pas.
▻ est-ce que tu sais utiliser la magie ? Oui, heureusement j'ai retrouvé quelques petits tours de passe passe. Je peux changer mon apparence à ma volonté. Un petit clin d'oeil et vous n'aurez plus le brun ténébreux devant vous mais tout aussi bien une jeune fille, qu'un chien ou encore un serpent. Mais si vous regardez bien, ils auront tous une chose en commun, ce petit tatouage rouge, quasiment invisible représentant une épée dans un fer à cheval ( à qu'est ce qu'on ne fait pas quand notre sang s'est transformé en alcool lors du Nouvel An). De plus, j'ai trois autres pouvoirs qui sont apparus me troublant légèrement car je ne les avait pas avant, où alors pas conscience. J'arrives à insuffler l'étincelle qui ravage la forêt lors des incendies d'été. Je n'ai qu'a regarder profondément quelqu'un dans les yeux, tout en pensant à des idéaux de haines et de colères pour que la personne attaque violemment son voisin. Et ça marche sur la plus douce des brebis. Le point négatif c'est que je ne le contrôle pas encore totalement ce qui fait que quand je me mets moi même en colère, ce qui arrive fréquemment ces derniers temps, la pièce entière bout de rage en voulant m'exterminer (ce qui je vous l'accordes n'est pas forcément très bien) mais au moins je portes mon surnom de Panique à merveille. D'ailleurs, la deuxième chose est liée à ça, c'est que par je ne sais quel miracle, je peux connaitre la partie sombre de chacun, voir là ou ça fait mal, connaître leurs vices cachés et appuyer dessus pour les faire sortir de leurs gonds. Le troisième "don" est quelque peu banal, c'est que j'ai une nouvelle force. Gringalet, le démon vert que j'étais, n'était pas réputé pour sa force et je n'arrivais même pas à me battre avec une véritable épée, que je faisais souvent (enfin quand je devais en prendre une), tomber sur Peine (merci les couteaux de cuisine). Actuellement, il m'est possible de soulever des meubles comme si ce n'était que du polystyrène et d'envoyer de l'autre coté de la pièce mes adverses quand ses derniers veulent se battre. Mystère Mystère
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Meilleur ami pour jalousie ▬ Free or Taken Tu penses sincèrement que James est la personne la plus proche de toi. Il est méga cool, attentif, drôle et tu sais que tu peux compter sur lui. Néanmoins tu es loin de te douter qu'il fait ça dans un but précis, qu'en réalité votre amitié est loin d'être parfaite. Tu sais qu'il en a un autre, d'ami proche, ce Sullivan, mais ça ne te dérange pas, après tout tu es partageur, alors pourquoi y a t'il sur le visage de James une sorte de sourire sadique quand vous êtes tous les trois ? La réalité c'est qu'il t'utilise pour le rendre jaloux, et c'est qu'il sait s'y prendre le bougre ... ♀ or ♂ ▬ Free or Taken Sed cum superque placuisse velis quas cum amicitiae beate laxissimas si non quaedam animus implicari beate animus sollicitum nimis placuisse qua sit unum mirabilia quod adducas quibusdam cuique habenas remittas.
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Dernière édition par James P. Esquire le Dim 30 Juil - 12:43, édité 3 fois
Et lorsque l’Agneau eut ouvert le second sceau, j’entendis le second animal qui disait : Viens, et vois. La Sainte Bible chap. 6, versets 1-8 de l’Apocalypse :
Tout à un commencement et une fin. Les cavaliers de l’Apocalypse sont cette vague annonçant le commencement de la fin. Quatre chevaliers prenant naissance dans les limbes du chaos et du désespoir pour faire advenir à cette Terre un ordre nouveau. Rien ne s’acquiert dans la joie et la bonté. Tout se mérite à un prix fort et unique. Conquête, Guerre, Famine et le dernier résultant de l’addition des trois autres, Mort. Chacun une couleur, chacun des caractéristiques précises pour annihiler ce monde que vous connaissez tous. Puissance, Victoire, Violence, Sang, Manque, Peur. Ces défauts que l’homme porte en lui et qui l’ont fait courir à sa perte représentent chacun de nous, notre essence. Vous ne devez-vous en prendre qu’a vous-même, c’est vous, êtres faibles qui dans les temps jadis (et même maintenant car nos idéaux sont toujours présents) avaient sonnés les trompettes de la mort.
Et il sortit un autre cheval qui était roux ; et celui qui le montait reçut le pouvoir de bannir la paix de la terre, et de faire que les hommes se tuassent les uns les autres ; La Sainte Bible chap. 6, versets 1-8 de l’Apocalypse
Je parle en mon nom, mes autres camarades sont assez grands pour le faire. Violence et sang sont mon patrimoine. J’attise le conflit, je souffle sur les braises de la colère et je jette de l’essence sur les brasiers ardents de la déchéance humaine. La paix m’ennuie cordialement et j’aime quand Mort vient vous cueillir après des heures et des heures de tortures que vous vous serez infligés. A présent que vous avez ces quelques petits détails il vous ait aisé de deviner qui je suis. Le magnifique Guerre, celui qui bannit la paix de la Terre et pousse à la destruction la plus pacifique des âmes. Je me baigne dans votre sang, je suis un poisson dans l’eau au milieu des champs de batailles les plus horribles, les plus infâme. Je jouis de votre haine que j’aime répandre à vos dépends comme une abeille butinant des fleurs et semant le pollen dans le monde entier. Mais ce que je préfère parmi tout ça, c’est cette lueur de terreur dans votre regard, quand avec mon fidèle destrier à la robe rouge sang, j’approche de vos villes et village. Ses sabots résonnent sur les pavés froids annonçant le début imminent du conflit, voire de la guerre. Je n’ai qu’à souffler sur vos âmes pour que celle-ci noircissent, montrant ainsi vos véritables personnalités, celle du diable. La panique s’empare des esprits les plus faibles tandis que les plus orgueilleux débutent cette lutte acharnée qui n’a qu’une solution finale, la mort.
Et on lui donna une grande épée. La Sainte Bible chap. 6, versets 1-8 de l’Apocalypse
Les théâtres de guerre sont ma passion mais ce qui me fait aussi vibrer est d’être au cœur de la bataille. Je suis immortel et en aucun cas je n’ai peur de vous, insectes misérables alors me jeter en plein milieu de ce carnage est un délice savoureux. Ma gigantesque épée fait couler le sang, vous fait hurler de douleur tant sa morsure est puissante, tant son tranchant peut vous réduire à néant. Puis, une fois repu, je fais trainer ma lame dans ces ruisseaux rouges, j’erre à travers vos corps que Mort ramasse et mon pas se fait lent, presque nostalgique des combats que j’ai eu l’honneur de voir. Or il n’y a pas de temps mort si je puis m’exprimer ainsi car notre travail ne s’arrête jamais. Je peux sentir la paix qui revient à travers les ardeurs des vainqueurs ce qui me donne la nausée, alors nous ne perdons aucun temps. L’Apocalypse n’attend pas.
Néanmoins, moi qui pensait pouvoir galoper librement dans le vent avec mes trois autres compagnons pour l’éternité je me suis fichtrement trompé. Après tout, l’Apocalypse ne peut pas durer, ce n’est qu’un temps de changement, un temps de transition vers un nouveau monde. Zeus nous a privés de notre liberté en nous piégeant dans une prison spatiale, que vous Mortels appelaient Boîte de Pandore. Mais avant Pandore, une autre personne a eu le courage d’affronter tous les maux maléfiques de l’Univers pour son propre dessein, j’ai nommé le magnifique Roi des Enfers, Hadès. Quand la lumière a touché l’obscurité dans laquelle nous nous trouvions, l’appel du sang a été pour moi le plus fort et je suis sorti le premier, me jetant dans la gueule du loup, entraînant celui qui comptait et qui compte toujours le plus, Famine. Hors tout ne se passa pas comme prévu. Au lieu d’entendre le son chantant des sabots de mon fidèle cheval, de voir ma grande ombre effrayant sur le sol et de sentir ma cape noire voler au vent, je fis un bruit étrange avec ma gorge. Au revoir cheval, épée, corps de rêve et surtout souvenirs. Il ne me restait plus que quelques pouvoirs magiques, bridés, et mon surnom, Panique. A côté de moi, se trouver un petit démon grassouillet rouge, dénommé Peine que je sentais d’une importance vitale. Et c’est comme ça, que de fléau de l’humanité, Cavalier de l’Apocalypse à la célébrité incomparable je suis passé à fléau sans mémoire et esclave ayant le syndrome de Stockholm.
Je ne saurais vous dire le nombre de millénaires qui sont passés et des histoires j’en ai à vous raconter. Peine et Panique, les deux petits démons connus plus pour leurs bêtises et ratages que pour leurs réussites. Le pire ? Sans doute cette mission avec Hercule. Mais je tiens à le dire, c’est sa faute s’il n’a pas pu tout le biberon de poison. Puis, avec notre mémoire défaillante, il était bien mort. Jamais ne nous aurions imaginés qu’il était encore vivant ce petit bougre et surtout aussi fort. Bon comme vous vous en doutez, ce n’est pas Hadès qui a gagné, il n’a pas pu dominer le monde, l’Olympe, l’Univers et tutti quanti et Zeus était un chouilla énervé. Heureusement, par grande bonté, où tout simplement parce qu’ils nous considèrent comme moins que des larves, nous avons été épargnés par sa colère. Enfin celle d’Hadès n’est vraiment pas mal non plus et j’ai encore mal après avoir remis ma peau. Alors après cette bavure, nous avons essayé de remonter la pente, d’être plus appliqué, et de faire moins de gaffes. Ainsi je peux vous jurer que nous n’y sommes pour rien dans cette malédiction qui nous a emporté au loin.
James Pacifico Esquire, un nom connu de tous, respectés par certains, craint par d’autres, où encore méfiant, mais un nom ne passant pas inaperçu. Ancien général des armées italiennes, et plus particulièrement de l’Esercito, l’armée de terre, ayant mené plusieurs conflits à la victoire, mais surtout connu pour la dureté et la violence envers ses troupes. Carrière coupée en plein vol à cause d’une erreur stupide pendant la guerre du Kosovo qui lui couta trois mois de coma et des années de récupération. Alors l’exil forcé lui sembla la meilleure des solutions pour effacer ces sentiments de hontes et de désespoirs qu’il trainait partout avec lui. Changer de continent pour passer incognito, refaire une vie, hors les mauvaises habitudes reviennent vite aux galops. Voyager pendant quelque temps, il se posa enfin dans une petite ville que le GPS ne connaissait pas, Storybrook Ayant deux trous dans ses mains, continuant à vivre clairement au-dessus de ses moyens, James a dû travailler mais malheureusement dans un village point d’armée. Pas grave, il décida d’ouvrir un cabinet de consulting. Donner des conseils mais en quoi ? Un peu en tout. La stratégie militaire peut s’appliquer aussi bien à l’économie, à la politique, à la santé, si bien que quelques mois après son ouverture, son agenda était bien rempli et son compte en banque tout autant. De plus, l’aura d’ancien militaire, général aidait fortement au premier contact, tandis que le sourire angélique et les idées machiavéliques faisaient le reste.
Bon c’est bon, vous avez le petit topo du passé, maintenant parlons du présent. Comment suis-je arrivé à reprendre la parole ? Parce qu’une blonde est arrivée un beau jour, mais elle véritablement, genre c’est pas des faux souvenirs comme moi, puis elle a brisé cette fichue malédiction. Un tsunami de magie a déferlé sur la ville ainsi qu’un vent de Panique et ça c’est moi. J’ai hurlé pendant trois bonnes minutes au fur et à mesure que la mémoire me revenait. Bordel, je suis un humain, un véritable humain et surtout seul. Sans Peine, sans Hadès et sans but réel. Alors au début j’ai erré mais j’ai senti le chaos arriver et un sentiment de plénitude que je n’avais jusque-là jamais senti m’a envahi. C’est d’ailleurs depuis ce moment que des choses étranges se passent. Certes je ne suis pas un parangon de vertu et j’ai toujours aimé faire des blagues, créer des petites tensions mais là, c’est différent. J’ai envie de me battre, j’ai envie de rébellion, j’ai envie de voir tous ces mortels mourir dans d’atroces souffrances. Avant, quand j’étais avec Peine, ma frontière entre le bien et le mal était perméable. Le but était que nous nous amusions avant tout, mais ma violence n’a jamais atteint le niveau actuel. Alors j’essaye de me réguler, d’être toujours aussi amusée et amusant qu’avant mais tout ce que je gagne c’est d’être lunatique voir bipolaire. Puis dernièrement, ce qui ne m’aide pas, c’est que je ne dors quasiment plus. Chaque nuit je fais toujours le même rêve. L’Apocalypse arrive, avec ces quatre chevaliers. Je suis devant eux, tétanisés par la peur, appelant Peine et Hadès à la rescousse. C’est alors que le Rouge s’avance tout près de moi et la colère m’envahit. J’en veux à Peine de ne plus être là, j’en veux à Hadès de nous traiter comme il le fait et c’est à ce moment-là que le cavalier lève son immense épée, qu’elle tombe sur mes ailes, me les découpant. Je tombe au sol en hurlant, en priant Hadès qu’il vienne m’aider et le coup de grâce. Le cheval à la robe rouge m’écrase la tête tandis que son cavalier descend, pose la main sur mon corps, et extraie mon âme. Je me réveille en nage, hurlant d’une douleur fantôme mais avec un sentiment de rage qui ne s’apaise que quelques heures après, remplacé par une terrible migraine qui m’empêche clairement de réfléchir et qui me fait rester dans des endroits ombragés. Comment vous dire que tout ceci n’améliore pas mon caractère et mon comportement. Peine, que j’ai retrouvé et qui se prénomme désormais Sullivan essaye tant bien que mal de m’aider, de m’apaiser. Rien que sa présence me calme en vérité, or ce qui marché au début de nos retrouvailles, ne fait aujourd’hui qu’augmenter ma colère. Surtout quand je vois le regard vide et soumis qu’il lance à l’autre blonde du bar, qui me donne des envies de meurtres à l’échelle planétaire. Mais vu que je sais que c’est la fille du patron, je ronges mon frein et je m’acharne sur d’autres.
Fiche par (c) Miss Amazing Crédit images : crédit ici
Dernière édition par James P. Esquire le Dim 30 Juil - 12:54, édité 2 fois
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Il la prit, elle tombait, il la prit dans ses bras, il la serra étroitement sans avoir conscience de ce qu’il faisait. Il la soutenait tout en chancelant. Il était comme s’il avait la tête pleine de fumée ; des éclairs lui passaient entre les cils ; ses idées s’évanouissaient ; il lui semblait qu’il accomplissait un acte religieux et qu’il commettait une profanation. Ducostte-1.jpg reste il n’avait pas le moindre désir de cette femme ravissante dont il sentait la forme contre sa poitrine. Il était éperdu d’amour. Elle lui prit une main et la posa sur son cœur. Il sentit le papier qui y était. Il balbutia : « Vous m’aimez donc ? » Elle répondit d’une voix si basse que ce n’était plus qu’un souffle qu’on entendait à peine : « Tais-toi ! tu le sais ! » Et elle cacha sa tête rouge dans le sein du jeune homme superbe et enivré. Il tomba sur le banc, elle près de lui. Ils n’avaient plus de paroles. Les étoiles commençaient à rayonner. Comment se fit-il que leurs lèvres se rencontrèrent ? Comment se fait-il que l’oiseau chante, que la neige fonde, que la rose s’ouvre, que mai s’épanouisse, que l’aube blanchisse derrière les arbres noirs au sommet frissonnant des collines ? Un baiser, et ce fut tout. Tous deux tressaillirent, et ils se regardèrent dans l’ombre avec des yeux éclatants. Ils ne sentaient ni la nuit fraîche, ni la pierre froide, ni la terre humide, ni l’herbe mouillée, ils se regardaient et ils avaient le cœur plein de pensées. Ils s’étaient pris les mains, sans savoir.
Je pense que le plus facile ca sera avec medusa : Hades la voulait pour lui afin de renverser l'Olympe en usant de ses capacités magique ! Du coup Panique aura forcément entendu parler d'elle
Apres Juliette : Elle apprends à Marca à contrôler ses pouvoirs et veille sur elle pour assurer sa sécurité (ce qu'elle a promis à Hades sans savoir que ce dernier est un dieu)
Niveau Malefique : rien de special or mis qu'elle est malefique quoi ;)
Anne: Bien sur avec plaisir Une idée ? Positif ? Négatif ? Neutre ?
Juliette: Oh oui Médusa Ouais c'est fort probable. Niveau timming si c'est pour renverser l'Olympe c'est au moment où ils sont les démons gaffeurs. Du coup t'as deux possibilités, soit elle peut l'apprécier et le trouver mignon, soit elle peut en avoir marre et se demander pourquoi Hadès les utilise vu qu'il recherche que de la force (et que visiblement ce ne sont pas ces deux là qui en ont XD ). Puis pour Storybrook, Médusa y fait quoi ? Pour Juliette, et bien clairement James ne porte pas Maca' dans son coeur mais il est assez intelligent (enfin pour le moment XD) pour ne pas s'attaquer directement a elle. Mais du coup ça pourrait partir vers un lien négatif ? Vu que là t'façon, il ne cache presque plus sa rage quand il la voit x)
Pas d'idée malheureusement ! Mais j'aimerai bien un lien positif avec un méchant pour une fois ! Tu crois que Panique pourrait avoir réveillé la personne qu'elle était vraiment? Réveiller le grand méchant loup qui sommeillait en elle?
Après, je t'avoue que je viens un peu en touriste. Le lien daterait de l'époque SB je pense... elle pourrait être liée à son boulot de consulting ? Hayden est psychiatre à la base, touche un peu à tous les domaines. Mais il caresse toujours le rêve de se relancer dans les affaires (et traîne parfois dans des affaires louches) donc James pourrait agir un peu comme un conseiller pour lui dans ce domaine ?
Et puis comme Hayden adore le genre de personnalité, il aurait beaucoup de plaisir je pense à se rapprocher de James... une relation diaboliquement positive qui tournerait vers une amitié voire + si affinités ?