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Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
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J’avais envie d’elle, non pas pour développer ensuite des sentiments et entrevoir une prémisse de relation. Non je voulais la posséder corps et âme, la faire jouir sans retenue, entrer en elle, la pénétrer, je voulais sentir ma queue frapper son cul, la sentir se gonfler sous l’excitation et à mesure que je sentais la chaleur de son corps contre le mien. Oui, nombreuses étaient les pensées lubriques qui m’animaient et si d’ordinaire j’étais sur la réserve, aujourd’hui non. Cela me rappelait bien des souvenirs. J’étais si fougueux jadis et j’y avais pris plaisir sauf qu’à l’époque je pouvais me targuer d’avoir des sentiments. Oui, je me souviens que mon cœur battait à s’en rompre lorsque je sentais ses lèvres capturer les miennes avec intensité, lorsque nos langues se mélangeaient et que nos baisers impurs nous empêchaient de respirer tant c’était intense. Je prenais tant de plaisir avec ce "lui" dont je m'interdis de dire le nom, comme si tout d’un coup, la simple évocation pouvait le faire revivre. « Non, oublie ça, contente-toi de l'oublier, comme d'habitude ! » Cela ne servait à rien de se faire du mal, pas ici, pas maintenant alors que j’avais possibilité de baiser, chose que je n’avais pas faite depuis longtemps. J’étais un peu plus brusque, me souciant trop peu de son plaisir à elle. Le souvenir de mon amant passé, venait indubitablement de raviver tout ce qu'il y avait d'animal en moi, et plus elle gémissait, plus je la pénétrer avec force et rapidité. Il m’en fallait toujours plus, encore et encore et je me fichais des regards qui pourraient se poser sur nous. Au contraire, cela m’excitait de me dire que certains pourraient prendre du plaisir à nous voir ainsi. Oui, qu’ils nous regardent, qu’ils s’offusquent, qu’ils sourient, qu’ils se touchent… Je n’en avais que faire.
Lorsque j’eus assez de la prendre par-derrière, j’entrepris sans attendre et déjà lassé par la position, de retourner à nouveau ma marionnette pour que cette fois nos regards se croisent, pour se donner l'illusion d'un tant soit peu d'humanité dans l'échange, si je puis dire. Je compris très vite, qu'elle était acquise à ma cause et que je n'aurais plus besoin de grands discours pour la convaincre. Alors c’était ainsi que les choses fonctionnaient ? Il suffisait de si peu de chose ? Jusqu’alors je n’avais pas vraiment conscience que le sexe pourrait autant me sévir et je me maudissais quelque part, de ne pas y avoir pensé plutôt, moi qui souscrivais au machiavélisme. Elle passa alors ses mains autour de mon cou, me ramenant à elle. « - Gémi plus fort ! »lui ordonnais-je aussitôt. Cette fois je n’en avais que faire des grandes choses à accomplir, j’approchais dangereusement les rives du plaisir et sentais ma semence monter progressivement tout comme je sentais son entre-jambe s’humidifier à mesure que j’enfonçais mon sexe entre ses cuisses. C’était doux, c’était chaud. Elle hurla mon nom tandis que pour faire durer le plaisir et avide de curiosité, je quittais ses lèvres pour en embrasser d'autres. Jamais encore je n’avais fait cela. Je me mis donc à genoux et habité par la curiosité d’un scientifique avide de nouvelles expériences, j’entrepris d’observer son sexe humidifié par le précédent échange. J’y enfilais un premier doigt, puis un second, alors qu’elle continuait à prononcer mon prénom encore et encore. Puis curieux et éprit par l’envie de découvrir de nouvelles saveurs, j’approchai mon visage et laissai ma langue se perdre pour se repaître de cet exquis liquide qui suintait d’elle à présent. C’était délicieux, à la fois amer et sucré, chaud et froid. Tant de saveur d’interdit émanait d’elle, que cela me donner envie de recommencer avant de me souvenir que j’avais besoin de me vider. Alors après avoir pénétré tout ce qu’il y avait à pénétrer avec ma langue et mes doigts, je repris les devants en me redressant et en armant à nouveau ma queue pour l’enfoncer avec intensité dans l’origine d’un monde qui m’appartenait désormais. Nous baisâmes encore durant de longues minutes avant que je puisse enfin me vider. Jamais je n’avais connu une telle expérience et je me languissais de recommencer. Mais pour l’heure nous devions reprendre contenance et nous remettre sérieusement au travail.
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Dim 28 Juin - 1:21
