Intrigue 2.1

Cora fut soulagée au plus haut point de voir sa fille adorée. Son regard se remplit de bonheur, elle avait eu peur, évidemment : elle avait beau être dépourvue de coeur, sa fille comptait énormément, c'était d'ailleurs surement l'une de ses seules faiblesses. Elle s'avança vers sa fille avec un sourire de soulagement sur le visage en disant :

" Oui c'est moi ma chérie, qui d'autre que moi serait descendue jusqu'en enfer pour venir te chercher ? Que fais-tu ici, comment as-tu pu te faire enlevée, toi ! "

Comment pouvait-on enlever la méchante reine ? C'était impossible. Au même moment, la fille accompagnant Regina ne se présenta pas et dit que c'était un plaisir de revoir la reine de coeur. Cora sourit et dit :

" Moi de même très chère. "

Elle n'arrivait pas tres bien à se rappeler de qui pouvait bien etre cette fille. Évidement la mémoire lui revint vite réalisant qu'elle etait l'une des amies proches de Regina, Neïlina. Cette enfant semblait une assez bonne amie, tant mieux. L'ancienne fille du meunier n'eut pas le temps de se re concentrer sur sa fille qu'une meute de roturiers arrivèrent. Absolem prit de suite les choses en mains en lançant un sort bien étrange à ces personnes : de s'embrasser. Cora ne put s'empêcher de sourire avant de se retourner vers son allié, qu'elle considérait presque comme l'un de ses rares amis en disant :

" Toujours dans l'originalité Absolem, j'aime beaucoup. "

Enfin, l'originalité pas vraiment, en sachant que l'homme était un spécialiste de la luxure. Elle réagit alors aux paroles de l'homme dit juste avant, se retournant vers lui :

" Non, je reste avec toi. Je t'ai promis de t'aider à trouver ton amie, alors je le ferais. Et je pense que la décision te revient, je n'avais jamais entendu parler de cet endroit jusqu'à maintenant. Alors si tu penses que rester dans la grande rue est plus sure, qu'il en soit ainsi, Il ne vaut mieux pas prendre trop de risques. "

Pour le coup, Cora préférait donner sa confiance à la chenille. Il savait tres bien que Cora n'était pas venue les mains vides et pourrait être bien utile, accompagnée de nombreuses potions et surtout d'une chose : son caractère. Cora etait une femme impitoyable, alors si il fallait sacrifier quelqu'un pour pouvoir sauver la peau de Absolem, son amie, sa fille cherie et son amie, elle le ferait. La reine de coeur etait peut-être diabolique, méchante et sans pitié, mais elle respectait ses engagements. Elle se retourna vers sa fille, prenant ses mains, et lui fit un sourire rassurant :

" Nous allons retourner à Storybrooke, mais d'abord je dois aider Absolem à retrouver son amie. ", Regina ne l'avait surement jamais vu aussi serviable et redevable, cependant, Cora se sentait obligée d'aider Absolem, mais la guêpe n'était pas bête : sans son allié, Il n'existait aucun moyen de retourner à Storybrooke. La reine de coeur se retourna alors et commença à avancer tout droit dans l'allée :

" Ne perdons pas de temps, plus vite cette mission sera réglée, plus vite nous rentrerons à la maison, en sécurité. "

Meme elle ne se sentait pas en sécurité, elle savait que les enfers regorgeaient de danger, er plus encore : Cora était une maîtresse des enfers, accumulant méchancetés sur méchancetés, son jugement n'avait rien de bon, c'était certain.

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Intrigue 2.1

Regina n’avait pas rêvé, c’était bien sa mère qui avançait vers elle et Neïlina, et l’homme qui l’accompagnait, elle était à peu près certaine de ne l’avoir jamais vu. Cependant la réponse que les filles cherchaient quant à l’endroit où elles se trouvaient arriva bien vite : les Enfers.

-Tu ne croyais pas si bien dire, lança-t-elle à l’ancienne Méduse.

Les paroles de Cora furent à la fois touchantes et blessantes. Qui d’autre qu’elle serait descendue jusqu’aux Enfers pour venir la chercher ? Eh bien, il n’y a pas si longtemps, Robin aurait pu, mais encore aurait-il fallu qu’il ne l’ait pas quittée en lui brisant le cœur après tant de promesses. Si elle savait que tout cela était de la faute de sa propre mère, qu’encore une fois elle lui avait retiré l’amour de sa vie… Mais pour l’heure, seule la tristesse étreignait son cœur.

-Merci mère. Est-ce que l’un de vous sait comment et pourquoi nous avons atterri ici, dans ce… cet Underbrooke ? Comment avez-vous su ? Y en a-t-il d’autres ? Il semble que oui puisque vous cherchez quelqu’un, ajouta-t-elle en regardant Absolem. D’ailleurs, vous êtes ?

Mais la foule qui les avait de nouveau rejoints se montrant un peu trop vindicative, avant que l’ancienne méchante reine ne puisse faire quoi que ce soit, l’inconnu lança un sort… bien étrange. Lui aussi était donc détenteur de magie.

-Eloignons-nous avant qu’ils ne passent la vitesse supérieure… marmonna Regina en voyant les gens se sauter dessus pour s’embrasser.

Neïlina qui voulait s’armer juste auparavant n’en aurait peut-être pas besoin, mais il lui suffisait de demander et Regina l’aiderait. Enfin, c’était tant qu’elle ne savait pas que la magie ici était encore différente et qu’elle ne pourrait sans doute pas l’utiliser comme elle savait le faire.

-Tu veux toujours des armes, Neïli ?

Ils étaient éloignés des premiers « Underbrookiens » lorsqu’ils purent apercevoir au loin d’autres personnes qui se regroupaient. Encore !

-A nous trois, mère et Neïlina, nous sommes surement responsables de la présence d’au moins la moitié des personnes ici… L’autre moitié appartement probablement au Ténébreux. Et vous, Absolem, avez-vous quelque chose à vous reprocher pour ces gens ?

Autant mettre les choses à plat tout de suite, il valait mieux savoir à qui l’on avait affaire. Cet homme voulait repartir avec son amie, et Cora avec sa fille visiblement, mais si d’autres habitants de Storybrooke étaient coincés ici, il fallait les faire repartir également.

-Qui d’autre a été emporté ici, mère ? demanda-t-elle, inquiète.

Elle s’inquiétait pour ceux qu’elle aimait : Henry, et puis évidemment Robin et Roland, même si Robin avait choisi de retourner avec Marianne.
La maire du vrai Storybrooke regarda autour d’elle. La ville était méconnaissable, elle ressemblait beaucoup à l’originale, mais beaucoup de choses étaient brisées.

-Ça ne m’étonne qu’à peine que les Enfers revêtent l’apparence de la ville que j’ai créée pour y enfermer mes ennemis…

Elle regarda ces personnes qui étaient au loin.

-Profitons qu'ils soient à bonne distance. Allons à la mairie ? proposa-t-elle? Il faut que l'on se pose pour réfléchir à une stratégie.

Au moins, elle connaissait par coeur les lieux, c'était presque chez elle, et surtout c'était le plus proche. Et il était hors de question d'abandonner les autres ici.

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Intrigue 2.1

Visiblement même en enfer je n’avais pas reçu le don d’apaiser les situations pourtant j’essayais réellement de ne pas froisser l’assemblé. J’avais même salué la femme que je craignais le plus avec un brin de cordialité, choque qui ne me ressemblait pas le moins du monde. D’ailleurs à mon grand étonnement cette dernière m’avait rendu la pareille. Peut-être qu’elle était réellement venu pour aider après tout, saluant par la suite Absolem qui chercher sa nièce, je ne pus m’empêcher de me demander dans quel pétrin la demoiselle au cheveu bicolore c’était encore foutu mais je ne relevais pas, consciente que Rozen était un sujet sensible pour l’entrepreneur qui décida d’ailleurs d’apaiser la situation en lançant un sortilège qui poussa nos chers et tendre gueux à tous s’embrasser. Lançant un regard étonné à Regina j’haussais les épaules, un vieux dicton que j’avais jamais apprécié me revenant à l’esprit : faites l’amour et pas la guerre, visiblement Absolem était du genre à faire l’amour quand moi je préférais la guerre. Chacun son truc, pensais-je avant de murmurer à l’attention de Regina tandis que nous nous éloignons du centre rempli de phéromone :

« Juste au cas où je veux toujours des armes, revolver, épée, arbalète arc, ce que tu veux, mais un truc utile pour les ralentir au cas où ils sont peut-être mort mais je ne compte pas qu’on les rejoigne… On vaut mieux que ça. »

Sur ses mots je cherchais autour de moi d’autre gueux en quête de vengeance, pour l’instant rien ne se présentait à moi et Regina questionnait sa mère et son nouvel ami sur l’identité des personnes présentes dans l’Uderbrooke. Elle devait certainement s’inquiéter pour Robin et à ses pensées je me détestais de ne pas pouvoir la secouer. Elle devait l’oublier ce héro de malheur mais j’ignorais encore comment lui faire passer correctement le message. Cette dernière proposa que l’on aille à la mairie pour établir un plan pour sortir de là et certainement sortir d’ici tous les non-morts au passage et j’acquiesçais avant de la suivre docilement bien que je connaissais aussi bien qu’elle les lieux. Ce n’est qu’une fois dans la grande rue que j’attrapais la main de Régina la forçant à s’arrêter lorsque j’apercevais furtivement son père.

« Regina, ton père. Je viens de le voir, je te jure qu’il était au détour de cette rue ! »

Il avait disparu et j’entendais déjà Cora vociférer sur mon intervention mais je voulais faire quelque chose de bien pour une fois, je voulais aider Regina a se pardonner pour avoir tué son père pour mener à bien sa vengeance.

« Regina fait moi confiance il était là, je sais que tu as toujours eu envie de lui parler vu al manière dont ça c’est fini entre vous … »

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