Regina - Neïlina - Robin - Charles - Rozen - Mushu - CJ - Absolem - Hilda - Cora
Neïli était revenue à elle peu après que Regina ait en partie aveuglé la créature pour récupérer sa fille adoptive. La belle brune s’était précipitée sur CJ, l’entourant de ses bras pour la protéger d’un éventuel coup de tentacule. Mais le kraken semblait désormais accaparé par une autre idée que se défendre, celle de se saisir à nouveau de Neïlina. Cette dernière avait ordonné à son amie de quitter les lieux avec CJ et Robin, et alors que l’ancienne méchante reine, qui tenait fermement la main de l’adolescente, entraînait cette dernière vers l’issue pour qu’elle puisse repartir saine et sauve, elle entendit la voix de Robin qui déclarait vouloir se charger du monstre. Le cœur de la maire de Storybrooke se serra, elle sentait que ce n’était pas une bonne idée, elle avait une sorte de mauvais pressentiment. Mais Robin était une véritable tête de bois, quand il avait une idée, il était bien difficile de l’en détourner. Elle lui lança un regard des plus inquiets en le voyant se précipiter dans la gueule du loup. Neïlina était dans les tentacules de la bête et si de l’extérieur, cela semblait dangereux pour elle, Regina n’en oubliait pas le lien que son ami avait avec la créature. Elle savait mieux que personne que lorsqu’on asservit une créature magique, elle obéit corps et âme. La méduse avait donné des ordres, le kraken obéirait coûte que coûte et donc, il la protégerait. Mais Robin, lui, personne ne le protégeait ! Après avoir fait quelques pas avec CJ en direction de la sortie, les bruits qu’elle entendit ne la rassurèrent pas, et machinalement, elle jeta un œil en arrière, et ce qu’elle vit la glaça d’effroi. Robin était à son tour prisonnier du kraken. Elle ne pouvait le laisser ainsi. Regina lâcha donc la main de CJ et se précipita en sens inverse pour tenter de lui porter secours. En courant, elle put l’apercevoir qui crevait l’œil restant du monstre, ce qui ne le calma pas, bien au contraire. Alors que le bel archer se débattait comme un diable, parvenant à blesser son adversaire, la créature frappait le sol tellement fort qu’il en tremblait et Regina avait toutes les peines du monde à avancer vers eux, et alors qu’enfin elle se trouvait à une distance raisonnable pour tenter de porter une attaque à son tour, prête à lancer une boule de feu sur le monstre en prenant soin d’éviter son amie, ce qu’elle vit lui glaça le sang. Robin reçut un coup tellement violent qu’il en fut projeté dans le Styx. Regina eut l’impression que c’était elle frappait, elle en eut le souffle coupé, c’était comme si elle avait reçu un coup dans l’estomac, comme si on lui arrachait le cœur, comme si on l’étouffait. Tout ceci en l’espace d’une microseconde. Elle en tomba à genoux, les larmes dévalant ses joues, hurlant le nom de son archer perdu à jamais. Comment cela avait-il pu arriver ? Elle n’avait rien pu faire pour le sauver ! Une seconde s’écoula, seconde qui parut durer une éternité tant la souffrance était intense, et elle reprit ses esprits en voyant du mouvement. Le kraken venait de plonger à son tour dans le fleuve maudit, à ce détail près qu’il avait ouvert un passage au préalable, un portail. Et il avait emporté Neïlina avec lui. Il lui avait pris son grand amour, son âme soeur, mais il ne lui prendrait pas sa meilleure amie. Le regard noir de rage, elle se releva et courut pour sauter à son tour dans le portail magique, ignorant tout de la destination.
La réponse de la jeune fille ne plut guère à Orphée mais il la laissa en voyant les larmes qu’elle eut, suite au choc du geste de Charles et des paroles de Rozen. D’ailleurs, en parlant d’eux, Regina et Robin leur dirent deux mots. L’ancienne méchante reine flanqua une gifle magistrale tout en le menaçant tandis que Robin répliqua à son tour : « - Recommence et je puis t'assurer, allié ou pas, que l'une de mes flèches transpercera ton cœur avant que tu n'aies eu le temps de déployer ses ailles. » lança-t-il avant de se taire. Mais les ennuis étaient loin d’être terminés. Cora vint mettre son grain de sel sans réaliser des conséquences qui allaient suivre. Et quelles conséquences ? Le Kraken commença à s’agiter à nouveau tout mais Neilina n’était à présent plus dans ses tentacules. Regina tenta de la réveiller mais c’était sans prévoir ce qu’il allait se produire. A peine quelques minutes plus tard, la créature s’empara de CJ qui était sur le point de suivre Hilda comme lui avait recommandé sa mère adoptive. -Repose-la immédiatement ! hurla celle-ci. C’était la première fois que l’adolescente voyait Regina aussi énervée mais la détermination de l’ancienne reine la toucha. Cela lui montrait à quel point cette dernière aimait sa fille adoptive malgré le fait que ça ne faisait que peu de temps que CJ était entrée dans cette famille peu ordinaire. La gamine essaya à son tour de se libérer de la tentacule. Elle tenta de le convaincre qu’elle n’était pas un danger pour Neilina puisque c’était sa tante. Bon, ce n’était pas vraiment sa tante mais c’était tout comme puisqu’elle était la meilleure amie de Regina. Finalement, le Kraken la libéra mais heureusement, CJ ne se fit pas mal dans sa chute. Sa mère adoptive la récupéra en lui prenant la main et l’entraîna vers la sortie. Soudain, une parole et une voix familière firent bondir le cœur des deux jeunes femmes. En se retournant, CJ vit Robin se précipiter vers la créature mythique, ce qui l’inquiéta encore plus. Elle savait fort, courageux et déterminé dans tout ce qu’il entreprenait mais était-il de taille contre un monstre issu de la mythologie grecque ? La gamine espérait mais elle ne pouvait pas s’empêcher d’avoir pour lui. Comme si elle avait un mauvais pressentiment et elle n’était pas la seule. Regina aussi. Alors qu’elles avaient repris leur route, CJ sentit sa mère lui lâcher la main et en se retournant à nouveau, son cœur se serra encore une fois mais en pire peut-être. Robin était prisonnier du Kraken qui s’énerva encore plus après eu l’œil crevé par l’archer. La logique aurait voulu que l’adolescente continue son chemin avec les autres habitants vers Storybrooke. Même si elle n’était pas la fille biologique de Robin, elle était attachée à lui comme si c’était réellement le cas. Toute sa vie, elle avait vu en lui l’image paternelle dont elle avait tant manqué à New York, puis à Boston bien qu’elle avait son grand-père. Il était hors de question qu’elle le laisse sans avoir tenté quelque chose. L’archer ayant perdu son arc, elle le ramassa mais sans flèche, elle ne pouvait pas grand-chose. Ce fut impuissante qu’elle vit son père adoptif tomber le Styx. - Nooooonnnnn !!!!!!!!!!!!!!!!! s’écria la jeune fille qui ne put retenir des larmes couler le long de ses joues. Le temps parut soudainement long, trop long mais CJ eut tout de même encore assez de forces pour rejoindre Regina. Cependant, la jeune femme ne la vit pas et elle se précipita vers le portail par lequel s’était enfui le monstre marin. Posant un bref instant sur l’arc de Robin qu’elle tenait dans ses bras, l’adolescente prit une grande respiration et se jeta à son tour dans le portail. Si Robin était encore là, il lui aurait dit de rentrer et partirait lui-même à la suite de Regina et de Neilina mais CJ avait beau n’être que sa fille adoptive, elle était aussi têtue que lui ! Attention Kraken ! Sa fille spirituelle va chercher à te botter les tentacules et sauver ta maîtresse !
Vicky - Regina - Neïlina - Robin - Charles - Rozen - Mushu - Hayden - James - CJ - Absolem - Hilda - Cora
Protéger Regina était mon unique objectif. Je savais que le Kraken pouvait la pulvériser et je connaissais assez mon amie pour savoir qu’elle n’abandonnerait pas surtout pour protéger les siens. L’intiment de prendre la fuite avec Robin et CJ, je savais qu’elle m’obéirait. J’avais invoqué la créature, enfin Médusa l’avait invoqué. Mais il ne ferait pas la différence, enfin c’est ce que j’espérais. L’attention de la créature mythique se reporta sur moi au moment où j’ordonnais que son cirque s’arrête, et elle me prit dans ses tentacules à la place de Cj. Inspirant profondément, je tentais de trouver une idée pour me libérer de manière ingénieuse du calamar géant, jusqu’à ce que je n’évite un projectile.
« Robin non !! Regina arrête le ! »
Hurlais-je mes mots couverts par les hurlements du monstre des mers qui se démenaient comme un beau diable, me secouant dans tous les sens tout en prenant bien garde à ne pas me blesser. C’était déjà une bonne chose. Sans que je ne comprenne ce qu’il se passait entre l’archer et le kraken, tout s’arrêta. Essoufflée je cherchais Robin du regard et le voyais étendu au sol, le cri de Regina couplé à celui de Cj me parvenant je sentais une larme rouler sur ma joue.
« Je suis désolée »
Le Kraken bougeant à son tour, je baissais la tête, j’avais brisé la vie de ma meilleure amie en laissant la Méduse prendre le dessus. Jamais je ne me le pardonnerais. Le Kraken plongea dans le Styx et j’acceptais mon sort quel qu’il soit, de toute manière je brisais tout ce que j’aimais. C’était peut-être ce que je méritais au final.
Time To Play Darling! Tout s’enchaîne, entre Charles qui te défend ton oncle qui te félicite et les autres qui ne sont là que pour t’enfoncer. Heureusement que robin a redoré son blason, car sans son aparté et ses excuses il serait mis dans le même panier que cette foule de gens se disant bienveillant mais juste avec leur « famille » tu le garde en travers et dieu seul sait que tu peux être très rancunière. En tant que seul membre de ta propre famille, Absolem prend soin de savoir comment tu vas et demande si tu as besoin de quelque chose pour continuer ton périple, tu secoues doucement la tête avant de poser ton regard sur cette reine que tu avais autrefois appréciée. Approchant de celle-ci, sa gifle envers ton ami te monte au nez « recommence et je te jure que je fais pareille à ta gamine pour lui apprendre sa place dans ce monde. Et tu sais que je ne suis pas du genre à faire les choses en douceur, tu protèges ta famille comme tu veux mais moi aussi, touche encore à Charles et je te promets et que vas mal le sentir passer, je n'ai peut-être pas de rang ou de magie comme madame mais j’ai ce qu’il faut pour te faire redescendre sur terre et calmer ton ego …. » Tu prends violemment les épaules de Charles pour le mener vers Absolem froide et sans cette pétillante personnalité que tu avais instauré avec cette ancienne reine ses paroles et ses gestes lui on redonner la place de vermine que tout le monde criaient dans ton salon alors que pour elle tu les mettais dehors, maintenant tu comprends pourquoi il avait cette animosité envers elle et commence à les comprendre. « Amène-le avec toi ce n’est pas un endroit pour lui » tu touches la joue du Féetaux avec ta paluche poilue faute de ne pas pouvoir lui faire un bisou sur la joue.
Soudainement tu sens quelque chose tirer ta manche, par réflexe tu suis ton bras pour voir un Mushu qui est, pour cette fois, plus petit que ton mètre soixante. Tu clignes des yeux et baisse les oreilles comme par automatisme face à tout ce qui s’est passé sous ses yeux. Il semble vouloir te tirer vers l’extérieur de tout ça tu le suis sans broncher et avance de deux pas alors que lui en fait une dizaine. On s’aperçoit de ce genre de détails quand il n'y en a pas vraiment besoin, c’est bête hein. Attentif, son air sérieux ne présage rien de bon pour toi, la dernière fois que tu la vu comme ça c’est lors du serment sur la vie à respecter des gens qu’ils soient bien ou mauvais. S’il recommence à te faire un serment tu vas grincer des dents. Tout au contraire, c'est des excuses que tu as, tu plisses un œil un peu perdu car pour toi c’est à toi de t’excuser pour ce spectacle que tu lui as offert et surtout, c’est par ta faute qu’il est blessé. Tu te baisses encore plus tes grandes oreilles quand il se retient de douleur. Tu es allé loin. Mais ils n’ont rien fait pour atténuer la colère qui t'a envahie. Ce qu’il dit est un peu brouillons, tu penches la tête d’un côté puis de l’autre en continuant à suivre. Il n’a pas l’habitude de quoi ? Venir en enfer ? Voir des gens se transformer ? Des filles sortir comme des furies combattantes d’un voyage ? Ce qui te sert d’oreille se redresse subitement, sans pouvoir contrôlé tes émotions transparaissent à travers les mimiques que tes oreilles prennent, l’attention, la déception, la colère. Chaque émotion à un degré précis d’inclinaison, mon dieu comme un chat ! Regina avait eu les dents affûtées et les oreilles en arrière, Charles les oreilles plates et les yeux brillants, Abbe les oreilles droites et le nez qui frétillent. Quand à Mushu les oreilles en avant et le regard attentif.
Plus ses paroles s’enchaînent plus tu t’approches de lui, comme pour mieux entendre, ton nez commence à frétiller et tes oreilles pointées sur lui comme des paraboles. « Je t’aime » comme l’amour qu’il a sur ses beaux tissus, comme l’amour qu’il à envers Mulan, comme celui qu’il à envers le thé ? Ou comme tout autre chose ? Cette chose que même toi tu n’arrives pas à mettre aux claires. Le laissant finir il termine son monologue par le fait de partir, tu fronces les sourcils et pointe ta gueule furieusement vers le sien au point que ton souffle peut soulever ses mèches. « Tu m’aimes, comme quoi. Comme le fait que tu n’as jamais rien dis ni rien soulever quand je t’ai embrassé, certes j’ai fais sa sur un coup de tête mais après je me suis rendu compte que le fais que tu ne dises rien m’as vraiment blessé. Ensuite ouais toi tu as le droit de te transformer pour que je trouve sa mignon mais suffis de faire deux metre de haut pour que tu aies peur, moi j’ai pas eu peur même si tu avais dix mètre de haut sache le. Bref cpas grave je m’attendais pas non plus à être comme ça je t’assure. » Un flot de paroles s’écoulent de ta bouche comme un robinet cassé, plus tu parles plus la brume noire qui avait permis ta mutation reprend le dessus pour te redonner taille et forme normal. De ta petite taille de jeune femme tu lui enfonces le doigt dans le thorax « ta mis du temps pour émerger, bon je te l’accorde ce n’est pas facile mais j’attendais que ca que tu viennes me voir. J’étais en colère contre toi oui, mais c’est bon j’ai écoulé la moitié de mes frustrations »
Tout ce que tu avais engendré de colère et de déception ressort, depuis votre arrivée ici c’est comme si tu avais besoin de souffler comme une cocote minutes et la fin de cuisson était le passage de Mushu « je suis désolé de t’avoir blessé, ce n’était pas censé ce passé comme ça, pas du tout, d’ailleurs j’aurais largement préféré que ça transperce la famille de cas social » d’un coup de tête tu veux lui faire comprendre de qui tu parles en montrant les gens qui commencent à partir. « Alors oui je m’en veux tu ne peux pas savoir mais je sais que tu vas t’en remettre on trouvera bien un truc magique pour ça. Et promis je ne recommencerais pas à jouer avec les âmes des gens, la première fois je m’excuserais toujours pas … Mais ici j’ai un peu dépassé les bornes mais » tu soulèves bien le doigt pour marquer ta phrase « si c’est glandu m’avais juste aidé ou même fait semblant de fouiller je n’aurais pas pété les plombs comme ça face à leur mépris. Je suis gentille mais pas débile …. » Ton regard noir se dirige vers le groupe qui soutient cette femme bizarre qui tient le Libertease. « Bref une dernière chose avant de partir et cette fois j’espère que ça te fera percuter » tu lui prends le col avec la douceur qui te colle à la peau. Et viens lui voler un vrai baiser te fichant des regards qui peut se poser sur vous, cette fois il te la dit donc tu as le droit de faire ça sans gêne, c’est pas comme ça que ça marche normalement ? Tu le retiens comme s’il n’avait pas le choix, après tout tu es possessive et tu l’assumes et il devrait le savoir depuis le temps. Quelques secondes plus tard, tu te détaches et lui embrasse le nez, soupirant soulagée et surtout comblée, un sentimen nouveau mais jouissif autant que la colère. Mais cette fois si personne sans que personne ne soit blesser. Souriante, enflammée tu te pinces les lèvres sur la pointe des pieds. Chuchotant comme dans un petit cocoon "Tu sais que je tiens à toi je le dis à assez souvent mais la ça prend encore plus d'empleure!! Ne l'oublie pas ..." Un bisou sur le coin des levres et tu lui prend la main vivement, après tout ça tu n’as pas perdu ta vivacité. « On s’en va aussi » tu repères Absolem au loin et suis sa route sur cet étrange pond orange, c’est assez jolie pour un endroit aussi déprimant. 2981 12289 0
Régina arriva droit devant lui, alors qu’il avait lâché C.J. et n’avait rien fait en soit. Tout à fait innocent ! Il la regardait appprocher avec un petit sourire benêt. Elle lui mit une gifle monumentale. Griotte passa du sourire d’idiot à la bouche grande ouverte, choqué et offusqué. Il ramena lentement son visage qui aurait pu faire un 360* s’il n’avait pas eu de cervicale. Il n’avait en rien changé son expression, fixant Regina avec colère et effroi. Pour lui, il ne comprenait pas, il avait fait une bonne action puisque j’avais relâché l’autre gamine là. Elle m’veux quoi la Régine ?.
Rozen vint alors le prendre par les épaules, engueulant la Maire. Charles opinait du chef pour confirmer les dire de Rozen et se mit alors à pleurer des larmes de crocodile en geignant d’une voix aigüse. Il se plaignait de Regina, elle l’avait claqué alors qu’il n’avait rien fait, etc... Elle l’amena vers Absolem. Griotte était encore plus esclave de ses émotions et plus sensible dans les Enfers. Il avait vraiment envie de pleurer même s’il exagérait un peu, surtout dans les faits qu’il citait à Rozen. Une émotion à la fois. Comme un enfant puni par sa mère, il accusait le coup. Alors, devant l’oncle de son amie, il en remis une couche. Et bla bla bla « Regina elle est méchante ! ». Puis après avoir prit le temps de raconter touuuut les malheurs qu’elle m’a fait vivre à Storybrooke tout en se frottant les yeux, il vit enfin le visage de l’homme qui avait pour mission de le sortir de là. Il cligna des yeux et le vit. Lui.
La griotte, elle ne pleurait plus là. Ah ça non ! Il grimaça. « Non, non, non, non, non, non ! Pas toi... Ne me touche pas ! Ne me regarde pas, ne me parle pas ! Noooan pas ton regard de braise !» dit-il comme paniqué, puis la seconde d’après, il était prêt à lui laisser toute liberté sur son corps, et ensuite troisième seconde : il reprit sa forme de fée avant de fuir loin, mais loin. Quelle chance, la voie était ouverte. Direct chez sa Zélie se glissant sous son oreiller.