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Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
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"Ah ! Parce que serais encore ici, s'il y avait une sortie d'après toi ?" Riposta la grand-mère qui n'avait pas sa langue dans ta poche. "Pendant qu'ils sont occupés sur autre chose." Dit-elle avec un mouvement de tête en direction de la foule. "Dites-moi comment vous êtes arrivés ici."
La foule regarde toujours en direction de l'horloge comme s'ils redoutaient de la quitter des yeux. Une personne proche de votre groupe fronce les sourcils en entendant la voix de Charles, il se tourne vers lui. "Hé, mais, je connais cette voix." Commenta-t-il à voix haute. "Toi !" Dit-il en pointant du doigt. "Ta tête me dit quelque chose..." Déclara-t-il d'une voix pensive en s'approchant.
Charles, cette personne est ici à cause d'une de tes plaisanteries qui a mal tourné, elle ne peut pas te reconnaître immédiatement comme tu n'es pas sous ton apparence de féetaud. A toi de décider si tu te souviens de cette personne ou non.
Vos choix : Si vous décidez de parler à la grand-mère de Vicky : lancez un dé oui-non. Deux 'oui' est nécessaire pour apaiser son âme. Si vous décidez de continuer votre route pour exploiter vos trouvailles : lancez un dé 6. Vous pouvez lancer les deux sortes de dés si vous voulez faire les deux actions.
Hilda était d’accord avec Charles pour partir au plus vite et continuer leurs investigations ailleurs. - Vous croyez que c'est un hasard ? Rappelez vous. Celle de Storybrooke ne s'est mise à fonctionner que lorsque la malédiction a été levée. Fit Hilda. Tout à coup, quelqu’un arriva dans la salle des archives. CJ ne fit pas trop attention à la personne mais lorsqu’elle entendit son nom, elle leva les yeux vers l’inconnu. D’abord, il lui sembla l’avoir déjà vu quelque part mais elle n’arrivait pas à savoir d’où mais en le regardant encore un long moment, elle finit par reconnaître son grand-père. Ce dernier n’était pas comme elle en avait gardé le souvenir. Il n’était plus que l’ombre de lui-même. La jeune fille se dit que c’était sans doute dû à la longue maladie qu’il avait eue en plus de ce qu’il avait dû vivre dans cette ville. Mais comment était-il arrivé ici ? Il était mort à Boston, non à Storybrooke. Mais la joie de le revoir l’emporta. - Grand-pèèèèèèère ! cria-t-elle en lui faisant son plus beau sourire. Que je suis contente de te revoir ! J’ai pleins de choses à te raconter ! Mais Hilda pressa le groupe à partir. Prenant la main de son grand-père, CJ suivit Hilda, passant devant lui pour l’aider ensuite à sortir. Elle était si contente de le revoir qu’elle ne le quitta plus, lui tenant la main comme avant tandis qu’il serrait toujours contre lui son dossier. Georges répondit à Vicky avant de reporter son attention sur sa petite-fille. - Mais non ! T’inquiète pas mon petit grand-père chéri ! Elle lui raconta tout ce qu’elle avait vécu depuis sa mort, parlant de son arrivée à Storybrooke, de son adoption par Regina sans oublier de dire que c’était une femme très gentille et maman d’un petit garçon d’environs de son âge. Et aussi de Robin des Bois qui lui avait appris à tirer à l’arc à l’école en plus d’être son papa adoptif. Elle finit au sujet de ses notes scolaires qui s’amélioraient un peu plus. - Et tu sais quoi grand-père, j’ai rencontré une de mes princesses préférées, Belle. Elle est trop sympa ! Ils arrivèrent non loin de la bibliothèque où CJ vit que la tour de l’horloge était tombée et que quelqu’un s’acharnait sur les aiguilles. CJ eut un petit rire en entendant la réplique de Vicky au sujet d’excalibur avant que celle-ci n’aille questionner une femme. L’adolescente ressentit tout à coup comme une onde de choc et trouva cela bizarre. - C’était quoi ça ? Elle ne pouvait pas connaître l’effet que cela avait eu lors du brisement du sort noir. Quant à Charles, il se montra bien mal poli, surtout avec la grand-mère de Vicky. Tout à coup, une personne sembla connaître Charles.
La grand-mère de Vicky regarde avec bienveillance les retrouvailles entre CJ et son grand-père. Elle pose une main sur l'épaule de ce dernier pour lui glisser. "Je crois que cette fois vous arriverez à passer." Ce qui provoqua une hésitation auprès du grand-père. "Mais, ma petite fille... Tant qu'elle restera ici, je ne pourrais pas." Riposta-t-il. Malgré tout une lueur d'espoir était née dans son regard face à l'affirmation de Tala.
L'homme qui avait reconnut Charles garde ces distances, il se détourne de vous, mais lance des regards à la dérober comme s'il attendait l'éclair de lucidité qui lui permettrait de se rappeler pourquoi la voix de Charles lui semble familière.
Vos choix : Si vous décidez de parler à la grand-mère de Vicky : lancez un dé oui-non. Il reste un 'oui' pour apaiser son âme. Si vous décidez de continuer votre route pour exploiter vos trouvailles : lancez un dé 6. Vous pouvez lancer les deux sortes de dés si vous voulez faire les deux actions.
Médusée, Hilda assistait à un acharnement des plus déplacés sur les aiguilles de l'horloge qui venait de s'écraser à terre. Qu'est ce qui avait bien pu provoquer ça ? Et pourquoi en voulait-on aux aiguilles ?
- Et voilà pourquoi on évite de confier des objets magiques aux humains ! Soit ils ne s'en servent pas bien soit ils les saccagent!
Charles la secouait pour consulter les plans. Elle les sortit de son sac et les lui mit dans les bras. Qu'il se débrouille un peu ! Il y eut d'ailleurs quelqu'un qui regardait le fétaud d'un air mauvais.
- Tu as un admirateur on dirait. Partons d'ici. Les mouvements de foule n'amènent jamais rien de bon.
L'aiguille bougea de nouveau ce qui fit sursauter la fée. Où fallait-il aller maintenant ? Il y avait le grand père qui semblait apaiser et puis la grand mère qui ne l'était pas. Etaient-ils là pour ça ? Scrutant le ciel un instant elle chercha son étoile du Nord qui n'était pas là. Elle n'avait pas d'idées sur ce qu'il fallait faire et ce n'était pas si souvent.
- On tente le sous-sol de la bibliothèque ?
Ils n'étaient pas loin. Dans une bibliothèque il y avait toujours des informations à prendre et il serait tout de même curieux que le sous-sol du Puragatoire soit vide non ?
À cause du rassemblement autour de l'horloge, il faut jouer un peu du coude pour atteindre la bibliothèque. À l'intérieur, vous trouvez une réplique assez fidèle de la bibliothèque de Storybrooke. Contrairement à la mairie, l'endroit n'est pas passé par la case 'pillage' à croire que l'accès n'en a été ouvert que très récemment, si on tient compte de la poussière. L'ascenseur menant vers le sous-sol est fermé par une grille, vous pouvez sentir une faible barrière magique.
Tala reste à la porte et surveille la foule, à moins que cela soit l'horloge qu'elle regarde avec autant d'attention...
Vos choix : Si vous décidez de parler à la grand-mère de Vicky : lancez un dé oui-non. Il reste un 'oui' pour apaiser son âme. Si vous décidez de continuer votre route pour exploiter vos trouvailles ou si vous inspectez les lieux : lancez un dé 6. Vous pouvez lancer les deux sortes de dés si vous voulez faire les deux actions.
Arrivée devant l’horloge, je tente le tout pour le tout et demande des informations à une femme de la foule, qui semble surprise par le fait que j’ai dans les mains un pied de biche. Elle m’explique qu’ils ont vu l’aiguille de l’horloge bouger et qu’ils tentent de la refaire bouger. Mais alors qu’ils essaient, cette dernière se remets à bouger avant que je ressente soudainement une onde de choc dans l’estomac, comme lors de la rupture de la malédiction. C’était aussi intense qu’à ce moment là. Je sens soudainement un petit choc derrière la tête et me retourne avant de voir Mamina.
« Dis-moi jeune fille, quelle partie de 'c'est dangereux' tu n'as pas compris. - Mamina… » dis-je gênée avant de reprendre « Tu me connais aussi bien que tu connais Papa, tu sais que je suis comme lui, que l’aventure ne me fais pas peur mais je…on cherche un moyen de quitter cet endroit parce que j’imagine que tu préfèrerais me savoir à Storybrooke qu’ici, je me trompe ? » lui dis-je avec un sourire.
J’avais toujours eu un lien très fort avec ma grand-mère, depuis mon enfance, elle avait toujours su que j’avais l’âme d’une exploratrice, que sur ce fait, je ressemblais énormément à mon père, je fais les gros yeux quand Charles se mets à mal parler à ma grand-mère mais sourit devant sa répartie, elle a encore du caractère, je crois que je tiens un peu d’elle aussi. J’approche mon visage du sien et lui murmure tout en lui montrant mon collier « J’ai toujours le cœur de Te Fiti, peut être qu’il pourra nous aider. »
Je le cache rapidement sous mon tee-shirt et regarde les autres avant de faire un signe approbatif de la tête lorsqu’Hida propose le sous-sol de la bibliothèque. On réussis à entrer dans la tour de l’horloge, le regard ébahi par le fait que c’est pareil qu’à Storybrooke, enfin presque entièrement pareil, rien ne semble avoir bouger, je me rends compte que ma grand-mère reste à la porte, je regarde les autres et retourne vers ma grand-mère.
« Grand-mère, tu sais, j’aimerais te savoir dans un monde meilleur plutôt qu’ici, je ne crains rien, tu me connais, je sais me défendre, et puis l’océan est mon ami, si besoin il me suffira de me rendre au bord de l’océan et… je te ressemble beaucoup tu sais, j’ai ta force de caractère et ton instinct. Mais j’ai besoin de toi, tu crois que tu peux nous aider…après tout, tu connais ce monde mieux que nous et puis, tu…j’ai envie d’être avec toi, tu m’as tellement manquée toutes ces années. »
J’espérais qu’elle accepterait de rester un peu avec moi, ensuite, je serais heureuse de la voir passer dans l’autre-monde, là où elle serait heureuse et où je la saurais en sécurité. Mamina méritait d’être heureuse, plus que tout au monde, mais j’étais certaine aussi qu’elle pourrais nous être sans doute d’une grande aide, car après tout, même si nous connaissions Storybrooke, ici, c’était Underbrooke et en soit, y’avais quelque chose d’inconnu et mieux valait être avec quelqu’un qui connait les lieux non ? Et puis, je dois avouer qu’avec elle, je me sentirais en sécurité, je me suis toujours sentit en sécurité… Je prends sa main dans la mienne et lui souris avant de me rendre vers l’ascenseur, ignorant si Mamina nous suivrait et sens la barrière magique qui s’en échappe.
« Bon…Comment on brise la barrière magique ? Je pense pas que le pied de biche nous soit d’une grande aide. » énonçais-je. La seule « arme » magique que j’avais était le cœur de Te Fiti mais nous servirait t’il, je n’en savais rien. Cependant, il fallait bien qu’on trouve un moyen, je le retira de sous mon tee-shirt et le laissa pendre le long de mon cou, après tout, la barrière était faible et il fallait à tout prix qu’on descende.
Le regard de la grand-mère pétille en observant le coeur de Te Fiti, elle est également très fière d'apprendre que sa petite fille n'a pas renoncé ou oublié sa mission. Elle murmure à son tour : "Rien ne pousse ici, mais les choses commencent à changer depuis votre arrivée. Peut-être qu'avec un petit coup de pouce..." Commenta-t-elle en touchant brièvement le collier. On sent à l'intonation de sa voix que c'est une théorie plutôt qu'une affirmation.
Elle vous suit et garde un oeil sur la foule. Sa mine soucieuse disparaît lorsque Vicky vient lui parler. "Puisque nous parlons de l'océan, laisse-moi te mettre en garde. N'approche pas de l'eau d'ici, tu as dû le sentir, elle est différente, de très mauvaise chose se passe si quelqu'un la touche. Je ne sais pas si ces dangers s'appliquent à des vivants..." Elle serre les mains de Vicky. "Si je savais comment vous faire sortir d'ici, je vous aiderais bien plus, mais, la seule issue que je connaisse est pour les morts et uniquement pour eux. Quant à l'aide que tu peux apporter..." Un bruit d'aiguille retentit bruyamment, l'interrompant, suivit par une nouvelle exclamation étonné de la foule qui entoure l'horloge. Vous sentez que la protection magique barrant le passage de l'ascenseur en face de vous a légèrement diminué. "Tu l'as déjà fait." Compléta-t-elle avec un sourire. "Ne t'inquiète pas pour moi, grâce à toi, je sais pourquoi je suis ici, dès que je te saurais en sécurité, je pourrais aller dans un monde meilleur." Affirma-t-elle avec tendresse.
Un nouvel élément interrompit cette touchante scène, vous entendez une voix provenant dans un bas de la cage d'ascenseur, à peine audible malgré le fait que la personne doit certainement crier, quoi qu'il puisse y avoir en dessous, une voix féminine appelle "Au secours, aidez-moi ! Il y a quelqu'un ? Pitié !"
Est-ce un piège ?
Vos choix : Si vous décidez d'essayer de parler à la personne : lancez un dé oui-non.
Si vous décidez de continuer votre route pour explorer d'autres endroits de la ville : lancez un dé 6.
Si vous voulez tenter d'agir pour ouvrir la porte : lancez un dé 6, le résultat déterminera la réussite de votre action : 1 : écrasante réussite de votre action 2-3 : réussite classique 4-5 : effet discutable d'un point de vue utilité 6 : échec cuisant
Vous pouvez lancer les deux sortes de dés si vous voulez faire deux actions.
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Dim 20 Aoû - 23:11
Arrivée devant l’horloge, je tente le tout pour le tout et demande des informations à une femme de la foule, qui semble surprise par le fait que j’ai dans les mains un pied de biche. Elle m’explique qu’ils ont vu l’aiguille de l’horloge bouger et qu’ils tentent de la refaire bouger. Mais alors qu’ils essaient, cette dernière se remets à bouger avant que je ressente soudainement une onde de choc dans l’estomac, comme lors de la rupture de la malédiction. C’était aussi intense qu’à ce moment là. Je sens soudainement un petit choc derrière la tête et me retourne avant de voir Mamina. 
