On se connaît ?

Tout est encore possible et je suis sur que tout aurai quelques chose à dire si nous pouvions réunir tout le monde. Refaire la législation est quelques choses de très important, qu'il ne faut pas laisser au hasard. C'est pour cela que je veux les représentants de toutes les catégories et des légistes compétents. Autant dire que ça ne sera pas en un jour. Je vois que la cause des femmes tient beaucoup à cœur à Anne. Je l'a comprend. Dans notre société elles ne sont pas mieux traités que certains animaux. Et notre société ce dit moderne. On est très loin du compte. C'était une cause qui tenait beaucoup à ma femme et je ne la décevrai pas. Les femmes doivent se libérer de leurs chaînes et prendre leurs droits à l'égale des hommes. Cela non plus se ne sera pas une mince affaire. Les mentalités vont devoir changer et c'est qui va me poser le plus de problème. Lorsqu'une idée est enracinée dans notre esprit il est très difficile de l'en faire sortir. Je sais de quoi je parle.

-Je n'ai pas osé le relever de peur de vous froisser. Dis-je avec un petit sourire amusé.

Un loup en plein assemblée ça ferai désordre. Si on pouvait l'éviter ça ne nous ferai gagner beaucoup de temps et de vie. Quoi que certains je sais déjà que certains vont nous bloquer plus qu'autre chose. Ceux là ils ne manqueront à personne si ils se font manger.

La conversation changeât radicalement pour passer à des choses plus appréciables. Je pense avoir comprit que c'est une manière pour Anne d'enterrer la hache de guerre entre nous, même si elle fut de courte durée. Après son petit jeu sensuel tout autour de moi. Elle s'approche jusqu'à pouvoir déposer une baiser chaud contre mon cou. Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas ressentie ça. Du désir brut. Anne se relève doucement pour s'approcher de la porte de sa cabine, elle chuchote un mot à l'un de ses marins puis elle se retourne vers moi.

-Qu'est ce que serai la vie sinon. Dis-je en posant mon verre au sol pour marquer mon envie, tout en lui lançant un regard emplie de désir.

On se connaît ?

J
e ne voulais pas froisser la demoiselle. Déjà parce que je suis chez elle et parce que nous pourrions devenir amis. J'essaierai de la convaincre de ma rejoindre dans mon combat. Je suis sur que seulement par son nom, elle apportera une grande influence et une légitimité à notre actions. J'en suis persuadé.

-Vous seriez une très bonne représentante de la cause des femmes. Elles pourraient avoir besoin de vous. Vous savez beaucoup de choses des tourments causés aux femmes et même des choses que je ne soupçonne même pas j'en suis sur. Si je reste près de vous, vous devriez rester humaine et ça tout se passera bien. Mais ne vous inquiétez pas ce n'est pas pour tout de suite, j'ai encore beaucoup de travail. Nous tous, avons encore beaucoup de travail. Ce n'est qu'ensemble qu'on arrivera à changer les choses. Dis-je souriant.

Un je de la séduction avait commencé entre nous. A qui ferai flancher le premier. Je pense que je peux m'avouer vaincu tout de suite. Je ne suis pas expert dans ce domaine. Etant très porté sur le sentiment, je vais rarement voir celles que l'ont pait pour ce service. Je préfère être avec une femme qui est avec moi parce qu'elle en a envie pas parce qu'elle est payée. Anne se tient devant moi fluette, féline. Je lui fais comprendre que je suis d'accord avec cette alliance. A ce moment elle s'approche de moi et vient me voler un baiser. Ses lèvres étaient chaudes et douce. Les lèvres d'une femme son parmi les plus belles choses qui existent. Puis elle se penche pour embrasser mon cou, à ce moment j'en profite pour passer ma main dans ses cheveux, ils sont si doux et froids, tous les contraires de nous deux. Je sens mon bas ventre bouillir. Je prend doucement sa tête entre mes mains pour venir à mon tour lui prendre un baiser que je fais durer cette fois-ci. Avec mon autre main j'attire doucement Anne contre moi. Je sens sa main se glisser le long de ma cuisse pour atteindre mon intimité. C'était dernière est si tendu qu'elle commence à me faire mal dans mon pantalon. Si elle voulu me mener à bout elle a gagné.

On se connaît ?

Notre conversation prenait un tournant assez inattendu je dois dire. Nous nous sommes beaucoup rapprochés et nous pouvons sentir une tension, un désir qui étouffe cette petite pièce. Ou peut-être n'est ce que moi. Je n'ai pas prit de femme dans mes bras depuis la mort de Maddie et le contact d'une peau douce me manque. Anne est
envoutante. A la fois gracieuse et sauvage, ça donne un mélange plutôt intéressant.

-Je comptes sur vous

Son yeux jaunes rend son regard enflammé, ça me donne l'envie de me laisser consumer par ce brasier. Mourir dans les bras d'une femme est peut-être la meilleure chose qu'il peut arriver à un homme. Je ne pouvais m'y tromper, ses lèvres brûlent lorsqu'elle dépose un simple baiser. Quand elle s'éloigne ces deux petits bouts de chaires me manquent déjà. Je ne peux m'empêcher de passer ma main dans ses cheveux pour qu'elle ne s'éloigne plus, j'accentue ma contrainte sur elle en l'attirant vers.

Je sens des picotements au niveau de mon entre jambe. Une main baladeuse s'est doucement frayée un chemin pour constaté mon état et ça n'est pas du tout catholique. Je ne peux m'empêcher de frissonner au contact de cette espionne.

Une voix sensuelle vient me chuchoter à l'oreille que le lit serai plus confortable, en même temps je sens ma chemise glisser le long de ma peau. Je veux moi aussi voir sa peau claire, y faire balader mes doigts. Aidé par la caisse je me relève doucement, de ma main libre je prend celle d'Anne pour la faire aller devant son lit tout en pivotant moi également. Face à face je l'invite à s'assoir sur le bord, en m'agenouillant devant elle ça me permets d'être à sa hauteur. Je passe ma main le long de ses cheveux et je l'a fait descendre sur son épaule et je finis sur sa poitrine. Ce sont deux seins ferment qui ne demandent qu'à être caressé. Mes doigts se faufilent sous la couche de vêtement pour les atteindre. Il sont si ... Cela fait longtemps que je n'ai pas ressentie ça : du désir. Je veux le partager avec Anne et je me relève pour venir l'embrasser.

On se connaît ?

Cela fait longtemps que je ne n'ai pas profité d'un tel moment. Je me le suis interdit depuis la mort de Maddie. Je ne voulais pas la tromper, je ne voulais pas la déshonneur. Nous étions si heureux, je pensais que jamais je ne vivrai pareil chose. Je ne saurai dire ce qui m'a fait changer d'avis. Une envie de sexe surement pour commencer et le désir de sentir une femme dans mes bras. Avoir l'impression l'espace d'un instant d'avoir ma femme à mes côtés comme avant. Certes ce ne sera jamais comme avant mais ça s'en rapproche beaucoup et ça me convient.

Depuis que je suis veuf, j'ai perdu le goût à la vie, à l'aventure. Je voulais continuer notre projet de libérer les peuples mais je le faisait machinalement. Je savais que tout mon être n'était dévoué à la cause. J'étais partagé entre la colère, la tristesse, la honte ... C'était horrible, je semblais plus mort que vivant. Et pourtant ... Il a suffit d'une discussion avec Anne pour que mes douleurs s'évanouissent peu à peu. Ses baisers, ses caresses. Elle sait où toucher pour faire ressentir des sensations je pensais très loin de moi. 
du désir, de la passion, des frissons. Cela fait beaucoup pour le veuf que je suis, mais je ne veux pas rater un moment de cette passion éphémère. Je me laisse entière aller à mes désirs.

Malgré la fièvre qu'il y avait entre nous je ne veux pas précipiter les choses, nous avons notre temps. Je veux redécouvrir le corps des femme et Anne me laisse faire à ma convenance. Assise sur le lit, je profite de ma bonne hauteur pour admirer sa merveilleuse morphologie. Elle est plus mince que Maddie mais cela lui va très bien. Elle suit le mouvement des mes mains pour faire tomber sa chemise sur ses épaules. Je perçois un sourire que se dessine sur ses lèvres, j'en conclus qu'elle apprécie ce qui se passe. 

-Je ne me le permettrais pas, sinon je ne pourrai pas profiter pleinement de ce corps. Et à quoi je vous servirai si je venais à perdre la tête.

 Anne réponds passionnément à mon baiser et m'attire avec elle sur le lit. Placé au dessus d'elle je pouvais voir l’entièreté de sa poitrine qui se dessine sous mes yeux. Me tenant par la nuque nous échangeons un nouveau baiser puis je viens lui embrasser le cou, pour arriver sur la poitrine que j'embrasse tendrement. Je comprend que plus d'un homme y est perdu la tête. On pourrait dire qu'ils sont fait pour ça.

On se connaît ?

Nous sommes tous les deux plongées dans ce moment qui semble suspendu dans le temps. J'ai impression de réapprendre à vivre ou du moins à apprécier la vie. Ces dernières années j'ai vécu de manière assez mécanique. Je commande mon équipage, nous faisons des attaques ciblées, nous aidons d'autres équipages dans le besoin, j'ai fais pas mal de diplomatie pour notre cause. On ne peut pas dire que j'ai faillit à ma mission mais je l'ai fait parce que je l'avais promis à mon amour. Sans elle ça n'avait plus la même valeur. 

Quand j'ai vu Anne se présenter devant moi, criant vengeance pour la mort de son fils, je me suis presque vu quelques années auparavant voulant la même chose pour ma femme. La voir comme ça révolté qu'on lui ai prit son fils, ça m'a beaucoup marqué. Malgré la mort qui plane autour d'elle, elle n'a rien abandonné, elle continue sa vie, elle m'a même pardonné. J'ai l'impression que ça m'a remis quelques idées en place. Et je ne comptes pas m'arrêter là dans mon retour à la vie.

Inconsciemment je suis très reconnais à Anne pour sa patience avec moi. Je ne suis peut-être le genre d'homme quelle fréquente d'habitude. Pour la remercier je voulais qu'elle prenne autant de plaisir que moi. Je préfère être délicat dans mes gestes, je n'aimes pas les gestes brusque, on ne ressent pas aussi bien les choses sinon. 

Très vite nos deux chemises tombent au sol, à égalité sur ce point le temps était à la découverte du corps de l'autre. Ses formes étaient magnifiquement dessinées. Sa peau blanche semblait briller sous les rayons du soleil. Anne m'attire vers elle, en suivant son mouvement je viens trouver ses lèvres de plus en plus chaudes.

Je crois lire dans son regards que je ne l'a laisse pas indifférent, tant mieux je ne veux pas être le seul à en profiter, je perçois même un frisson de sa part ce qui me fais sourire. Entre deux baisers Anne commence à défaire mon pantalon. Je pose ma main sur sa joue.

-Je les aime bien comme ça. Dis-je en souriant.

J'ai l'impression qu'avec la révélation de ma capacité, il y a beaucoup de chose que je ne pourrai voir Je ne peux pas encore dire si c'est une bonne chose ou pas. Je verrai ça en temps voulu. En ce qui concerne Anne, sa condition de mi-humaine mi-louve ne me dérange pas à partir du moment ou je sais qu'Anne est une amie. Dans le cas inverse je ne dirai pas la même chose mais je ne serai pas là de toute manière.

-Si ça ne te dérange de le faire avec un unijambiste ça je ne me dérange pas non plus. On a chacun nos particularités et c'est ce qui fais ce que nous sommes.

Je ponctue ma propre phrase en répondant à son baiser. A mon tour je commence à défaire sa ceinture que je lâche au pied sur lit, et à faire glisser son bas le long de ses jambes fines.