Il demeure obligatoire. Cependant, si vous n'avez pas rp pour le mois en cours il vous est possible de recenser une absence.
Nouvelles têtes
Souhaitons la bienvenue à Eve Copeland, Ruby S. Lucas & Thalie O. Lowell qui nous ont rejoint récemment. N'hésitez pas à passer par leur fiche de présentation pour leur souhaiter la bienvenue, ou sur leur fiche de liens.
Le calendrier de l'avent
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Il était une fois, par une douce nuit de fin juillet... Vous étiez dans la Forêt Enchantée, vous vous remettiez des festivités passées. Certains avaient peut-être profité de ce voyage pour se rendre dans les contrées adjacentes, le comté de Nottingham, la Forêt de Sherwood, ou se rapprocher des rives Est des Sept Mers. Seulement cette nuit-là, quelque chose se produisit. Vous vous réveillez dans une immense cellule avec d’autres personnes que vous connaissez plus ou moins, que vous avez au moins croisées les jours précédents lors des festivités du mariage royal. Que faites-vous tous ici ? Comment avez-vous atterri là ? Toutes ces questions et d’autres encore se bousculent dans vos têtes, mais vous n’avez pas le temps de trouver la réponse qu’un cliquetis métallique se fait entendre, annonçant l’arrivée imminente de chevaliers face à vous. Les épais barreaux vous séparent d’eux, qui jouissent de la liberté. A leur tête se trouve le roi Arthur. Certains d’entre vous le connaissent, d’autres pas, mais vous ne tardez pas à comprendre que vous êtes à Camelot et que la magie n'est pas étrangère à votre arrivée ici. Le roi a un sourire carnassier aux lèvres et vous regarde tour à tour.
« - Excalibur m’a été dérobée. Je sais que ce méfait est l’œuvre de l’un d’entre vous, sinon une action commune. Mais à vouloir jouer au plus malin, vous allez vite comprendre que ce n’est pas avec moi que vous gagnerez, bande de scélérats. Nous allons vous faire passer à la question un par un. Si personne ne consent à me donner de réponse quant à MON épée, vous serez tous exécutés à l’aube. Inutile de vous préciser que ce sous-sol annihile toute magie, inutile de vous fatiguer. Gardes ! »
Un duo de gardes armés, cernés par les chevaliers de la table ronde à la solde d’Arthur, attrape l’un d’entre vous, le plus près de la porte. Chacun à votre tour, vous êtes emmené dans une cellule adjacente où l’on vous pose une multitude de questions auxquelles vous ne savez répondre. On vous traite sans ménagement, et pour ceux qui ne sont pas encore passé, vous pouvez entendre les cris et gémissements de douleurs de vos compagnons qui sont traités sans le moindre égard non loin de là. Chaque prisonnier qui revient dans la cellule n’en mène pas large, et un suivant est emmené. Une fois que tout le monde est passé, Arthur revient face à vous, il a l’air furieux.
« - Bande de méprisables traîtres ! Vous serez tous brûlés vifs dès demain à l'aube ! A moins que mon épée ne me soit rendue. »
Sans davantage de palabre, le roi tourne les talons, suivi de ses chevaliers et quitte les geôles. Vous vous retrouvez seuls. Il vous faut fuir à tout prix.
[ Consignes : -Faites des RP courts, de MAXIMUM 500 mots. -Quand c’est à votre tour, vous avez 48 heures pour poster. Vous pouvez demander un délai de 24 heures supplémentaires dans le sujet adéquat ou carrément passer votre tour si vous savez d'avance que vous ne pourrez pas répondre. Merci de ne pas en abuser pour que l’action ne perde pas de son impulsion. -Après chacun de vos posts, lancez un dé «Oui/Non ». Le MJ postera une fois 3 "oui" obtenus. (donc attendez l'intervention au 3ème "oui". -Si les 3 "oui" ne sont pas obtenus à l'issue du premier tour, attendez l'intervention MJ. - Ordre de passage: EVE COPELAND - SELENE VANDERVELDE - RUMPELSTILTSKIN - ZELENA MILLS - ROBIN DE LOCKSLEY - EVER TINKALISTER ]
Comment on en était arrivés là déjà ? Ah oui. Je vous résume la situation. Un mariage, une fête grandiose, de la musique, pleins de bonnes choses à manger et puis après du temps. Du temps pour retrouver nos marques, après environ trente années à vivre dans un monde bien loin du notre. Puis, il y a eu cette nuit. Oui, quand je me suis endormie, je ne pensais pas me réveiller ici, prisonnière, telle une luciole attrapée par un chasseur de papillons mais voilà. C’était le cas. Je me relève, vêtue de vêtements que je portais quelques heures plus tôt. Depuis notre retour, je savais que bon nombre de fées ne m’avaient pas suivie, d’autres avaient pris leur envol et je ne leur en voulait aucunement donc, depuis notre retour, j’étais retournée dans notre royaume avec mes partisanes, celles qui avaient souhaité me suivre.
Puis, je voulais aussi me retrouver, savoir un peu où j’en suis mais je ne pensais pas me retrouver enfermée dans cette cellule, à Camelot, soupçonnée d’avoir volée une maudite épée dont je n’avais aucunement entendue parler et encore pire…Sans aucuns pouvoirs magiques. Me relevant, je m’approche de la cellule tandis qu’Arthur prend la parole. Comment je le connais ? ça vous le saurez en temps voulu. Voilà que ses gardes ouvrent la porte et qu’ils m’attrapent par le poignet.
« Lâchez moi ! On ne vous jamais appris à ne pas brusquer une femme bande de scélérats ?! »
Il est clair que si j’étais toujours détentrice de ma magie, ils auraient vite compris qu’il ne faut pas me brusquer mais le mien à faire était de coopérer. Cependant, connaissant la chose, je savais que ça n’allait pas être simple de leur faire comprendre que je ne sais aucunement rien du tout sur cette maudite épée d’Excalibur. Je pense que je vais pas m’amuser à vous écrire tout ce qu’il se passe dans cette cellule reculée ou nous allons tous passés un à un, je suppose que vous avez compris et que mes cris sous la torture de ses soldats sans coeur vous ont fait comprendre jusqu’où ils sont capables d’aller.
Je ne leur dit pas un mot, je ne sais rien, pourquoi devrais-je leur parler de quelque chose que j’ignore ? Ils cessent leurs coups et me relève férocement avant de me ramener à la cellule avant de m’y pousser comme si j’étais une moins que rien, sans doute, ce que nous sommes pour eux. Je me laisse glisser le long du mur froid de la cellule alors que nous y passons un à un, il reviennent et nous menace de mort pour l’aube à venir. N’y pouvant plus, sentant la détresse de nous tous réunis, je me relève et m’avance vers les portes de la cellule. Je tente tout de même d’utiliser mes pouvoirs, en vain bien évidemment. Soupirant, je finis par retirer une épingle de mon chignon, libérant ma chevelure blonde avant de tenter de trafiquer la serrure avec.
« Il faut qu’on sorte d’ici avant qu’il soit trop tard. » dis-je simplement, espérant que ça ne fonctionne pas que dans les films.
Quelques jours plus tôt avaient été célébré le mariage de Robin des Bois et de l’ancienne méchante reine, Regina. Sélène avait été à ce mariage. Un magnifique mariage de contes de fée. Elle avait bien profité de la fête et une fois que tout était terminé, elle avait retiré la robe qu’elle portait ce jour-là. Elle avait hâte de pouvoir tout raconter à son frère dès son retour à Storybrooke, une fois que la ville sera à nouveau entre les mains de Mme Hood ou fallait-il encore l’appeler Mme Mills ? Mais ce qui préoccupait à ce moment-là la jeune fille, c’était le lendemain. Le 24, c’était son anniversaire. Elle se coucha de bonne heure, en pyjama car s’habiller à la mode médiéval, c’était bien le temps d’une journée mais pas tous les jours. Il lui était difficile de changer ses bonnes vieilles habitudes et puis, elle se sentait bien plus à l’aise dans ses vêtements. Malheureusement, lorsqu’elle se réveilla, elle eut une drôle de surprise. Elle n’était plus dans sa chambre au château mais dans un cachot et en compagnie non seulement du marié mais aussi d’autres personnes. Elle reconnut une invité au mariage qui avait été aussi à la soirée en noir et blanc mais pas les trois autres. Quoique … Le type n’était pas le propriétaire de la boutique d’antiquité et la rousse, une cinglée apparemment. Mais elle ne put rien dire car quelqu’un sembla venir dans la cellule. Et ce n’était pas n’importe qui mais ça, la blondinette l’ignorait encore. Joyeux anniversaire à l’avance Sélène ! C’est pas beau ça ! Ce fut là qu’elle tilta. Excalibur ? Son épée ? Quoi ? C’était le roi Arthur ? Sélène le regarda ainsi que les gardes qui embarquèrent un par un toutes les personnes présentes dans la cellule. Lorsque ce fut à son tour, elle s’énerva. Mais aucun des chevaliers ne l’écoutèrent. Une fois de retour en cellule avec les autres, elle s’emporta à nouveau après que le roi ait repris la parole. - Le jour de mon anniversaire ! ça ne va pas la tête ! Et la présomption d’innocence, vous en faites quoi ? Je croyais que vous étiez le roi le plus sage, le plus humble mais aussi le plus juste … Mais déjà, Arthur et ses chevaliers tournèrent les talons sans même un regard. L’écrivaine hurla de rage. Tout à coup, Eve fut la première à tenter quelque chose. « Il faut qu’on sorte d’ici avant qu’il soit trop tard. » dit-elle. - Faudrait surtout savoir ce qui lui est arrivé pour qu’il soit aussi con et tyrannique que son père dans une version de la légende que je voyais sur la BBC. Il doit être envoûté ! Elle regarda tout de même autour d’elle pour essayer d’aider la fée. Elle aurait pu l’aider avec son portable mais elle l’avait laissé au château. Elle opta finalement par regarder pour voir si personne n’arrivait.
Escapade apparemment mouvementée. Mais Rumple ne pouvait que s'y attendre... Son crâne lui fait affreusement mal. Il ouvre les yeux, désorienté. Une cellule. Il réprime une envie de hausser les épaules; ce n'est pas comme s'il n'avait jamais été enfermé dans une cellule, sans capacités magiques aucunes. Un demi-sourire étire ses lèvres le temps d'une seconde, jusqu'à ce qu'il réalise qu'il n'y est pas seul. Ses yeux se posent sur ses compagnons de geôle. Un frisson de pur dégoût le parcours alors qu'il y découvre la Fée bleue. Il ne les détaille pas tous, mais remarque Zelena. Rumple roule presque des yeux. Il ne peut qu'espérer qu'elle ne tentera pas de se mettre en travers de son chemin. Et tiens... le nouveau marié. Vilain rictus qui éclaire quelque peu le visage du sorcier.
Puis Arthur se présente aux prisonniers, les accusant, les menaçant. Habituel air provocateur décorant le visage de Rumple. Leur faire subir un interrogatoire. Il est mignon. Ricanement retenu. Même sans magie, Rumple ne parlera pas. Il a plus d'honneur que ça. Et bien trop envie de jouer. Il y avait si longtemps qu'il n'avait pas traumatisé des gens de cette manière. Traîné de force dans une salle, le Ténébreux nargue ses tortionnaires. Ils se croient tous si forts, maintenant que ses pouvoirs sont neutralisés. C'est qu'ils ne pensent pas qu'il parviendra à s'échapper. « Si tu veux me faire parler, dearie, c'est d'avance peine perdue. » Ricanement aigu lui échappant, hors de son contrôle. Étrange mélange entre le sombre Mr. Gold et l'inquiétant Rumpelstiltskin, loin de l'hybride de Storybrooke post-malédiction. La torture se fait psychologique. Ont-ils trop peur qu'un coup leur attire de sombres représailles? Ils font bien. Mais ne peuvent tirer quoi que ce soit de l'homme, qui ne peut s'empêcher de rire sous sa cape. À nouveau poussé dans la cellule, sans ménagement aucun. Il relève la tête, affichant son plus beau masque, mélange de douleur et de peur. Visage tordue dans la plus exquise mascarade. Ils y passent tous, certain moins épargnés que d'autres. Puis, il voit la fée essayer de forcer la serrure. Se redresse quelque peu, adossé au mur. « Et tu crois réellement arriver à forcer la serrure ainsi, dearie? » Ton empli de mépris. Retour vers le si détestable Mr. Gold. Cette visite dans le monde des contes lui fait visiblement un drôle d'effet, balançant sans cesse entre plusieurs versions de lui-même. « Il me semblait que tu étais plus intelligente que de croire à ces sordides contes de fée. » Il appuie sur le dernier mot. Dent serrées. « Arthur a toujours été comme ça... dearie. » Fin de phrase à nouveau appuyée, du même mouvement hargneux. Il est si naturel, avec ces idiots d'étrangers, d'agir comme il le faisait alors qu'il arpentait encore les rues de la ville. Et si normal, avec le roi et ses chevaliers, de reprendre ses vieilles habitudes théâtrales. De quoi rendre confus quelques esprits, dont, peut-être, le sien, alors qu'il tente de réfléchir à un autre plan d'évasion.
Je commençais très sérieusement à être lassée de cette ville. Je n’avais qu’une seule envie, rentrer chez moi pendant quelques temps. Oz me manquait vraiment et là-bas, je me sentais en sécurité. Je savais que ma sœur allait se marier avec son stupide archer et j’aurai très bien pu aller leur gâcher leur stupide fête. Mais aussi incroyable que ça puisse paraître, je n’en avais pas envie. Une fois chez moi, je me servais un verre de vin et d’un mouvement de poignet, je fis apparaître du feu dans la cheminée. Tout était parfait. Lorsque j’eu terminé mon repas, je partais me coucher. Je fus réveillée par une désagréable sensation de froid. Comme si la Reine des neiges avaient glacé tous les feux de mon château. J’ouvrai les yeux, j’étais au sol. Quoi ?? Mais ?? Je me redressais d’un coup. J’étais dans un endroit que je ne connaissais pas et je regardais autour de moi. Je vis Rumple, Robin et d’autres personnes que je ne connaissais pas ou que de vue.
Mais qu’est-ce que cela pouvait bien signifier à la fin ? J’essayais d’ouvrir la porte, mais mes pouvoirs ne fonctionnaient pas. Lorsqu’Arthur arriva pour nous donner ses explications et es menaces qui allaient avec, je ne pu m’empêcher d’éclater de rire. Mon rire raisonna dans tout le sous sol et à en juger par la tête que faisait Arthur, j’allais très certainement prendre cher lorsqu’ mon tour allait venir. Lorsqu’ils vinrent me chercher, je regardais le Roi dans les yeux. « J’ai l’habitude de la torture Sire, je suis une sorcière, les tortures physiques font partie de ma vie et de l’histoire des sorcières. » Je lui fis un petit sourire mauvais et il m’emmena. Bien évidemment, je ne pouvais rien avouer étant donné que je ne possédais pas sa très chère épée dont il tenait temps. Et combien même… Une fois dans ma cellule, je regardais Rumple et la fée. « Rumple a raison, ce n’est pas comme ça que nous allons sortir d’ici. » Je croisais les bras de frustration. Il allait vite falloir que quelqu’un trouve une idée et rapidement. Car si la torture faisait partie de l’histoire des sorcières, me retrouver en train de jouer à la torche sur un bûcher en faisait aussi partie… Je tournais en rond comme un lion en cage et je commençais à avoir froid. Il fallait quand même dire que j’étais en tenue de nuit, pieds nus, dans un sous sol de château avec des rats qui courraient un peu partout. Je regardais Robin, si ce dernier était ici, cela voulait dire que ma sœur n’était pas responsable de toute cette histoire. Mais alors, qui avait bien pu avoir la merveilleuse idée de lui prendre cette fichue épée à notre petit Roi Capricieux ? Rumple ? Oh, probablement et il devait très certainement avoir une bonne raison qu’il ne donnerait pas tout de suite. Car je ne pensais pas que les autres soient coupables. Ils étaient bien trop…. Gentil…
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